Gestion des files d'attentes
#41 Invité_remontees_*
Posté 17 janvier 2015 - 16:42
#42
Posté 17 janvier 2015 - 20:05
#43
Posté 18 janvier 2015 - 06:57
canard333, le 17 janvier 2015 - 13:35 , dit :
quant ou sais qu'un 4 places peu débité jusqu'à 2800 p/h en théorique (presque autant voir plus que la majorité des 6 places) !
bon il y a sûrement de bonnes raisons pour choisir un TSD6 plutôt qu'un TSD4 à la construction mais dans mon cas quant y a affluence et que j'ai le choix entre un 6 ou un 4 je me met dans le file du 4 places c'est meilleur pour mes nerfs...
plus ou moin vrai. mais c est vrai que c est plutot 2 places vides qu il reste . Par contre un 6 places c est moins fluide . Rouler à 5 m/s en plein février sur un 6 places relève de l exploit ! alors que c est plus facile sur un 4 .
Ce message a été modifié par monchu - 18 janvier 2015 - 12:54 .
Raison de l'édition : orthographe
#44
Posté 18 janvier 2015 - 12:57
http://www.letemps.c...u_ski_en_Suisse
Citation
L’ambassadrice US critique le «chaos» du ski en Suisse
Olivier Perrin
Suzan G. LeVine tente de comprendre pourquoi les stations d’hiver manquent de discipline. (Gian Ehrenzeller/Keystone)
Suzan G. LeVine tente de comprendre pourquoi les stations d’hiver manquent de discipline. (Gian Ehrenzeller/Keystone)
L’ambassadrice des Etats-Unis s’est étonnée de l’inefficacité des remontées d’Adelboden et de ses files désordonnées. On a frisé l’incident diplomatique
«Ich habe eine Frage: I’m trying to understand the chaos in the lift lines at Swiss ski resorts…» Zut, Mme l’ambassadrice a un problème. Celui du «chaos» qui, selon, elle, règne au cœur des files de skieurs qui s’agglutinent au pied des téléskis suisses.
Suzan G. LeVine, représentante des Etats-Unis en Suisse, vient de le faire savoir haut et fort après ses vacances de neige. Ella ainsi frisé l’incident diplomatique sur son compte Twitter (@AmbSuzi) , où elle est suivie par près de 2000 abonnés. Mais surtout sur Facebook (AmbSuzi LeVine) , où elle explique ses déboires de skieuse pas comme une autre.
Quels sont-ils, ses malheurs? «Hier», écrit-elle le 2 janvier 2015 à 10h36, «nous avons passé une merveilleuse journée à Adelboden». Sur les photos qui accompagnent ce post, elle précise qu’on voit sa fille et, saisie romantique du paysage, «la lune se levant derrière la crête des montagnes». Bref, le paradis, dans la poudreuse et sous un ciel bleu pétard. Rien de particulièrement désagréable jusqu’ici.
D’ailleurs, la nouvelle ambassadrice des Etats-Unis en Helvétie, depuis sept mois qu’elle est en poste, n’a pas manqué une seule occasion de souligner combien le pays était «sensationnel». Elle a aussi prêté serment sur une tablette, qu’elle a ensuite offerte au Musée de la communication de Berne.
Puis elle a confié au Temps qu’être très active sur les réseaux sociaux, habitude peu commune parmi les diplomates, c’était pour elle le moyen de dire son admiration du système politique helvétique. Et «les réseaux sociaux sont le meilleur exemple de démocratie directe. Je les utilise comme un moyen de m’adresser aux gens, de partager et de leur parler avant même de les rencontrer».
Mais dans l’Oberland bernois, les choses se sont un peu gâtées lorsqu’elle a fait aveu de sa «perplexité» – le terme reste sur le mode châtié des diplomates – en voyant «la mêlée» de skieurs qui s’agitait en direction des remontées mécaniques. Un vrai «chaos», dit-elle donc, qui déclenche en elle ces deux questions abyssales: «Y a-t-il une manière optimale de naviguer dans la file?» Et «y a-t-il des stations suisses qui font mieux?», notamment en gérant avec plus d’efficacité l’occupation complète des sièges disponibles sur les remontées.
«Bonne chance», lui rétorque une demi-heure après un certain Markus Maurer, sous-entendant ce que Thibaut Schaller, correspondant parlementaire de la RTS, lui confirme dans la foulée: «C’est la manière qu’ont les Suisses de se mélanger. Peut-être la seule manière» (avec un smiley). «Et parfois, la discussion s’engage, ou plus.» Si entente, puisque le journaliste précise qu’il peut s’agir d’«une histoire d’amour, etc.»
Du coup, la conseillère nationale démocrate-chrétienne de Bâle-Campagne Elisabeth Schneider-Schneiter renchérit en conseillant simplement à Son Excellence de ne pas prêter attention à tout cela, «comme ça, vous aurez assez de temps pour parler avec les gens». Dans la même veine, moins polie, de ceux qui pensent que l’important, c’était ce jour-là la neige enfin arrivée en station et non ces petits «problèmes» insignifiants. «Any more questions?» ajoute Hans-Peter Pauli, un poil agacé.
Le hasard a voulu que tout cela arrive au moment où un haut responsable touristique tyrolien a vertement critiqué, dans la Zentralschweiz am Sonntag, l’accueil que réservent les Suisses à leurs touristes: la rengaine habituelle, qui engendre toujours de gaies polémiques médiatiques, de ces stations de ski qui voudraient l’argent des skieurs sans les skieurs.
Mais, belle joueuse et pleine d’allant, Mme LeVine ne s’est pas arrêtée en si bon chemin. Son but était, visiblement, de «partager» – comme on le dit sur les réseaux sociaux – ses expériences. Elle a notamment fait appel aux internautes pour comparer la situation, avec les stations américaines. Le Blick a aussitôt saisi la perche, pour expliquer que le président de Suisse Tourisme, Jürg Schmid, avait encouragé la représentante de ce grand pays – si souvent jugé comme arrogant envers la Suisse, et son système fiscal, surtout – à lui faire rapport à la fin de la saison sportive hivernale.
#45
Posté 25 janvier 2015 - 21:22
Nouvelle invention de nos "instruits" censée tout arranger....à savoir :
Sourire
Bonjour
Au-revoir
Merci
#46
Posté 21 février 2016 - 13:06
Est-ce pareil dans d'autres stations?
Ce message a été modifié par Clément05 - 21 février 2016 - 13:07 .
#47
Posté 21 février 2016 - 21:41
___________________________________________
www.skigranddomaine.net
#48
Posté 21 février 2016 - 22:28
#49
Posté 21 février 2016 - 23:37
Les bleues dont Néotéo parle c'est bien celles-ci ? http://www.remontees...1177_118425.jpg
Reportages à venir :
Voir sur mon profil.
#50
Posté 22 février 2016 - 10:17
parfois il y a aussi le controleur zélé qui fout des " controle forfait " alors que ya vachement d'attente , et sa multplie la cohue et les sieges monte quasi vide .
je vais jamais trop souvent dans les caisses mais la c est impressionnant l' attente !! et sa avance pas . ( choisir le bon forfait pour les petits et tout )
#51
Posté 24 février 2016 - 19:35
Cela permet ensuite aux groupes voulant monter ensemble de s'attendre en laissant aux autres la place de passer.
Enfin en principe... car il se trouvera toujours des gens pour vous râler dessus quand vous les doublez alors qu'ils ont passé leur temps à chercher du regard tonton Marcel qui traînasse derrière, ont discuté avec le voisin, téléphoné ou juste joué avec leur téléphone le tout en oubliant d'avancer.
Sans doute n'ont-ils pas compris ce paradoxe qui veut que, contrairement à la salle du même nom, dans une file d'attente eh bien il faut avancer!
De même il y aura toujours des gens qui n'ont pas compris qu'un forfait main libre se met dans la manche et non sur la poitrine...ce qui les oblige à copuler avec la borne jusqu'à ce que le tourniquet démarre en faisant ainsi perdre du temps à tout le monde, le problème s'aggravant de façon inversement proportionnelle à la taille du skieur... d'où les drames au portillon avec les gosses!
Il y a aussi ceux (voire celles) qui vous spoilent la file solo en choisissant précisément cet endroit-là pour resserrer leurs boots, enclencher leurs fixations ou pire, attendre cousin'Hub et tata Germaine voire pôpa chéri qui eux se trouvent dans la file classique, en empêchant les suivants de passer du fait de l'étroitesse du couloir...il faudrait peut être prévoir une aire de stationnement permettant aux snowboarders de s'équiper pour le voyage sans gêner ceux qui sont derrière?
Également ceux qui refusent de bouger une fois franchi le portillon, exposant ceux qui dépassent à l’arrière de la file à se faire percuter par des fous furieux...
Et que dire de ceux qui, jaloux des usagers de la file solo, font exprès de la bloquer en laissant n places libres à l'opposé du débouché de celle-ci?
Bref, les files d'attente c'est tout un programme et m'est avis qu'il y a des coups de bâton qui se perdent...
#52
Posté 25 février 2016 - 02:14
La station ou je travail le télésiège principal 4 places comporte 3 files principales
-personnes seules
- 2 par 2
- 3 ou 4 skieurs
A la sortie des files il y a un placier qui coordonne le tout avec en plus le personnel des pistes et les moniteurs qui passent par des files dédiés. Les sièges sont tout le temps remplis (pour peu que le placier soit sympathique et autoritaire) et le temps d'attente est considérablement optimisé. Le contrôle des forfaits (manuel) s'effectue bien en amont et pas à 2m des cadanceurs.
Avec des bornes automatiques c'est pareil, il ne faut pas hésiter à les éloigner de l'aire d'embarquement pour laisser aux clients le temps de se placer plus tard.. Nul besoin d'avoir autant de bornes que de capacité, pour exemple le TSD6 Lachaup au Val d'Allos ne comporte que 4 bornes et avec un préposé actif les sièges partent pleins à tout les coup...mais les bornes sont suffisamment loin des cadenceurs pour ne pas "retenir" la clientèle en cas de bug. Par contre 4 bornes pour un débit de 1800p/h c'est pile poil il n'en faudrait pas plus mais surtout pas moins.
EDIT: je travail dans une station au Québec (Vallée du Parc)
Ce message a été modifié par fredo_chato - 26 février 2016 - 03:38 .
#53
Posté 25 février 2016 - 11:23
La raison principale est le manque d'effectif, ou ceci n'est pas la priorité de l'exploitant... On constate que l'organisation du travail n'est pas la même... Il faut prendre plus de place pour organiser les files d'attentes, ect...
Le côté indiscipline des skieurs : ça me fait rire. Déjà 1/ ce sont des clients, et 2/ c'est à l'exploitant d'organiser les choses pour que cela se passe bien. Le cas indiv- du pinpin de service ne rentre pas dans les stat's... LOL
Bref : en cas de fort trafic en Am-Nord 98% des sièges ou cabines embarquent full, et le débit réel est proche du débit théorique.
Au sujet des bornes de contrôle des forfaits : Oui, parfois il est flagrant qu'elles sont placées trop prés de la zone d'embarquement. Cela créer un bouchon, puis ensuite les sièges partent "à vide"... bref... A l'exploitant de réfléchir avant de positionner ses équipements...
#54
Posté 26 février 2016 - 13:30
je skie depuis le début de la saison en Autriche. Ici, les sièges partent à plein : dés qu'il y a du monde, l'un des employé de la remontée se charge de les remplir à l'aide de la file skieur seul. J'ai aussi remarqué qu'en cas de mauvais temps, sur les TSD, les sièges sont systématiquement repliés en haut puis dépliés et nettoyés en bas. Évidemment ça demande quatre employés par remontée, mais le client apprécie.
#55
Posté 13 mars 2016 - 18:19
TC4 le melezet 900s/h : 2 bornes skidata grises, mais souvent une seule en fonctionnement, 2 personnes (une aux vérif forfaits, un à l'embarquement) entre 3 et 4 places remplies, pas de consigne pour remplir au max. En général , les skieurs locaux seuls complètent lorsqu'il reste une place
TSD4 la Repose 2400s/h : 3 bornes skidata grises, 2 personnes (une aux vérif forfaits, un à l'embarquement) entre 2 et 4 places remplies en période d'affluence, pas de consigne pour remplir au max
TSF3 Norma2, Carrelet, Clot entre 1000 et 1400s/h : pas de contrôles, pas de bornes, 1 personne à l'embarquement entre 2 et 3 places remplies en période d'affluence, pas de consigne pour remplir au max
Je ne vois pas la nécessité pour cette station d'optimiser l'embarquement car il n'y a pas beaucoup d'attente. Seul le TC4 le matin et en début d'après midi avec l'esf, c'est un peu plus long, mais les moniteurs complète à la façon de la "single file"
Ce message a été modifié par Scolette - 13 mars 2016 - 18:23 .
#56
Posté 16 mai 2017 - 00:12
je skie depuis quelques années au Grand Massif et en général il y a peu d'attente aux RM
pendant les vacances de février j'ai été terriblement emmer... par le monde sur les pistes mais pas par les files d'attente