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Vidéos de l'appareil
Ceillac
Poma - 2005
Ceillac
Le village de Ceillac se trouve dans les Hautes-Alpes, au cœur du massif du Queyras, et compte environ 300 habitants. Comme les autres stations du Queyras, Ceillac fait partie de ces stations qui ont préservé une architecture et un cadre tout à fait préservé. Le tourisme y est assez développé sans être massif, aussi bien en été (pour profiter des nombreux itinéraires de randonnée autour de la commune, notamment le GR58 et le Tour du Queyras) qu'en hiver. On peut en effet y skier sur une quinzaine de pistes, desservies en 2021 par un télésiège débrayable et quatre téléskis. L'orientation au nord-ouest et l'altitude moyenne à élevée des pistes du domaine prodiguent aux pistes de la station un enneigement de qualité et de longues pistes en forêt.
Une histoire de l'accès au haut du domaine skiable
Les premiers témoignages de la pratique du ski à Ceillac remontent au début du vingtième siècle. Il ne s'agissait alors toutefois pas d'un loisir mais d'un mode de déplacement commode lorsque la neige recouvrait la commune. L'épopée du ski comme loisir ne débute réellement qu'à la fin des années 1950, avec la construction de deux fils-neige artisanaux sur l'ubac du village.
Le premier téléski, baptisé Rouit du nom des pentes sur lesquelles il se trouvait, vit le jour en 1962, la même année que la Société pour l'Aménagement et l'Equipement Touristique de Ceillac. Et très vite, on décida d'aménager un domaine skiable au départ du lieu-dit Pied du Mélezet, en direction des contreforts des Pics de la Font Sancte et du Vallon Sainte-Anne.
Un premier téléski (le Mélezet) fut installé dès 1964, sur les pentes douces en adret du Pied du Mélezet. Il ne resta pas seul bien longtemps, puisque dans l'optique d'étendre le domaine et sous l'impulsion du nouveau maire de l'époque, Philippe Lamour, trois nouveaux appareils furent construits pour 1967. Le premier, le téléski de la Cascade, était plus court que le téléski du Mélezet mais avait le même rôle, c'est-à-dire la desserte de pistes faciles au pied du domaine. Le second, le télésiège des Prés Girardin, partait du sommet du téléski de la Cascade, pour grimper dans la forêt du vallon du Mélezet, jusqu'à près de 2100 mètres d'altitude. Le troisième, le téléski de Sainte-Anne, démarrait en contrebas de l'arrivée du télésiège et rejoignait, après une longue montée de plus de 1700 mètres, le Collet de Sainte-Anne, petit col à plus de 2400 mètres d'altitude. Très vite, le télésiège des Prés Girardin devint l'appareil majeur de la station.
La ligne du télésiège traversait une belle forêt de mélèzes (D.R.) :
On distingue la quasi-totalité de la ligne sur ce cliché (D.R.) :
La fin de la ligne (D.R.) :
L'arrivée était montée sur une estacade de bois. On aperçoit aussi le dernier pylône d'un court téléski qui reliait le départ du téléski de Sainte-Anne à l'arrivée du télésiège (D.R.) :
Le domaine resta tel quel pendant une quinzaine d'années, jusqu'en 1982. Alors qu'il était prévu de doubler le téléski de Sainte-Anne sur le même tracé pour faire face à l'affluence qu'il connaissait, la décision fut finalement prise d'ouvrir de nouvelles pistes. Pour ce faire, un nouveau téléski (baptisé Praloupet) fut bien construit, mais il n'était parallèle au téléski de Sainte-Anne que sur sa partie inférieure. A mi-parcours, tandis que le téléski de Sainte-Anne poursuivait sa route vers le sud-ouest, le téléski de Praloupet bifurquait vers la gauche pour grimper plein ouest vers la Crête de Coste Belle. En conséquence de ce nouveau téléski, il ne fut pas rare que des files d'attentes parfois importantes se forment au départ du télésiège des Prés Girardin !
Hélas, la situation financière des stations du Queyras, déjà plutôt fragile, se dégrada, à tel point que plusieurs stations fermèrent des pans entiers de leurs domaines. Ceillac n'échappa pas à la règle puisqu'elle procéda au début des années 1990 à la fermeture de son petit domaine de Bramousse, qui se situait au nord immédiat du village. Plus tard, ce fut au tour de Ristolas, Aiguilles et Arvieux de supprimer une partie de leur domaine, à la suite de la création d'un Syndicat Mixte chargé de redynamiser le ski alpin dans le Queyras en 2003. Ce dernier fixa comme objectif de maintenir le domaine de Ceillac en exploitation et surtout de le moderniser, puisque la quasi-totalité des appareils du domaine, à l'exception du téléski de Praloupet, dataient des années 1960 ! Un programme d'investissements de 8 millions d'euros fut alors engagé, grâce auquel les téléskis de la Cascade et du Mélezet furent remplacés par des téléskis à enrouleurs, tandis que le télésiège des Prés Girardin fut remplacé par un télésiège débrayable six places, similaire à celui qui fut installé à Abriès un an plus tard.
Prés Girardin : colonne vertébrale du domaine de Ceillac
Construit en 2005 par Poma, le télésiège des Prés Girardin se trouve donc sur le front de neige de Ceillac. C'est l'appareil principal de la station, puisqu'il est le seul moyen de rejoindre la partie supérieure du domaine skiable, où se trouvent les deux téléskis de Praloupet et de Sainte-Anne, qui desservent les pistes les plus intéressantes et engagées.
C'est aussi un appareil clé dans la mesure où il dessert toute la partie intermédiaire du domaine skiable, composée intégralement de pistes rouges, proposant un dénivelé intéressant et, pour l'une d'entre elles, enneigées artificiellement. Grâce à sa vitesse, on peut donc enchaîner les descentes rapidement !
Ainsi, le télésiège des Prés Girardin dessert quatre pistes :
- Une petite bleue d'accès au départ des téléskis de Sainte-Anne et de Praloupet, situés en contrebas de l'arrivée du télésiège ;
- La piste de Girardin, qui est la principale piste de ce secteur du domaine. Elle redescend jusqu'au front de neige de la station en coupant droit à travers la forêt de mélèzes. C'est la seule piste rouge de la station à être équipée d'enneigeurs ;
- La piste du Crousas, qui prend son départ entre l'arrivée du télésiège des Prés Girardin et le départ des téléskis de Sainte-Anne et de Praloupet, pour slalomer à plusieurs reprises sous la ligne du télésiège avant de s'en éloigner par l'ouest et de rejoindre le front de neige de la station ;
- La piste de Bambouisson, une large piste qui longe la ligne du télésiège de manière très rapprochée jusqu'au front de neige.
Situation sur la carte topographique des lieux :
Caractéristiques de l'appareil
Caractéristiques administratives :
- Type de remontée : TSD - Télésiège à pinces débrayables
- Nom de la remontée : PRES GIRARDIN
- Exploitant : REGIE DES STATIONS DU QUEYRAS
- Constructeur : POMAGALSKI
- Année de construction : 2005
- Maître d'oeuvre : MTC
Caractéristiques d’exploitation :
- Saison d’exploitation : Hiver
- Capacité : 6 personnes
- Débit à la montée : 1500 p/h
- Débit à la descente : 500 p/h
- Vitesse d’exploitation : 5 m/s
- Sens de montée : Par la droite
Caractéristiques géométriques :
- Altitude aval : 1693 m
- Altitude amont : 2086 m
- Dénivelé : 393 m
- Longueur développée : 1377 m
- Longueur horizontale : 1319 m
- Pente moyenne : 29,8 %
- Pente maximale : 56 %
Caractéristiques techniques :
- Tension : Aval
- Type de tension : Hydraulique
- Motrice : Amont
- Nombre de pylônes : 9
- Dispositif d'accouplement : Pince débrayable Oméga T
- Nombre de sièges : 40
- Type de sièges : Doudouk 6
- Puissance développée : 380 kW
- Diamètre poulie motrice : 4000 mm
- Diamètre poulie retour : 4900 mm
Caractéristiques du câble :
- Année de pose : 2005
- Fabricant : TREFILEUROPE
- Composition : 6*26 fils
- Diamètre : 45 mm
- Type de câble : Lang à droite
- Revêtement : Zingue
- Âme : Textile compactée
- Résistance à la rupture : 145500 daN
- Pas de câblage : 323 mm
- Pas de toronage : 126 mm
Ligne et infrastructures du télésiège des Prés Girardin
La gare aval
La gare aval du télésiège des Prés Girardin se trouve à 1693 mètres d'altitude, sur le front de neige de Ceillac, à quelques dizaines de mètres des départs des téléskis de la Cascade et du Mélezet. On retrouve ici une classique gare Satellit, à la partie inférieure bardée de bois tandis que la partie supérieure est recouverte de tôle gris anthracite. C'est ici qu'est assurée la tension du câble par le biais d'un vérin hydraulique permettant le déplacement du lorry auquel est fixée la poulie retour, ceci en fonction de la tension à donner au câble.
De trois quarts, avec le Bois de Jalavez en arrière-plan :
De trois quarts arrière cette fois-ci :
Vue plus éloignée depuis l'autre côté, avec une bonne partie de la ligne à gauche :
Vue de profil :
Gros plan sur les galets compression en sortie de gare :
Vue arrière avec la Crête de la Cube en arrière-plan à gauche :
Le tympan arrière de la gare :
L'accès à l'appareil :
La zone d'attente :
Puisque le télésiège est ouvert à la descente, une zone de débarquement est aménagée au bout du ralentisseur du brin descendant :
Le chalet de commandes :
C'est parti !
Dernier coup d'oeil vers la gare aval depuis la ligne :
La ligne
La ligne du télésiège des Prés Girardin, longue de 1377 mètres, rachète un dénivelé de 393 mètres. Elle ne présente pas de particularités notables : après le passage du premier pylône, la pente augmente très progressivement jusqu'à atteindre son maximum juste avant le huitième pylône, lequel amorce un redressement du câble jusqu'à l'entrée en gare amont. On évolue tout au long du parcours dans un environnement très boisé de mélèzes, au nord-est d'une imposante barre rocheuse. Notons par ailleurs que la hauteur de survol maximale et la portée la plus longue, respectivement de 22 et de 190 mètres, se trouvent entre les premier et deuxième pylônes.
Caractéristiques de la ligne :
- P1 : 6S / 8S
- P2 : 4SC / 4SC
- P3 : 6S / 6S
- P4 : 4S / 6S
- P5 : 4S / 6S
- P6 : 4SC / 4SC
- P7 : 6S / 6S
- P8 : 12S / 12S
- P9 : 8S / 8S
C = galet compression
S-C = balancier support-compression
Longue portée P1-P2 au-dessus de la piste de Bambouisson :
P2 :
Détail du haut du pylône :
Portée P2-P3 :
P3. On longe toujours la piste de Bambouisson :
Portée P3-P4 :
Le quatrième pylône :
Portée P4-P5 :
P5 :
Portée P5-P6 :
Le sixième pylône, de type support-compression, augmente un peu la pente du câble :
La tête du pylône :
Portée P6-P7 :
P7 :
Portée P7-P8 et passage au-dessus de la piste du Crousas :
Le P8 redresse le câble après cette longue et régulière montée :
Détail de la tête du P8 :
Portée vers le P9, derrière lequel on devine la gare amont :
P9, dernier pylône de la ligne :
La gare amont
La gare amont du télésiège des Prés Girardin se dresse à 2087 mètres d'altitude, à l'ouest de la Crête de la Cube. Il s'agit d'une classique gare Satellit, identique à la gare aval d'un point de vue esthétique, assurant la mise en mouvement du câble grâce à un moteur électrique asynchrone d'une puissance de 380 kW.
Une visite de l'intérieur de la gare peut être consultée en deuxième partie du présent reportage.
Débarquement imminent :
Vue de trois quarts de la gare amont :
En s'éloignant un peu, avec le chalet de commandes à gauche :
De profil, depuis le début de la piste de Girardin :
Vue plus éloignée depuis la piste Retour Ceillac, cette fois-ci :
Vue arrière :
Vue opposée en contre-plongée avec la Crête des Veyres en arrière-plan :
Véhicules et pinces
Poma a équipé le télésiège des Prés Girardin de 40 sièges de type Doudouk 6, suspendus au câble par des pinces Oméga T.
Un siège dans le contour de la gare aval :
Une pince :
Quelques vues de la ligne depuis les pistes
Depuis le début de la piste de Girardin. On distingue au loin dans la vallée le village de Ceillac :
Le huitième pylône depuis cette même piste. A gauche, la Pointe de la Saume (3043 mètres) :
La piste de Bambouisson est longée par le télésiège sur toute sa longueur :
Des passages étroits sont sécurisés par d'imposants filets placés en bord de piste et survolés par le télésiège :
Prés Girardin : une modernisation nécessaire
Malgré un faible débit limité à 1500 personnes par heure, le télésiège des Prés Girardin a très avantageusement remplacé son prédécesseur, devenu bien trop vétuste et coûteux en entretien pour une petite station comme Ceillac. Accompagné d'un réaménagement complet du front de neige, il a permis de redynamiser le domaine et de moderniser l'image de Ceillac. Plus d'une quinzaine d'années après sa construction, il tient parfaitement sa place au sein du domaine.
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Ainsi se termine ce reportage.
Merci de l’avoir lu et à bientôt !
(c) – Décembre 2021 – l'alexois & collonges74 - Tous droits réservés – Modification ou reproduction interdites sans l’accord des auteurs.
Photos : l'alexois
Textes, bannière et mise en page : collonges74
Photos prises le 31 décembre 2019
Situé à Ceillac en Queyras, petite station - village dans les Hautes-Alpes qui comporte au total six remontées mécaniques, ce TSD vient remplacer un Télésiège fixe vieux de 39 ans. Il donne accès à deux pistes rouges ainsi qu’aux deux autres remontées du domaine d’altitude.
Ce TSD Poma est l’un des derniers appareils à bénéficier des gares SATELLIT. Contrairement à son petit frère d’Abriès, la configuration de la marche de secours est classique pour une installation Poma, à savoir que le moteur thermique de secours entraîne la poulie motrice via un arbre qui rentre dans un sélecteur, ce dernier est accouplé au réducteur en cas de besoin.
Le TSD à un débit volontairement réduit et donc les sièges sont relativement bien espacés sur la ligne. Aussi pour des raisons économiques, il n’est exploité qu’à quatre mètres par seconde. La remontée s’emprunte aussi bien à la montée qu’à la descente permettant aux piétons de se balader en altitude dans un cadre remarquable
Alliant confort et rapidité cet appareil est très bien fini et contribuera à promouvoir l’image de ce magnifique massif qu’est le Queyras.
Avant de continuer sur le nouvel appareil un petit retour en arrière sur la remontée qu’a remplacé le TSD. C’était un télésiège fixe deux places, la tension était effectué par un contrepoids situé en amont. Comme le TSD, il était également possible d’emprunter l’appareil à la descente
TSF-Télésiège à attache fixe : PRE GIRARDIN
Constructeur : MONTAZ MAUTINO
Année de construction : 1966
Saison d'exploitation : Hiver et Eté
Capacité : 2 personne(s)
Dénivelée : 368 m
Longueur développée : 1224 m
Pente Maxi : 34 %
Débit à la montée : 600 personnes/heure
Débit à la descenbte : 300 personnes/heure
Vitesse d'exploitation : 2,5 m/s
Temps de Trajet : 8min16
Motrice : Aval
Tension : Amont
Puissance moteur principal : 77 Kw
Uen photo de l’ancien appareil :
(Source : www.ceillac.com)
Voici un lien montrant des photos pendant la construction de l’appareil :
http://www.ceillac.com/travaux-2005/telesiege.htm
Situation sur le plan des pistes
Les Caractéristiques techniques de l’installation
TSD-Télésiège à attache débrayable : PRES GIRARDIN
Constructeur : POMAGALSKI
Année de construction : 2005
Saison d'exploitation : Hiver et Eté
Capacité : 6 personne(s)
Altitude Aval : 1696 m
Dénivelée : 398 m
Longueur développée : 1344 m
Pente Maxi : 56 %
Pente Moyenne : 31 %
Débit à la montée : 1500 personnes/heure
Débit à la descente : 800 personnes/heure
Vitesse d'exploitation : 4 m/s
Type de Gare : SATELLIT / Couverture Bois et Tôles
Tension : Aval
Motrice : Amont
Puissance Développée : 380 Kw
Puissance du moteur de secours : 112 Kw
Sens de montée : Droite
Dispositif d’accouplement : Pince OmegaTL
Embarquement : Sens de la ligne
Nb Pylônes : 9
Largeur de la voie : 5.7 m
Temps de Trajet : 5min36
Nb Sièges : 48
Fabricant du Câble : Trefileurope
Diamètre du câble : 45 mm
Type de Câble : Lang à Droite / âme compacte
Montant de l'investissement : 4.390.000€
Les photos de l’installation
La Gare Aval
C'est ici qu'est effectuée la tension de l'installation. On y trouve un petit rail permettant de stocker le vehicule de service.
L’embarquement :
La Ligne
La ligne à un tracé relativement facile. Elle comprend cependant deux grandes portées entre le P1 et le P2 puis entre le P8 et le P9. La ligne possède 9 pylônes tubulaire ainsi qu’un pylône intégré à la G1
Dans l’ordre de la montée cela donne :
P0 : 8C/8C
P1 : 8S/6S
P2 : 4SC/4SC
P3 : 6S/6S
P4 : 6S/4S
P5 : 6S/4S
P6 : 4SC/4SC
P7 : 6S/6S
P8 : 12S/12S
P9 : 8S/8S
La ligne depuis le bas des pistes
En avant sur la ligne
La Gare Amont
Nous trouvons dans cette gare toute la partie motrice et conduite de l’appareil. C’est également ici qu’est effectué le cadencement des 48 sièges grâce à un unique cadenceur de type +/- vite. A noter que la gare est inclinée de quelques dégrées afin de profiter de la gravité pour accélérer/ralentir les sièges plus vite.
L’intérieur de la gare amont
Le treuil se compose d’un moteur Thrige de 380 kW, d’un réducteur Poma-Kissling 21M, d’un moteur thermique de secours. Il n’y a qu’un seul frein de poulie sur l’installation.
Vue Générale :
Le Ralentisseur :
Le Lanceur :
Vue Générale avec le treuil au premier plan
Moteur Electrique
Moteur Thermique de Secours
Le Réducteur :
Le Frein de service :
Dispositif de non-dérive :
Prise de mouvement des pneus sur le câble
Le Cadenceur :
Les Armoires de Contrôle :
Une partie de l’intérieur de l’armoire de puissance :
Véhicules et pinces
Siège Doudouk6 Poma :
Véhicule de service :
Pince OmegaT :
Passage d’un support:
Passage d’un support/compression :
Pour finir ce reportage, voici quelques vues de la ligne depuis les pistes :
Voila pour ce 820ème reportage. Encore un grand merci au personnel des remontées mécaniques de la station pour la visite de l’installation et leur extrême gentillesse.
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