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Très beau reportage, très complet surtout au niveau de la présentation de la station et de l'historique de la remontée.
Du coup attention pour les mises à jour pour la présentation de la station, il faudra le faire dans chaque reportage et cela risque d'être compliqué je pense.
Mais félicitations, c'est très plaisant à lire
TCD4 de la Daille (†) - Val d'Isère Poma - 1966>2018
#22
j'ib 
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Posté 17 avril 2015 - 18:49
minou, le 17 avril 2015 - 17:26 , dit :
Très beau reportage, très complet surtout au niveau de la présentation de la station et de l'historique de la remontée.
Du coup attention pour les mises à jour pour la présentation de la station, il faudra le faire dans chaque reportage et cela risque d'être compliqué je pense.
Mais félicitations, c'est très plaisant à lire
Du coup attention pour les mises à jour pour la présentation de la station, il faudra le faire dans chaque reportage et cela risque d'être compliqué je pense.
Mais félicitations, c'est très plaisant à lire
Oui c'est vrai, mais c'est surtout au niveau des chiffres des remontées, c'est juste une petite MAJ à faire au fur et à mesure, c'est rapide.
#23
Artsinol
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Posté 17 avril 2015 - 19:20
Merci pour le beau reportage , juste un conseil : sur les ecrans de Google earth supprimez les "panoramio" ils sont pas beaux
Un rêveur comme beaucoup d'autres, nostalgique d'histoires qu'il n'a hélas jamais vécues.
Je m'excuse si les textes sont parfois difficiles à comprendre, le français n'étant pas ma langue maternelle.
Je m'excuse si les textes sont parfois difficiles à comprendre, le français n'étant pas ma langue maternelle.
#25
lla117
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Posté 18 avril 2015 - 12:05
phil91, le 18 avril 2015 - 01:06 , dit :
Belle refonte du reportage ! Juste une précision qui n'est pas évoquée : dans quelle(s) gare(s) se situe(nt) le(s) garage(s) des cabines ?
Les cabines sont stockees en aval et en amont (il existe une voie de garage dediee en amont mais elle ne peux pas accueillir l'integralite des cabines).
#27
Lolo42
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Posté 20 avril 2015 - 21:02
Merci pour le reportage />
Pour expliquer cela, il faut préciser que ce premier prototype de cabine n'était pas automatique : durant la première saison (et non pas après plusieurs années) les coques devaient être fermées et verrouillées manuellement par dessous. D'ailleurs les cabines proto de la Daille sont des SP3 (à fermeture manuelle), les premières SP4 (fermeture auto et suspension revue) sont celles de Chalmazel et des Menuires..
C'est à la suite des remontées des conducteurs et des clients que Franciz Tauzin et Jean Pomagalski réfléchissent donc à un mécanisme de fermeture automatique. Le principe d'un levier vertical qui agit sur un jeu de biellettes à genouillères est finalement retenu après plusieurs semaines de discussion. Toutes les cabines de la Daille sont alors rapatriées à la belle saison 1967 pour être modifiées. On les équipe du système. Mais on en profite aussi pour modifier la chape de suspension car les vibrations étaient véritablement "insupportables".
L'appareil, cette fois réellement « SP4 automatique », rouvre modifié pour la saison 1967-1968, rejoint par les télécabines de Queenstown en Nouvelle Zélande (qui reste, elle, à fermeture manuelle), de Pierre-sur-Haute à Chalmazel (Loire) et de la Masse aux Menuires (Savoie) qui intègrent d'origine ces modifications sur les cabines.
/>j, le 17 avril 2015 - 16:14 , dit :
Comme déjà dit, Pomagalski réalise ici sa première télécabine débrayable quatre places avec pour la première fois des cabines de type SP4. La SACMI s'est occupée d'installer la mécanique des gares ainsi que les pylônes en treillis en croix, identiques à ceux qui équipaient ses télécabines, mais avec des balanciers et des potences de décablage revus. Durant les premières années d'exploitation de ces cabines, des défauts font leurs apparitions, comme les vibrations, le manque d'aération, et aussi on retrouvait en fin de journée un personnel fatigué d'avoir à verrouiller et déverrouiller chaque cabine de l'appareil.
Pour expliquer cela, il faut préciser que ce premier prototype de cabine n'était pas automatique : durant la première saison (et non pas après plusieurs années) les coques devaient être fermées et verrouillées manuellement par dessous. D'ailleurs les cabines proto de la Daille sont des SP3 (à fermeture manuelle), les premières SP4 (fermeture auto et suspension revue) sont celles de Chalmazel et des Menuires..
C'est à la suite des remontées des conducteurs et des clients que Franciz Tauzin et Jean Pomagalski réfléchissent donc à un mécanisme de fermeture automatique. Le principe d'un levier vertical qui agit sur un jeu de biellettes à genouillères est finalement retenu après plusieurs semaines de discussion. Toutes les cabines de la Daille sont alors rapatriées à la belle saison 1967 pour être modifiées. On les équipe du système. Mais on en profite aussi pour modifier la chape de suspension car les vibrations étaient véritablement "insupportables".
L'appareil, cette fois réellement « SP4 automatique », rouvre modifié pour la saison 1967-1968, rejoint par les télécabines de Queenstown en Nouvelle Zélande (qui reste, elle, à fermeture manuelle), de Pierre-sur-Haute à Chalmazel (Loire) et de la Masse aux Menuires (Savoie) qui intègrent d'origine ces modifications sur les cabines.
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#28
j'ib
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Posté 21 avril 2015 - 11:48
Merci à tous pour les commentaires fort sympathiques.
Pour expliquer cela, il faut préciser que ce premier prototype de cabine n'était pas automatique : durant la première saison (et non pas après plusieurs années) les coques devaient être fermées et verrouillées manuellement par dessous. D'ailleurs les cabines proto de la Daille sont des SP3 (à fermeture manuelle), les premières SP4 (fermeture auto et suspension revue) sont celles de Chalmazel et des Menuires..
C'est à la suite des remontées des conducteurs et des clients que Franciz Tauzin et Jean Pomagalski réfléchissent donc à un mécanisme de fermeture automatique. Le principe d'un levier vertical qui agit sur un jeu de biellettes à genouillères est finalement retenu après plusieurs semaines de discussion. Toutes les cabines de la Daille sont alors rapatriées à la belle saison 1967 pour être modifiées. On les équipe du système. Mais on en profite aussi pour modifier la chape de suspension car les vibrations étaient véritablement "insupportables".
L'appareil, cette fois réellement « SP4 automatique », rouvre modifié pour la saison 1967-1968, rejoint par les télécabines de Queenstown en Nouvelle Zélande (qui reste, elle, à fermeture manuelle), de Pierre-sur-Haute à Chalmazel (Loire) et de la Masse aux Menuires (Savoie) qui intègrent d'origine ces modifications sur les cabines.
D'accord, je rajoute ça au reportage !
lolo42, le 20 avril 2015 - 21:02 , dit :
j, le 17 avril 2015 - 16:14 , dit :
Comme déjà dit, Pomagalski réalise ici sa première télécabine débrayable quatre places avec pour la première fois des cabines de type SP4. La SACMI s'est occupée d'installer la mécanique des gares ainsi que les pylônes en treillis en croix, identiques à ceux qui équipaient ses télécabines, mais avec des balanciers et des potences de décablage revus. Durant les premières années d'exploitation de ces cabines, des défauts font leurs apparitions, comme les vibrations, le manque d'aération, et aussi on retrouvait en fin de journée un personnel fatigué d'avoir à verrouiller et déverrouiller chaque cabine de l'appareil.
Pour expliquer cela, il faut préciser que ce premier prototype de cabine n'était pas automatique : durant la première saison (et non pas après plusieurs années) les coques devaient être fermées et verrouillées manuellement par dessous. D'ailleurs les cabines proto de la Daille sont des SP3 (à fermeture manuelle), les premières SP4 (fermeture auto et suspension revue) sont celles de Chalmazel et des Menuires..
C'est à la suite des remontées des conducteurs et des clients que Franciz Tauzin et Jean Pomagalski réfléchissent donc à un mécanisme de fermeture automatique. Le principe d'un levier vertical qui agit sur un jeu de biellettes à genouillères est finalement retenu après plusieurs semaines de discussion. Toutes les cabines de la Daille sont alors rapatriées à la belle saison 1967 pour être modifiées. On les équipe du système. Mais on en profite aussi pour modifier la chape de suspension car les vibrations étaient véritablement "insupportables".
L'appareil, cette fois réellement « SP4 automatique », rouvre modifié pour la saison 1967-1968, rejoint par les télécabines de Queenstown en Nouvelle Zélande (qui reste, elle, à fermeture manuelle), de Pierre-sur-Haute à Chalmazel (Loire) et de la Masse aux Menuires (Savoie) qui intègrent d'origine ces modifications sur les cabines.
#29
seb1511
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Posté 30 avril 2018 - 15:11
Bonjour,
Suite au démontage prochain de la TCD4 de la Daille, sait on déjà si ces cabines seront réutilisées et s'il y aura possibilité de s'en procurer une? (Bon, ce ne sont pas les vrais "oeufs" d'origine, mais je demande au cas où hein?
)
Seb
Suite au démontage prochain de la TCD4 de la Daille, sait on déjà si ces cabines seront réutilisées et s'il y aura possibilité de s'en procurer une? (Bon, ce ne sont pas les vrais "oeufs" d'origine, mais je demande au cas où hein?
) Seb
#30
j'ib
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Posté 01 mai 2018 - 23:00
Mise à jour du reportage avec le rajout d'une partie technique et des photos de la machinerie en G1. Rajout également de quelques photos et modifications du texte en vu d'adaptation à son remplacement de cet été.
N'hésitez pas à poster questions-commentaires-remarques !!
N'hésitez pas à poster questions-commentaires-remarques !!
#31
monchu
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Posté 11 août 2023 - 16:05
Merci pour le reportage complet. J'ajoute un extrait de la boîte à archives.
Les débuts de l'aménagement de ce secteur ont été compliqués. De nombreux désaccords entre la STVI et la municipalité et le département ont pas mal retardé l'aménagement de la Daille. Dans les années 60, la STVI voulait mettre la priorité sur l'équipement du secteur d'altitude au-dessus de Solaise et de Bellevarde, et le département voulait à tout prix assurer une liaison avec Tignes par gros porteur au départ de la Daille. On aurait eu un schéma en Y avec une télécabine de la Daille aux Tommeuses, et deux autres télécabines l'une vers Bellevarde l'autre vers la Tovière.
Une télécabine ne pouvait pas être rentabilisée sans la réalisation de programmes immobiliers à la Daille qui n’est alors qu’un simple hameau. En 1963 la STVI a proposé de construire un simple télésiège, que la commune n’a pas autorisé. C'est la commune qui a pris le risque financier de faire construire en 1966 le premier tronçon de la télécabine de la Daille, avant même l'achèvement de la première tranche de résidences prévues pour 1968. La première télécabine de la Daille a donc été construite par la commune et exploitée pendant de nombreuses années par la régie communale de la Daille, ai contraire de la plupart des autres remontées de Val d'Isère exploitées par la STVI.
Le premier tronçon a ouvert en 1966/67, le second en 1968. À partir de la gare intermédiaire, il était possible de rejoindre Tignes par le téléski des Tommeuses construit en 1957, mais il faudra attendre 1971 et le premier forfait commun aux 2 stations pour que la liaison soit vraiment effective et fluide.
Voici l'album souvenir de la première télécabine de la Daille, première télécabine Poma, équipée des célèbres cabines SP3/4 et des pylônes treillis à croisillons en X.
La TCD4 sur le plan des pistes :
Les programmes immobiliers du paquebot de la Daille qui mettent en avant la télécabine pour l'aspect ski aux pieds :
Voici les images du premier tronçon.
La ligne à l'origine :
La ligne dans les années 90 après la construction du funiculaire et du télésiège des Etroits :
La gare aval à l'origine :
La gare aval après la construction du premier télésiège des Etroits :
Le bâtiment en bardage tôle :
Sur de nombreuses photos, des cabines sont placées à terre devant la gare. Peut-être s'agissait-il de cabines SP3 de première génération attendant la modification pour l'installation du mécanisme de fermeture automatique des portes ?
La gare a ensuite été agrandie et intégrée dans un chalet :
Le bas de la ligne à la Daille :
Le milieu du parcours et la piste OK :
La gare intermédiaire située légèrement au-dessus du départ des téléskis des Tommeuses :
Le contrepoids du premier tronçon :
Les cabines ont ensuite été remplacées par des SP76:
Voici le 2e tronçon vers Bellevarde, avec la gare intermédiaire qui formait un angle marqué :
Le départ du deuxième tronçon :
À l'arrière les téléskis du Mont-Blanc et des Tommeuses :
Le début de la ligne du deuxième tronçon et à l'arrière le dernier pylône du premier tronçon :
Le bas de la ligne :
En dévers sous Bellevarde :
La gare amont était placée à l'emplacement de l'actuelle arrivée du Funival, En contrebas de l'arrivée du téléphérique de Bellevarde :
Comme sur le premier tronçon, les cabines d'origine ont ensuite été remplacées par des SP76 :
Les débuts de l'aménagement de ce secteur ont été compliqués. De nombreux désaccords entre la STVI et la municipalité et le département ont pas mal retardé l'aménagement de la Daille. Dans les années 60, la STVI voulait mettre la priorité sur l'équipement du secteur d'altitude au-dessus de Solaise et de Bellevarde, et le département voulait à tout prix assurer une liaison avec Tignes par gros porteur au départ de la Daille. On aurait eu un schéma en Y avec une télécabine de la Daille aux Tommeuses, et deux autres télécabines l'une vers Bellevarde l'autre vers la Tovière.
Une télécabine ne pouvait pas être rentabilisée sans la réalisation de programmes immobiliers à la Daille qui n’est alors qu’un simple hameau. En 1963 la STVI a proposé de construire un simple télésiège, que la commune n’a pas autorisé. C'est la commune qui a pris le risque financier de faire construire en 1966 le premier tronçon de la télécabine de la Daille, avant même l'achèvement de la première tranche de résidences prévues pour 1968. La première télécabine de la Daille a donc été construite par la commune et exploitée pendant de nombreuses années par la régie communale de la Daille, ai contraire de la plupart des autres remontées de Val d'Isère exploitées par la STVI.
Le premier tronçon a ouvert en 1966/67, le second en 1968. À partir de la gare intermédiaire, il était possible de rejoindre Tignes par le téléski des Tommeuses construit en 1957, mais il faudra attendre 1971 et le premier forfait commun aux 2 stations pour que la liaison soit vraiment effective et fluide.
Voici l'album souvenir de la première télécabine de la Daille, première télécabine Poma, équipée des célèbres cabines SP3/4 et des pylônes treillis à croisillons en X.
La TCD4 sur le plan des pistes :
Les programmes immobiliers du paquebot de la Daille qui mettent en avant la télécabine pour l'aspect ski aux pieds :
Voici les images du premier tronçon.
La ligne à l'origine :
La ligne dans les années 90 après la construction du funiculaire et du télésiège des Etroits :
La gare aval à l'origine :
La gare aval après la construction du premier télésiège des Etroits :
Le bâtiment en bardage tôle :
Sur de nombreuses photos, des cabines sont placées à terre devant la gare. Peut-être s'agissait-il de cabines SP3 de première génération attendant la modification pour l'installation du mécanisme de fermeture automatique des portes ?
La gare a ensuite été agrandie et intégrée dans un chalet :
Le bas de la ligne à la Daille :
Le milieu du parcours et la piste OK :
La gare intermédiaire située légèrement au-dessus du départ des téléskis des Tommeuses :
Le contrepoids du premier tronçon :
Les cabines ont ensuite été remplacées par des SP76:
Voici le 2e tronçon vers Bellevarde, avec la gare intermédiaire qui formait un angle marqué :
Le départ du deuxième tronçon :
À l'arrière les téléskis du Mont-Blanc et des Tommeuses :
Le début de la ligne du deuxième tronçon et à l'arrière le dernier pylône du premier tronçon :
Le bas de la ligne :
En dévers sous Bellevarde :
La gare amont était placée à l'emplacement de l'actuelle arrivée du Funival, En contrebas de l'arrivée du téléphérique de Bellevarde :
Comme sur le premier tronçon, les cabines d'origine ont ensuite été remplacées par des SP76 :
#32
Adrien74
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Posté 11 août 2023 - 23:40
Merci pour c’est photos concernant de la ligne de daille 2, elle sont très rare vue que cet appareil a û une carrière très courte, aux niveaux de l’intermédiaire, ça devrait être deux appareils distincts et non reliés.
#33
Nanouk
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Posté 12 août 2023 - 09:11
A la bonne heure, monchu ! Encore une fois, un grand merci pour la publication de ces clichés d'un autre temps (en particulier pour ceux qui illustrent le second tronçon que je n'ai jamais connu)
Le second tronçon n'a pas eu une carrière si courte que ça ... près de 20 ans quand même (1968-1987).
Adrien74, le 11 août 2023 - 23:40 , dit :
Merci pour c’est photos concernant de la ligne de daille 2, elle sont très rare vue que cet appareil a û une carrière très courte, aux niveaux de l’intermédiaire, ça devrait être deux appareils distincts et non reliés.
Le second tronçon n'a pas eu une carrière si courte que ça ... près de 20 ans quand même (1968-1987).
Nanouk Windemuth
#35
monchu
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Posté 13 août 2023 - 12:06
Adrien74, le 11 août 2023 - 23:40 , dit :
Merci pour c’est photos concernant de la ligne de daille 2, elle sont très rare vue que cet appareil a û une carrière très courte, aux niveaux de l’intermédiaire, ça devrait être deux appareils distincts et non reliés.
Effectivement l'angle est très important et je ne pense pas qu'il y avait un transfert en permanence.