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dans le titre initial de ce fil: je dis ça, je dis rien!
FUN Rocharbois - Megève (Evasion Mont Blanc) Poma - 1985
#22
j'ib 
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Posté 17 juin 2013 - 21:50
chin@ill, le 17 juin 2013 - 21:39 , dit :
Sébastien parlait de /> dans le titre initial de ce fil: je dis ça, je dis rien!
/> dans le titre initial de ce fil: je dis ça, je dis rien!
#23
Guigui74
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Posté 17 juin 2013 - 23:28
Mais d'un autre côté ce que dit ci-dessous le designer est fondamental, quand on sait que 5 ans plus tard le terme "funitel" naitrait de la fusion des mots "funiculaire" (les rails) et "téléphérique" (le câble) pour l'installation débrayable de Val Thorens:
Plus encore que les débrayables "classiques",cet appareil est donc bien LE parent légitime du funitel et on peut sans blasphémer aller encore plus loin en disant que Rocharbois est LE prototype du funitel, comme le soulignait lolo42!
Au final cet entrefilet auquel je n'avais pas prêté attention de prime abord vient ni plus ni moins de prouver que le principe du funitel date de 1985 et non de 1990: ça ne va pas nous aider quant à la dénomination à employer...
Plus encore que les
débrayables "classiques",cet appareil est donc bien LE parent légitime du funitel et on peut sans blasphémer aller encore plus loin en disant que Rocharbois est LE prototype du funitel, comme le soulignait lolo42!Au final cet entrefilet auquel je n'avais pas prêté attention de prime abord vient ni plus ni moins de prouver que le principe du funitel date de 1985 et non de 1990: ça ne va pas nous aider quant à la dénomination à employer...
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#24
Kaoz
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Posté 18 juin 2013 - 10:57
Et bien vous faites un mi-mi !
Le nom du brevet utilisé est DMC à voies extra-larges donc je pense qu'il faut employer le terme DMC75.
Et j'ib précisera qu'il s'agit du 1er des funitels actuels, terme qui n'apparaitra que plus tard
Le nom du brevet utilisé est DMC à voies extra-larges donc je pense qu'il faut employer le terme DMC75.
Et j'ib précisera qu'il s'agit du 1er des funitels actuels, terme qui n'apparaitra que plus tard
Ce message a été modifié par Kaoz - 18 juin 2013 - 10:58 .
En attente des futurs reportages sur de nombreux téléskis Montagner !
#25
Lolo42
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Posté 18 juin 2013 - 11:31
Nos amis de Lift-World le rangent dans la catégorie "funitel" : http://www.lift-worl...gabe=rocharbois
Sinon pourquoi pas DMC-Funitel Rocharbois...
Sinon pourquoi pas DMC-Funitel Rocharbois...
- Laurent -
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#26
j'ib
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Posté 18 juin 2013 - 14:01
lolo42, le 18 juin 2013 - 11:31 , dit :
Sinon pourquoi pas DMC-Funitel Rocharbois...
Là par contre je suis pas trop de ton avis lolo42. Je ne vois pas trop un reportage dont son nom possède deux types de remontées. Après ce n'est que mon avis ...
#27
Lolo42
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Posté 18 juin 2013 - 15:15
Ca n'est pas deux types et il n'y a aucune contradiction dans le sens où le type DMC englobe le type funitel. D'ailleurs Poma, par exemple, présente ses funitels comme des DMC-funitels : regarde ici, Creissels aussi sur ce doc : lien
Après j'ai envie de dire peu importe le titre. Fais-nous un beau reportage de fond, c'est bien là l'essentiel
/>/>
Après j'ai envie de dire peu importe le titre. Fais-nous un beau reportage de fond, c'est bien là l'essentiel
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#28
j'ib
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Posté 18 juin 2013 - 18:01
lolo42, le 18 juin 2013 - 15:15 , dit :
Ca n'est pas deux types et il n'y a aucune contradiction dans le sens où le type DMC englobe le type funitel. D'ailleurs Poma, par exemple, présente ses funitels comme des DMC-funitels : regarde ici, Creissels aussi sur ce doc : lien
Après j'ai envie de dire peu importe le titre. Fais-nous un beau reportage de fond, c'est bien là l'essentiel/>/>/>
Après j'ai envie de dire peu importe le titre. Fais-nous un beau reportage de fond, c'est bien là l'essentiel
/>/>/>Ok. Je pense que je vais garder le titre de DMC75.
Oui, enfin, je ne garantis pas qu'il soit beau, on ne sait jamais, mais vu ce que je dispose ça m'étonnerait qu'il ne soit pas bien fait ! 
#31
Lolo42
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Posté 19 juin 2013 - 08:28
Effectivement, l'appel d'offres a été passé en mars : https://www.klekoon....ent-2990461.htm
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#32
Kaoz
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Posté 19 juin 2013 - 11:18
chin@ill, le 18 juin 2013 - 21:05 , dit :
Et j'espère bien voir sa fameuse gare Alpha! />
/>Ah oui, depuis que j'ai vu cette photo de monchu, je ne demande qu'à savoir si elle est encore en place ! :
Mais je me doute bien que j'ib va en parler vu que cette photo est issue du reportage sur le téléski du Moutely
En attente des futurs reportages sur de nombreux téléskis Montagner !
#33
j'ib
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Posté 19 juin 2013 - 13:37
Ne vous inquiétez pas, vous la verrez la gare Alpha assez impressionnante ! Kaoz, elle existe toujours le gare Alpha, elle a été intégrée dans la bâtiment de la Caboche lors de sa construction en 89 me semble-t-il !
#35
dj_jean_jean
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Posté 22 juin 2013 - 00:15
pour le firm il est dénommé en tant que "DMV-Double monocâble à va et vient" tel que marmottes 3, bouquetin, Thorens qui sont tout les 3 des funitels, Rocharbois est donc un funitel, même si à l'époque le nom de funitel n'était pas encore utilisé. Les DMC étant classé dans un autre type par le funitel.
#36
j'ib
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Posté 01 juillet 2013 - 11:59
Funitel Rocharbois
Megève - Mont-d'Arbois/Rochebrune
Bienvenue à Megève
^^^^Cliquez sur la bannière pour visualiser la présentation de la station^^^^
Rocharbois : Historique de l'installation
Les aménagements dans le secteur de la Caboche ont commencé au début des années 1980 avec la construction du télésiège fixe de la Caboche par Pomagalski. A cette date les remontées mécaniques du massif de Rochebrune étaient exploitées par la STMMB (Société des Téléphérique du Massif du Mont-Blanc). A partir de 1982 le massif de Rochebrune est désormais accessible grâce à la construction du télésiège fixe du Chamois. Notons aussi qu'à cette date la SEM de Megève-Rochebrune est crée et exploite désormais les remontées mécaniques de ce massif. Un an plus tard, ce dernier télésiège est transformé en télécabine débrayable six places du constructeur Pomagalski.
C'est en 1985 qu'est arrivé le « téléphérique » Rocharbois, dont ce reportage fait l'objet. Sa gare motrice – tension (de type Alpha), située à la Caboche, était, comme sur un télésiège classique, une structure en extérieur. Entre 1986 et 1987 le pylône n°4 de cette installation fut déplacé suite à une demande d'une famille royale d'un pays Arabe du fait du vis-à-vis avec leur propriété. Enfin en 1989, le télésiège de la Caboche a été remplacé par une télécabine débrayable douze places du même nom et du même manufacturier.
On trouvait à cette date trois remontées mécaniques importantes pour le domaine à proximité : le Rocharbois, ainsi que les télécabines du Chamois et de la Caboche. L'exploitant a donc décidé de regrouper les gares des ces appareils dans un même bâtiment. Par conséquent, la gare Alpha du Rocharbois, initialement en extérieur, s'est retrouvée intégrée à l'intérieur du grand bâtiment. Seul la partie « embarquement » est restée à l'extérieur.
Sur la droite de cette photo on aperçoit un morceau de la gare Alpha au moment où elle était à l'extérieur (merci à Monchu)
Ici, cette photo a été prise durant l'été 1989 et on aperçoit le bâtiment en construction (en bas à gauche – merci à Monchu)
Rocharbois : Un appareil très important
Le Rocharbois est situé à cheval entre les massifs de Rochebrune et du Mont-d'Arbois. Comme déjà dit ci-dessus, il a été construit en 1985 par Poma et avec la collaboration d'autres sociétés moins connues dont on verra le nom plus tard. Cette remontée, exploitée dans les deux sens, effectue la liaison entre les massifs de Rochebrune et du Mont-d'Arbois. Avant 1985, aucune autre installation permettait cette liaison, on ne pouvait accéder à un secteur depuis l'autre que par le système de navettes instauré par la ville ou de par son automobile.
A l'arrivée au massif du Mont-d'Arbois, cet appareil donne accès à la télécabine du Mont-d'Arbois ainsi qu'aux téléskis du Petit-Vorasset et des Débutants. Tandis que sur le massif de Rochebrune, on peut parvenir au téléphérique de Rochebrune, aux télécabines de la Caboche et du Chamois, aux télésièges du Petit-Rochebrune et des Grands-Champs ainsi qu'aux téléskis du Cabochon et du Moutely.
Même si son rôle premier n'est pas de proposer du ski propre, il en dessert quand même quelques pistes :
-La piste rouge du Calvaire : située du côté du Mont-d'Arbois, elle permet de redescendre en plein centre-ville de Megève. Elle n'est malheureusement ouverte que quand il y a beaucoup de neige car son exposition au soleil (Sud) et sa faible altitude, fait que la neige fond très vite.
-La piste verte « a » : Située du côté de Rochebrune, elle redescend sur le front de neige de Rochebrune. Elle est dotée d'un système d'enneigement artificiel.
Voici sa situation sur le plan des pistes :
Rocharbois : Un funitel avant l'heure
Le « téléphérique » Rocharbois est un appareil unique au monde et disposant de beaucoup de particularités. Construit en 1985, il adopte toutes les technologies d'un funitel, mais à cette époque le funitel n'existait pas. Le premier appareil de ce type fut le funitel de Péclet à Val Thorens construit en 1990 par Réel et Creissels. C'est pour ça que les créateurs de cette installation lui ont donné comme premier nom Double MonoCâble (DMC), apparu quelques années avant. Le Rocharbois approuve donc des technologies complètement nouvelles pour l'époque : les cabines sont à la largeur de la voie qui est de trois mètres, elles sont composées de trois compartiments de 25 personnes chacun, et l'installation dispose de matériaux de télésiège : la gare motrice – tension est très particulière, il s'agit d'une gare Alpha, puis les galets, les poulies retours et les pinces fixes proviennent aussi de la gamme de télésièges Poma ! En définitive, cet appareil à va-et-vient est a classer comme le « prototype » des funitels.
La conception et la maîtrise d'oeuvre de cette remontée mécanique ont été confiées à Denis Creissels SA, tandis que les études et la construction ont été confiées à l'entreprise iséroise Pomagalski. Les cabines ont été réalisées par Sotelem, entreprise qui avait de plus fourni les anciennes cabines du DMC des Grandes-Platières à Flaine, d'un design similaire (maintenant remplacées par des nouvelles cabines Sigma de type Diamond). La conception des pylônes est assez particulière et a été sous traitée à une petite entreprise : Yumbo.
Un dessin de la conception des cabines paru dans le magazine n°57 de Aménagement & Montagne (merci à Chin@ill)
Cette remontée dispose d'un câble porteur – tracteur. En amont, là où est situé la station motrice, le câble est renvoyé par une poulie à double gorge. Tandis qu'en aval ce sont trois poulies qui renvoient ce dernier. Notons que le câble fait deux boucles (voir schéma).
Schéma de la disposition des câbles (merci à Dj_Jean_Jean)
Enfin, au début de sa conception, le Rocharbois devait être exploité à la vitesse de 7,5 mètres par seconde. Sa vitesse a finalement était réduite à 5 mètres par seconde car si cette dernière est supérieure, les cabines pourraient dérailler au niveau du passage des pylônes.
Caractéristiques
Caractéristiques Administratives
FUN-Funitel à va-et-vient : ROCHARBOIS
Maître d’Ouvrage : SEM de Rochebrune
Maître d’Œuvre : Denis Creissels SA
Génie civil : SOTRALP (ligne) & SOCQUET (gares)
Exploitant : SEM de Megève
Constructeur : Poma
Année de construction : 1985
Montant de l’investissement : 12 000 000 F
Caractéristiques d’Exploitation
Saison d'exploitation : Hiver
Capacité : 75 personnes
Débit à la montée : 1200 p/h
Débit à la descente : 1200 p/h
Vitesse d'exploitation : 5 m/s
Temps de trajet : ~ 4 min
Caractéristiques Géométriques
Altitude aval : 1272 mètres
Altitude amont : 1288 mètres
Dénivelée : 16 mètres
Longueur développée : 1081 mètres
Pente maximale : 7 %
Pente moyenne : 2 %
Caractéristiques Techniques
Gare motrice : Amont
Gare tension : Amont
Gare retour : Aval
Nombre de pylônes : 5
Fabriquant des pylônes : YUMBO
Nombre de cabines : 2
Fabriquant des cabines : SOTELEM
Sens de montée : Dans les deux sens
Type de G2 : Alpha 210
Type de tension : Hydraulique
Puissance électrique du moteur : 424 kW
Nombre de tours/minutes du moteur : 1607 t/min
Type de motorisation : Courant continu
Installations électrique : SEMER
Ligne et infrastructures du Rocharbois
Gare aval :
La gare aval est la station retour de l'installation. Le renvoi du câble est effectué par trois poulies. L'infrastructure est située sur le massif du Mont-d'Arbois à proximité des gares aval de la télécabine éponyme ainsi que des téléskis du Petit-Vorasset et des Débutants.
La gare aval depuis le départ de la piste rouge du "Calvaire"
Vue depuis le chemin d'accès à la gare aval
Vue de face
Une des trois poulies retour du câble
La ligne :
La ligne est longue de 1081 mètres, passe au dessus de nombreuses falaises, et se dispose de 5 pylônes.
Caractéristiques de la ligne :
La ligne depuis l'aval
Portée G1 - P1
P1
Portée P1 - P2
P2
Portée P2 - P3
Le milieu de la ligne avec le croisement des deux cabines
P3
Détail de la tête du pylône 3 de type support
Portée P3 - P4
P4
Portée P4 - P5 ; On arrive à la Caboche
P5
Portée P5 - G2
Gare amont :
La gare amont est située juste devant la gare aval du téléski du Cabochon et à proximité immédiate des télécabines de la Caboche et du Chamois. Il s'agit de la station motrice – tension de l'installation. Elle est divisée en deux parties : une partie couverte située à l'intérieure du bâtiment de la Caboche, et qui abrite la gare Alpha de type 210, et enfin des quais extérieurs, avec une structure métallique.
Arrivée en gare amont
La gare amont est située dans ce bâtiment. On remarque à gauche de ce dernier l'arrivée de la télécabine du Chamois et au milieu le départ de celle de la Caboche
La partie "embarquement" avec une cabine en gare
Au dessus l'accès à la télécabine de la Caboche, et en dessous la gare du Rocharbois
L'accès à l'installation depuis l'intérieur du bâtiment
Les zones d'embarquement
La ligne à la descente (Rochebrune → Mont-d'Arbois) :
Portée G2 - P5
P5
Portée P5 - P4
P4
Portée P4 - P3
P3
Portée P3 - P2
P2
Portée P2 - P1
P1
Portée P1 - G1
Arrivée en gare
Au cœur du Rocharbois
Station motrice – tension (1288 mètres) :
La station motrice – tension, située sur le massif de Rochebrune, est en fait une gare Alpha 210, posée sur deux massifs en béton haut d'environ trois mètres. L'infrastructure est située à l'intérieur du bâtiment de la Caboche. A l'extérieur de cette dernière, on retrouve une poulie à double gorge inédite, de couleur jaune et permettant de renvoyer le câble. Ensuite, la tension est effectuée par deux vérins hydrauliques situés sur les extrémités de la gare. Pour faire fonctionner ces vérins, une centrale hydraulique est située juste en dessous ; une dizaine de bouteilles d'azote sont installées pour le bon fonctionnement de cette dernière.
A l'étage de la gare, on peut découvrir un moteur électrique BBC de 424 kW relié à un réducteur Poma-Kissling par un arbre rapide. Sur ce dernier on aperçoit un frein de service permettant de ralentir ou d'arrêter l'installation. En cas de panne de l'appareil, le Rocharbois peut redémarrer grâce à un moteur thermique de secours qui est lui même relié à un petit réducteur, et est ensuite connecté avec le réducteur principal.
Dans le poste de conduite, voici le boitier permettant l'ouverture/fermeture des portes et autres options
L'armoire de commandes
La déviation des câbles vers l'intérieur du bâtiment
A l'intérieur du bâtiment, on retrouve la gare Alpha 210
La poulie à double gorge
Les deux galets permettant la déviation du câble à la poulie
Un des deux vérins hydraulique
La centrale hydraulique et les bouteilles d'azote tout autour
A l'étage de la gare, voici le moteur électrique
Le refroidisseur automatique du moteur
La plaque d'informations du moteur
Vue sur l'arbre rapide reliant le réducteur au moteur
Le réducteur principal
Le frein de service
Le moteur thermique de secours
Son réducteur
La courroie le reliant au réducteur principal
Les commandes du moteur thermique
La centrale de freins
Cabines et pinces
Le Rocharbois est composé de deux cabines Sotelem de trois compartiments pouvant accueillir chacun 25 personnes.
Une cabine en ligne
Une cabine vue depuis la piste rouge "Calvaire"
Une cabine entre deux pylônes ; remarquez la masse impressionnante de la cabine
Une cabine au passage d'un pylône
La plaque d'informations sur l'installation à l'intérieur de la cabine
Les cabines sont reliées au câble grâce à trois double-pinces fixe installées sur chaque extrémité de la cabine.
Vue d'ensemble des pinces
Une double pince
Une pince de dos
Une pince vue d'en dessous ...
... Et de face
Le Rocharbois vu depuis les environs
Le pylône 1 depuis la piste rouge du Calvaire
Le pylône 3
Le pylône 5
Un appareil indispensable
Le funitel Rocharbois est donc un appareil atypique et indispensable pour la liaison des massifs de Rochebrune et du Mont-d'Arbois. Malgré son âge, il a encore de belles années devant lui. Il est d'ailleurs prévu le remplacement des cabines, vieillissantes, par des véhicules neufs durant l'été 2013.
Avant de terminer ce reportage je tiens à remercier le personnel de l'installation pour la visite et les explications de l'installation. Je remercie aussi le chef d'exploitation des remontées mécaniques de Rochebrune pour l'autorisation de mise en ligne des photos. Enfin, un merci à Chin@ill, Monchu et Dj_Jean_Jean pour les photos et schémas.
J'ib, Juillet 2013
Photos : J'ib
Texte, bannière et mise en page : J'ib
Date des photos : 20 Février 2012, 12 Juillet 2012 & 4, 10 et 12 Mars 2013
Megève - Mont-d'Arbois/Rochebrune
Bienvenue à Megève
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Rocharbois : Historique de l'installation
Les aménagements dans le secteur de la Caboche ont commencé au début des années 1980 avec la construction du télésiège fixe de la Caboche par Pomagalski. A cette date les remontées mécaniques du massif de Rochebrune étaient exploitées par la STMMB (Société des Téléphérique du Massif du Mont-Blanc). A partir de 1982 le massif de Rochebrune est désormais accessible grâce à la construction du télésiège fixe du Chamois. Notons aussi qu'à cette date la SEM de Megève-Rochebrune est crée et exploite désormais les remontées mécaniques de ce massif. Un an plus tard, ce dernier télésiège est transformé en télécabine débrayable six places du constructeur Pomagalski.
C'est en 1985 qu'est arrivé le « téléphérique » Rocharbois, dont ce reportage fait l'objet. Sa gare motrice – tension (de type Alpha), située à la Caboche, était, comme sur un télésiège classique, une structure en extérieur. Entre 1986 et 1987 le pylône n°4 de cette installation fut déplacé suite à une demande d'une famille royale d'un pays Arabe du fait du vis-à-vis avec leur propriété. Enfin en 1989, le télésiège de la Caboche a été remplacé par une télécabine débrayable douze places du même nom et du même manufacturier.
On trouvait à cette date trois remontées mécaniques importantes pour le domaine à proximité : le Rocharbois, ainsi que les télécabines du Chamois et de la Caboche. L'exploitant a donc décidé de regrouper les gares des ces appareils dans un même bâtiment. Par conséquent, la gare Alpha du Rocharbois, initialement en extérieur, s'est retrouvée intégrée à l'intérieur du grand bâtiment. Seul la partie « embarquement » est restée à l'extérieur.
Sur la droite de cette photo on aperçoit un morceau de la gare Alpha au moment où elle était à l'extérieur (merci à Monchu)
Ici, cette photo a été prise durant l'été 1989 et on aperçoit le bâtiment en construction (en bas à gauche – merci à Monchu)
Rocharbois : Un appareil très important
Le Rocharbois est situé à cheval entre les massifs de Rochebrune et du Mont-d'Arbois. Comme déjà dit ci-dessus, il a été construit en 1985 par Poma et avec la collaboration d'autres sociétés moins connues dont on verra le nom plus tard. Cette remontée, exploitée dans les deux sens, effectue la liaison entre les massifs de Rochebrune et du Mont-d'Arbois. Avant 1985, aucune autre installation permettait cette liaison, on ne pouvait accéder à un secteur depuis l'autre que par le système de navettes instauré par la ville ou de par son automobile.
A l'arrivée au massif du Mont-d'Arbois, cet appareil donne accès à la télécabine du Mont-d'Arbois ainsi qu'aux téléskis du Petit-Vorasset et des Débutants. Tandis que sur le massif de Rochebrune, on peut parvenir au téléphérique de Rochebrune, aux télécabines de la Caboche et du Chamois, aux télésièges du Petit-Rochebrune et des Grands-Champs ainsi qu'aux téléskis du Cabochon et du Moutely.
Même si son rôle premier n'est pas de proposer du ski propre, il en dessert quand même quelques pistes :
-La piste rouge du Calvaire : située du côté du Mont-d'Arbois, elle permet de redescendre en plein centre-ville de Megève. Elle n'est malheureusement ouverte que quand il y a beaucoup de neige car son exposition au soleil (Sud) et sa faible altitude, fait que la neige fond très vite.
-La piste verte « a » : Située du côté de Rochebrune, elle redescend sur le front de neige de Rochebrune. Elle est dotée d'un système d'enneigement artificiel.
Voici sa situation sur le plan des pistes :
Rocharbois : Un funitel avant l'heure
Le « téléphérique » Rocharbois est un appareil unique au monde et disposant de beaucoup de particularités. Construit en 1985, il adopte toutes les technologies d'un funitel, mais à cette époque le funitel n'existait pas. Le premier appareil de ce type fut le funitel de Péclet à Val Thorens construit en 1990 par Réel et Creissels. C'est pour ça que les créateurs de cette installation lui ont donné comme premier nom Double MonoCâble (DMC), apparu quelques années avant. Le Rocharbois approuve donc des technologies complètement nouvelles pour l'époque : les cabines sont à la largeur de la voie qui est de trois mètres, elles sont composées de trois compartiments de 25 personnes chacun, et l'installation dispose de matériaux de télésiège : la gare motrice – tension est très particulière, il s'agit d'une gare Alpha, puis les galets, les poulies retours et les pinces fixes proviennent aussi de la gamme de télésièges Poma ! En définitive, cet appareil à va-et-vient est a classer comme le « prototype » des funitels.
La conception et la maîtrise d'oeuvre de cette remontée mécanique ont été confiées à Denis Creissels SA, tandis que les études et la construction ont été confiées à l'entreprise iséroise Pomagalski. Les cabines ont été réalisées par Sotelem, entreprise qui avait de plus fourni les anciennes cabines du DMC des Grandes-Platières à Flaine, d'un design similaire (maintenant remplacées par des nouvelles cabines Sigma de type Diamond). La conception des pylônes est assez particulière et a été sous traitée à une petite entreprise : Yumbo.
Un dessin de la conception des cabines paru dans le magazine n°57 de Aménagement & Montagne (merci à Chin@ill)
Cette remontée dispose d'un câble porteur – tracteur. En amont, là où est situé la station motrice, le câble est renvoyé par une poulie à double gorge. Tandis qu'en aval ce sont trois poulies qui renvoient ce dernier. Notons que le câble fait deux boucles (voir schéma).
Schéma de la disposition des câbles (merci à Dj_Jean_Jean)
Enfin, au début de sa conception, le Rocharbois devait être exploité à la vitesse de 7,5 mètres par seconde. Sa vitesse a finalement était réduite à 5 mètres par seconde car si cette dernière est supérieure, les cabines pourraient dérailler au niveau du passage des pylônes.
Caractéristiques
Caractéristiques Administratives
FUN-Funitel à va-et-vient : ROCHARBOIS
Maître d’Ouvrage : SEM de Rochebrune
Maître d’Œuvre : Denis Creissels SA
Génie civil : SOTRALP (ligne) & SOCQUET (gares)
Exploitant : SEM de Megève
Constructeur : Poma
Année de construction : 1985
Montant de l’investissement : 12 000 000 F
Caractéristiques d’Exploitation
Saison d'exploitation : Hiver
Capacité : 75 personnes
Débit à la montée : 1200 p/h
Débit à la descente : 1200 p/h
Vitesse d'exploitation : 5 m/s
Temps de trajet : ~ 4 min
Caractéristiques Géométriques
Altitude aval : 1272 mètres
Altitude amont : 1288 mètres
Dénivelée : 16 mètres
Longueur développée : 1081 mètres
Pente maximale : 7 %
Pente moyenne : 2 %
Caractéristiques Techniques
Gare motrice : Amont
Gare tension : Amont
Gare retour : Aval
Nombre de pylônes : 5
Fabriquant des pylônes : YUMBO
Nombre de cabines : 2
Fabriquant des cabines : SOTELEM
Sens de montée : Dans les deux sens
Type de G2 : Alpha 210
Type de tension : Hydraulique
Puissance électrique du moteur : 424 kW
Nombre de tours/minutes du moteur : 1607 t/min
Type de motorisation : Courant continu
Installations électrique : SEMER
Ligne et infrastructures du Rocharbois
Gare aval :
La gare aval est la station retour de l'installation. Le renvoi du câble est effectué par trois poulies. L'infrastructure est située sur le massif du Mont-d'Arbois à proximité des gares aval de la télécabine éponyme ainsi que des téléskis du Petit-Vorasset et des Débutants.
La gare aval depuis le départ de la piste rouge du "Calvaire"
Vue depuis le chemin d'accès à la gare aval
Vue de face
Une des trois poulies retour du câble
La ligne :
La ligne est longue de 1081 mètres, passe au dessus de nombreuses falaises, et se dispose de 5 pylônes.
Caractéristiques de la ligne :
- P1 : 12S-12S/12S-12S
- P2 : 12S-12S/12S-12S
- P3 : 12S-12S/12S-12S
- P4 : 14S-14S/14S-14S
- P5 : 12S-12S/12S-12S
La ligne depuis l'aval
Portée G1 - P1
P1
Portée P1 - P2
P2
Portée P2 - P3
Le milieu de la ligne avec le croisement des deux cabines
P3
Détail de la tête du pylône 3 de type support
Portée P3 - P4
P4
Portée P4 - P5 ; On arrive à la Caboche
P5
Portée P5 - G2
Gare amont :
La gare amont est située juste devant la gare aval du téléski du Cabochon et à proximité immédiate des télécabines de la Caboche et du Chamois. Il s'agit de la station motrice – tension de l'installation. Elle est divisée en deux parties : une partie couverte située à l'intérieure du bâtiment de la Caboche, et qui abrite la gare Alpha de type 210, et enfin des quais extérieurs, avec une structure métallique.
Arrivée en gare amont
La gare amont est située dans ce bâtiment. On remarque à gauche de ce dernier l'arrivée de la télécabine du Chamois et au milieu le départ de celle de la Caboche
La partie "embarquement" avec une cabine en gare
Au dessus l'accès à la télécabine de la Caboche, et en dessous la gare du Rocharbois
L'accès à l'installation depuis l'intérieur du bâtiment
Les zones d'embarquement
La ligne à la descente (Rochebrune → Mont-d'Arbois) :
Portée G2 - P5
P5
Portée P5 - P4
P4
Portée P4 - P3
P3
Portée P3 - P2
P2
Portée P2 - P1
P1
Portée P1 - G1
Arrivée en gare
Au cœur du Rocharbois
Station motrice – tension (1288 mètres) :
La station motrice – tension, située sur le massif de Rochebrune, est en fait une gare Alpha 210, posée sur deux massifs en béton haut d'environ trois mètres. L'infrastructure est située à l'intérieur du bâtiment de la Caboche. A l'extérieur de cette dernière, on retrouve une poulie à double gorge inédite, de couleur jaune et permettant de renvoyer le câble. Ensuite, la tension est effectuée par deux vérins hydrauliques situés sur les extrémités de la gare. Pour faire fonctionner ces vérins, une centrale hydraulique est située juste en dessous ; une dizaine de bouteilles d'azote sont installées pour le bon fonctionnement de cette dernière.
A l'étage de la gare, on peut découvrir un moteur électrique BBC de 424 kW relié à un réducteur Poma-Kissling par un arbre rapide. Sur ce dernier on aperçoit un frein de service permettant de ralentir ou d'arrêter l'installation. En cas de panne de l'appareil, le Rocharbois peut redémarrer grâce à un moteur thermique de secours qui est lui même relié à un petit réducteur, et est ensuite connecté avec le réducteur principal.
Dans le poste de conduite, voici le boitier permettant l'ouverture/fermeture des portes et autres options
L'armoire de commandes
La déviation des câbles vers l'intérieur du bâtiment
A l'intérieur du bâtiment, on retrouve la gare Alpha 210
La poulie à double gorge
Les deux galets permettant la déviation du câble à la poulie
Un des deux vérins hydraulique
La centrale hydraulique et les bouteilles d'azote tout autour
A l'étage de la gare, voici le moteur électrique
Le refroidisseur automatique du moteur
La plaque d'informations du moteur
Vue sur l'arbre rapide reliant le réducteur au moteur
Le réducteur principal
Le frein de service
Le moteur thermique de secours
Son réducteur
La courroie le reliant au réducteur principal
Les commandes du moteur thermique
La centrale de freins
Cabines et pinces
Le Rocharbois est composé de deux cabines Sotelem de trois compartiments pouvant accueillir chacun 25 personnes.
Une cabine en ligne
Une cabine vue depuis la piste rouge "Calvaire"
Une cabine entre deux pylônes ; remarquez la masse impressionnante de la cabine
Une cabine au passage d'un pylône
La plaque d'informations sur l'installation à l'intérieur de la cabine
Les cabines sont reliées au câble grâce à trois double-pinces fixe installées sur chaque extrémité de la cabine.
Vue d'ensemble des pinces
Une double pince
Une pince de dos
Une pince vue d'en dessous ...
... Et de face
Le Rocharbois vu depuis les environs
Le pylône 1 depuis la piste rouge du Calvaire
Le pylône 3
Le pylône 5
Un appareil indispensable
Le funitel Rocharbois est donc un appareil atypique et indispensable pour la liaison des massifs de Rochebrune et du Mont-d'Arbois. Malgré son âge, il a encore de belles années devant lui. Il est d'ailleurs prévu le remplacement des cabines, vieillissantes, par des véhicules neufs durant l'été 2013.
Avant de terminer ce reportage je tiens à remercier le personnel de l'installation pour la visite et les explications de l'installation. Je remercie aussi le chef d'exploitation des remontées mécaniques de Rochebrune pour l'autorisation de mise en ligne des photos. Enfin, un merci à Chin@ill, Monchu et Dj_Jean_Jean pour les photos et schémas.
J'ib, Juillet 2013
Photos : J'ib
Texte, bannière et mise en page : J'ib
Date des photos : 20 Février 2012, 12 Juillet 2012 & 4, 10 et 12 Mars 2013
#38
PomAntoine
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Posté 01 juillet 2013 - 12:24
Magnifique reportage pour un appareil atypique !
#39
Guigui74
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Posté 01 juillet 2013 - 12:25
Merci j'ib.
Une chose m'intrigue: des chariots à deux galets ont été rajoutés à postériori au dessus des pinces et ils n'étaient pas présent dans le dessin d'origine.
J'imagine qu'ils servent à faciliter l'évacuation en cas de panne?
Cet appareil a été préféré à une télécabine pour des raisons d'esthétique et de voisinage, il a donc d'abord été conçu pour minimiser l'impact visuel: deux grosses cabines en va et vient qui ne passent pas aussi souvent que de plus petites, presque pas de suspentes disgracieuses, têtes de pylônes compactes en hauteur pour ne pas barrer la vue, deux câbles fin sans porteur.
Toutes ces considérations d'ordre esthétique eurent pour conséquence l'emploi d'une voie large: il est intéressant de noter que ce n'est qu'ensuite qu'on s'est rendu compte de la remarquable stabilité de ce dispositif face au vent, configuration qui serait reprise en 1990 sur les débrayables.
On est quand même en droit de s'interroger quant à l'esthétique de cet appareil car pour moi, le but n'est pas du tout atteint!
Et niveau débit, à chaque fois que je l'ai emprunté il était saturé au point que j'ai renoncé plus d'une fois à aller sur le Mont D'Arbois...bref, à l'instar du TPH Transval de La Clusaz (qui a fort bien pu l'inspirer), le voir reconduit pour X années ne m'enchante pas le moins du monde...
Une chose m'intrigue: des chariots à deux galets ont été rajoutés à postériori au dessus des pinces et ils n'étaient pas présent dans le dessin d'origine.
J'imagine qu'ils servent à faciliter l'évacuation en cas de panne?
Cet appareil a été préféré à une télécabine pour des raisons d'esthétique et de voisinage, il a donc d'abord été conçu pour minimiser l'impact visuel: deux grosses cabines en va et vient qui ne passent pas aussi souvent que de plus petites, presque pas de suspentes disgracieuses, têtes de pylônes compactes en hauteur pour ne pas barrer la vue, deux câbles fin sans porteur.
Toutes ces considérations d'ordre esthétique eurent pour conséquence l'emploi d'une voie large: il est intéressant de noter que ce n'est qu'ensuite qu'on s'est rendu compte de la remarquable stabilité de ce dispositif face au vent, configuration qui serait reprise en 1990 sur les
débrayables.On est quand même en droit de s'interroger quant à l'esthétique de cet appareil car pour moi, le but n'est pas du tout atteint!
Et niveau débit, à chaque fois que je l'ai emprunté il était saturé au point que j'ai renoncé plus d'une fois à aller sur le Mont D'Arbois...bref, à l'instar du TPH Transval de La Clusaz (qui a fort bien pu l'inspirer), le voir reconduit pour X années ne m'enchante pas le moins du monde...
In Ropeways I Trust
#40
Kaoz
- DMC du Pontillas
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- Messages : 1 192
- Inscrit(e) : 10-février 07
Posté 01 juillet 2013 - 15:07
Merci pour ce beau reportage
Superbe gare alpha : on voit que Poma est, à l'image de Montagner, un touche à tout qui innove en utilisant du matériel de série !
Vous avez d'autres exemples de gare alpha sous bâtiment ?
Et sinon, d'accord avec toi chin@ill, l'attente parfois longue entraine parfois une non liaison entre les 2 massifs.
En même temps, le massif de Rochebrune est aussi particulier avec son enchainement de remontées obligatoires... Pour aller de la Caboche à Côte 2000, il faut avoir du temps devant soi ! De plus, le manque de débit des Lanchettes ou du Rochefort bloque la bonne circulation.
Partant de Saint Gervais, je ne vais sur ce massif qu'en y allant dès le matin ! Et souvent, je ne dépasse pas les Lanchettes ou les pistes rouges sont très intéressantes ainsi que sur la Petite Fontaine, les 2 TSF4 Radaz et Côte 2000 étant trop lents à mon goût...
C'est fou comme les appareils de liaison sont souvent mal proportionnés ou avec une longue attente : Rocharbois à Megève, mais aussi les Ferrand (2 TKD) au Sancy, dans une moindre mesure, la liaison entre la Plagne et les Arcs (il me semble)...
A croire que les stations aiment être reliées pour le kilométrage total, mais il ne faudrait pas que les gens transitent trop non plus...
Superbe gare alpha : on voit que Poma est, à l'image de Montagner, un touche à tout qui innove en utilisant du matériel de série !
Vous avez d'autres exemples de gare alpha sous bâtiment ?
Et sinon, d'accord avec toi chin@ill, l'attente parfois longue entraine parfois une non liaison entre les 2 massifs.
En même temps, le massif de Rochebrune est aussi particulier avec son enchainement de remontées obligatoires... Pour aller de la Caboche à Côte 2000, il faut avoir du temps devant soi ! De plus, le manque de débit des Lanchettes ou du Rochefort bloque la bonne circulation.
Partant de Saint Gervais, je ne vais sur ce massif qu'en y allant dès le matin ! Et souvent, je ne dépasse pas les Lanchettes ou les pistes rouges sont très intéressantes ainsi que sur la Petite Fontaine, les 2 TSF4 Radaz et Côte 2000 étant trop lents à mon goût...
C'est fou comme les appareils de liaison sont souvent mal proportionnés ou avec une longue attente : Rocharbois à Megève, mais aussi les Ferrand (2 TKD) au Sancy, dans une moindre mesure, la liaison entre la Plagne et les Arcs (il me semble)...
A croire que les stations aiment être reliées pour le kilométrage total, mais il ne faudrait pas que les gens transitent trop non plus...
En attente des futurs reportages sur de nombreux téléskis Montagner !