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TCD6 du Jardin Alpin
Courchevel (Les 3 Vallées)
Poma



Description rapide :
Télécabine urbaine au sein de Courchevel 1850 donnant accès au domaine skiable. Seconde et dernière télécabine six places mise en service sur le domaine.
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Télécabine urbaine au sein de Courchevel 1850 donnant accès au domaine skiable. Seconde et dernière télécabine six places mise en service sur le domaine.
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- Gare intermédiaire 2 brins

Auteur de ce reportage : Geofrider
Section écrite le 27/08/2010 et mise à jour le 03/09/2010
(Mise en cache le 11/07/2014)
Courchevel 1850, la célèbre station savoyarde huppée comporte un domaine skiable compris entre 1260 et 2738 mètres d’altitude. Ce domaine compose avec l’ensemble des autres stations de la Vallée de Courchevel, le plus grand domaine skiable du monde relié skis aux pieds, les Trois Vallées. La télécabine débrayable du Jardin Alpin est la seconde et dernière télécabine six places à avoir été installée sur le domaine de Courchevel
Des origines de Courchevel au téléski du Jardin Alpin
Courchevel voit sa première remontée installée en 1945 sur la commune de Moriond sous l’impulsion d’un pionnier local : Jean Blanc. La station se développera ensuite petit à petit plus en altitude sur le plateau des Tovets avec notamment la réalisation du premier téléski de la Loze en 1947, du premier téléphérique de la Saulire en 1952 et du télébenne des Verdons en 1954. Courchevel 1850 est alors partagé entre plusieurs sociétés d’exploitation qui aménagent différentes secteurs des pentes surplombant Courchevel 1850. Parmi ces sociétés on retrouve la SPTV qui est gérée par le Conseil Général de la Savoie.
L’année suivant le doublement et la modernisation du premier téléski de la Loze, la SPTV va installer un nouvel appareil. Construit en 1957, il va s’agir du téléski de Bellecôte. Ce téléski est venu offrir aux clients logeant dans le quartier de Bellecôte, quartier résidentiel situé au dessus de la Croisette un accès direct au domaine skiable de la station. En effet la plupart des logements de ce quartier sont situés le long ou non loin de la piste de Bellecôte. Cette remontée mécanique locale va donc permettre de rejoindre les appareils de Pralong, du Biollay et de rejoindre par les pistes les appareils partant de la Croisette.
Peu après la mise en service de cette remontée mécanique, de l’autre coté de la piste de Bellecôte va se créer un nouveau quartier, celui du Jardin Alpin. Afin de toujours proposer un accès facile au domaine skiable de la station, la SPTV va mettre en service en 1961 un téléski qui sera baptisé du même nom du quartier d’où il part. Tout comme le téléski de Bellecôte, cet appareil va arriver suffisamment haut pour permettre aux clients de basculer sur la Croisette par gravité et de rejoindre les appareils du Biollay et de Pralong.
Le Jardin Alpin en télécabine
Ces deux appareils étaient certes pratiques pour les skieurs mais ces quartiers haut de gamme étant fortement résidentiels, il y avait aussi de nombreux non pratiquants des sports de glisse qui venaient y séjourner. Or l’accès à la Croisette où se concentre une bonne partie des commerces et loisirs de la station était peu aisé à pied. En plus de cela, les quartiers se développant, les deux appareils précédemment cités avaient de plus en plus de monde à transporter. Ayant un débit limité, il fallait donc proposer une alternative plus performante pour transporter ces clients et assurer le développement futur de cette partie de la station. La SPTV en charge de l’aménagement du domaine de Courchevel se penchera sur l’amélioration de la desserte de ces quartiers en 1979.
Durant cet été va sortir de terre une télécabine en trois tronçons relativement courts afin d’améliorer l’accès au domaine skiable et de permettre un accès facile au centre de la station tout en évitant de devoir utiliser un véhicule pour s'y rendre. Cette télécabine va donc partir du point central de Courchevel 1850 à savoir : la Croisette. L’installation du Jardin Alpin est la troisième télécabine partant de ce lieu vers les sommets. Toutefois elle ne va pas arriver aussi haut que les deux autres télécabines partant du même endroit. En effet elle va traverser le quartier du Jardin Alpin pour monter un peu au dessus du sommet du téléski de Bellecôte non loin du sommet du téléski du Jardin Alpin. Cette configuration fait de cette télécabine, un « télé-métro » urbain tout en donnant accès au domaine skiable. Afin de jouer ce rôle de desserte urbaine, deux arrêts intermédiaires à chaque extrémité du quartier du Jardin Alpin ont été réalisés.
La télécabine a donc apporté un axe fort à proximité des résidences des différents quartiers qu’elle traverse proposant un accès confortable et performant vers la Croisette et le domaine skiable d’altitude. Malgré la venue de Jardin Alpin en télécabine, le téléski du même nom n’est pas démonté ou retouché. Il va donc en quelque sorte doubler les tronçons 2 et 3 de la télécabine.
Jardin Alpin : un rôle de plus en plus important
A son installation la télécabine a été livrée avec seulement quarante cabines. Les quatre années suivantes, son débit a été progressivement augmenté par ajout de cabines supplémentaires afin qu’elle atteigne le débit de 1300 personnes par heure et par sens. Son rôle de desserte urbaine et d’accès vers le domaine skiable s’est donc renforcé au fur et à mesure que son débit a été augmenté. Outre son rôle urbain cet appareil va permettre de desservir des pistes faciles pour les débutants au même titre que la télécabine des Verdons. Elle fait donc partie d’un réseau d’appareils à proximité de la station qui permettent à cette clientèle d’apprendre le ski en toute simplicité sur des pistes adaptées. Elle est donc régulièrement empruntée par les écoles de ski pour monter leurs élèves en altitude.
L’importance de son rôle d’accès au domaine pour les clients logeant à proximité de cet appareil a grandi d’années en années si bien qu’elle a conduit la S3V à faire quelques travaux sur cette installation. A cela s’ajoute qu’en 1998, le téléski du Jardin Alpin a été grandement raccourci pour devenir un téléski école gratuit. A cet occasion, il a été rebaptisé Etoiles. Le téléporté du Jardin Alpin a donc perdu son double des tronçons 2 et 3. De ce fait, la S3V a modernisé la télécabine l’année suivante d’une part afin de garder une exploitation fiabilisée et d’autre part pour pouvoir encore augmenter le débit suite au raccourcissement du téléski Etoiles. Grâce à l’adjonction de pneus dans les voies et à la rénovation d’une partie des composants mécaniques, l’exploitant a pu porter le nombre de cabines à 86 et atteindre le débit théorique de 1600 personnes par heure et par sens.
De nos jours, les clients qui l’empruntent et qui montent au sommet de l’installation se retrouvent à un carrefour leur permettant de prendre deux directions. Ils pourront basculer coté Biollay, sur les deux télésièges débrayable Coqs et Biollay afin de rejoindre respectivement les Chenus et le départ des appareils menant à la Saulire. En allant du coté de Pralong, ils pourront rejoindre l’espace débutant de ce secteur. Avec le télésiège du même nom, ils pourront tout comme après avoir emprunté le télésiège du Biollay rejoindre les appareils menant à la Saulire ou basculer sur Courchevel 1650. Pour la plupart de skieurs, Jardin Alpin joue donc un rôle d’ascenseur mais elle reste très appréciée des débutants par les pistes qu’elle dessert. Jardin Alpin servira aux clients arrivant à la Croisette le soir, à remonter aisément vers leur lieux de résidence grâce à une fermeture tardive de l’installation.
Situation sur le plan des pistes
Situation sur le plan de Courchevel 1850
La télécabine est donc accessible aux piétons munis d’un forfait valable sur le domaine skiable ou d’un titre spécifique aux piétons. Cette clientèle pourra l’emprunter aussi bien à la montée qu’à la descente. Vue son rôle interurbain elle bénéficie d’une plage d’ouverture beaucoup plus étendue que la plupart des autres appareils du domaine skiable. A la fermeture du domaine skiable, son exploitation est stoppée à la G3 même si les cabines continuent normalement leur trajet au delà de cette gare. En plus d’être accessible aux piétons, elle l’est également aux lugeurs après la fermeture du domaine skiable afin qu’ils puissent profiter des pistes pour glisser. Elle reste généralement ouverte juqu'aux environs de 20h00. De ce fait elle est équipée de projecteurs afin de pouvoir l’exploiter de nuit quand les jours sont courts.
Les Caractéristiques de l’installation
Caractéristiques Administratives
TCD-Télécabine à attache débrayable : JARDIN ALPIN
Maître d’Ouvrage : SPTV
Maître d’Œuvre : CETARM 73
Exploitant : S3V
Constructeur : POMAGALSKI
Année de construction : 1979
Caractéristiques d’Exploitation
Saison d'exploitation : Hiver
Capacité : 6 personne(s)
Débit à la montée : 1600 personnes/heure (100%)
Débit à la descente : 1600 personnes/heure (100%)
Vitesse d'exploitation : 4 m/s
Temps de Trajet : 7min31
Caractéristiques Géométriques
Altitude Aval : 1761 m
Altitude Amont : 1994 m
Dénivelée : 233 m
Longueur développée : 1566 m
Pente Maxi : 21 %
Pente Moyenne : 15 %
Caractéristiques Techniques
Sens de montée : Gauche
Tension : Aval
Type de Tension : Hydraulique
Motrice : Amont
Type de Motorisation : Asynchrone
Puissance Développée : 213 KW
Dispositif d'accouplement : Double Pince S
Nb Pylônes : 16
Nombre de véhicules : 86
Type de véhicules : Espace 6
Espacement : 54 m
Caractéristiques du Câble
Fabricant du Câble : Trefileurope
Diamètre du câble : 33 mm
Câblage : Lang à droite
Ame : Textile
Ligne et Infrastructures de la télécabine du Jardin Alpin
Construite en 1979, Jardin Alpin possède une ligne entièrement équipée de pylônes à facettes ancrés sur des massifs en bétons. Bien qu’elle comporte trois tronçons la télécabine n’est mécaniquement parlant qu’un seul et unique appareil. En effet aucune gare intermédiaire n’est motrice. Le câble y est seulement dévié pour permettre le débrayage et l’embrayage des véhicules. Le moteur est donc placé dans la dernière gare dénommée G4 alors que la tension hydraulique se trouve en G1. La télécabine assure à l’heure actuelle un débit de 1600 personnes par heure et par sens avec 86 véhicules. Les cabines à la construction de l’appareil étaient des cabines œufs SP77 d'une capacité unitaire de six personnes. Toutefois en 1999 lors de la modernisation de cet appareil, en plus de la rénovation des voies, les œufs d’origine ont été remplacés par des cabines Espace 6 de chez Sigma.
- La Gare Aval
Le gare est située à l’extrémité de la Croisette non loin des départs des appareils Verdons et Chenus. Les quais étant situés en hauteur, l’accès se fait par une rampe inclinée pour un accès commode à tous. Largement vitrée, la gare est très lumineuse. Elle est en charge de la tension du câble de toute l’installation grâce à un système hydraulique. A son extrémité coté ligne, elle intègre un balancier 6C/6C.
Vues sur la gare aval
Les vérins superposés réalisant la tension dynamique du câble
La poulie de retour
- Le premier tronçon
Le premier tronçon de la télécabine permet d’atteindre la partie basse du quartier du Jardin Alpin non loin de la rue Emile Allais. et de rejoindre en marchant ou en utilisant le réseau de bus, la partie basse du quartier du Nogentil et la partie haute du quartier de Bellecôte. Le tronçon mesure 420 mètres de long et gravit 78 mètres de dénivellation. Il faut environ deux minutes pour rejoindre la gare intermédiaire G2 depuis la Croisette.
La ligne du premier tronçon prend rapidement de la hauteur afin de survoler la Croisette. Une fois traversé cet espace, elle va atteindre les premières pentes. A ce niveau, elle va entrer dans un layon réalisé pour l’occasion qui longe sur la gauche le tremplin de saut de 1850. La pente se radoucit nettement au niveau du P3 pour devenir quasi horizontale. Peu de temps après ; la ligne passe le dernier pylône de ce tronçon et entre en gare intermédiaire G2.
Le premier tronçon est composé de quatre pylônes. Dans l’ordre de la montée, nous trouvons :
G1 : 6C/6C
P1 : 4S/4S
P2 : 6S/6S
P3 : 8S/8S
P4 : 8S/8S
G2 : 6C/6C
La ligne du premier tronçon depuis la Croisette
En avant sur le premier tronçon
Le tremplin de 1850 sur la droite
On entre dans le layon
On continue
Le dernier pylône du premier tronçon
Arrivée à G2
- Le gare intermédiaire G2
La première gare intermédiaire est baptisée G2. Elle se trouve non loin de la rue Emile Allais dans la partie basse du quartier du Jardin Alpin. A proximité immédiate de son emplacement se trouvent trois grands hôtels de Courchevel. Au pied de cette gare, on trouve le départ du téléski Etoiles. La gare décrit un angle vers la droite dans le sens de la montée. Le câble est donc dévié par un train de galets vu que la motorisation est commune pour les trois tronçons. Le quai servant à la descente et à l’embarquement est relativement court sans que cela ne perturbe trop l’exploitation. La gare est recouverte avec une couverture en tavaillons avec des formes anguleuses sur une face afin de s’intégrer au mieux dans le quartier.
Vues sur la gare de l’extérieur
Dans le ralentisseur
Déviation du câble grâce à un train de galets
On accélère pour accéder à la ligne du second tronçon
- Le second tronçon
Le second tronçon est le plus court des trois que comporte l’appareil avec ses 410 mètres de long. C’est aussi celui qui présente le moins de dénivelée puisqu’il gravit seulement 29 petits mètres. Il faut un peu moins de deux minutes depuis la gare G2 pour atteindre la gare intermédiaire suivante. Cette partie du trajet permet de relier l’autre extrémité du quartier du Jardin Alpin vers l’amont. Le second tronçon dessert la piste Jardin Alpin au niveau du sommet du téléski Etoiles
La ligne du second tronçon prend de l’inclinaison au début afin de pouvoir passer au dessus de la ligne du téléski Etoiles avec les gabarits de sécurité imposés par la réglementation. Après la ligne va monter tout doucement vu le peu de pente qu’elle a, à gravir.
Le second tronçon est composé de cinq pylônes. Dans l’ordre de la montée, nous trouvons :
G2 4C/4C
P5 : 4S/4S
P6 : 6S/6S
P7 : 4S/4S
P8 : 4S/4S
P9 : 4S/4S
G3 2S/2S
Tête de P5
La ligne du téléski Etoiles sur la droite
La piste Jardin Alpin en dessous
En approche sur le P8
Le dernier pylône du second tronçon
Arrivée en gare G3
- Le gare intermédiaire G3
Cette seconde gare intermédiaire est baptisée G3. Elle se trouve au carrefour entre la route menant à l’hôtel Mercure et la rue du Jardin Alpin qui longe sur quelques mètres le second tronçon de la télécabine. Un hôtel se trouve aussi à proximité immédiate de cette gare qui est non loin du sommet du téléski Etoiles. Au pied de cette gare se trouve une aire de stockage des dameuses de Courchevel. Tout comme la G2 elle est faite d’une couverture anguleuse en tavaillon et elle possède également un quai relativement court.
La gare depuis l’extérieur
A l’intérieur
- Le troisième tronçon
Le troisième tronçon est le plus long en distance de toute la télécabine et celui qui permet de prendre le plus d’altitude avec ses 756 mètres de long et ses 126 mètres de dénivelée. Il faut donc un peu plus de trois minutes pour atteindre le sommet de la télécabine depuis la gare G3. C’est donc lui qui va nous permettre de gagner les remontées partant sur la partie haute de Courchevel 1850 avec entre autres les appareils Coqs, Biollay et Pralong. Deux pistes sont disponibles au sommet de cette section :
- La partie haute de la piste verte Jardin Alpin qui donne accès à la piste Bellecôte permettant de rejoindre le bas du téléski portant le même nom. Elle permet aussi d’emprunter une autre piste verte joignant la gare aval du télésiège débrayable de Pralong.
- Le bas de la piste bleue Biollay-Verdons permettant de gagner le départ des appareils Coqs et Biollay et de poursuivre ensuite vers la Croisette.
Le début de la ligne est à l’image du second tronçon c'est-à-dire faiblement montant. La ligne va réellement commencer à s’incliner plus fortement après le passage du P14. Cette montée imprimée par ce pylône va nous permettre de rejoindre tranquillement la gare amont qui se situe quelques centaines de mètres plus loin.
Le troisième tronçon est composé de sept pylônes. Dans l’ordre de la montée cela donne :
G3 : 6C/6C
P10 : 4S/4S
P11 : 6S/6S
P12 : 6S/6S
P13 : 6S/6S
P14 : 4SC/4SC
P15 : 6S/6S
P16 : 8S/8S
G4 : 6C/6C
Le début du troisième tronçon depuis la piste Jardin Alpin
Survol de la zone de stationnement des dameuses
La piste Jardin Alpin et le télésiège du Biollay sur la droite
On poursuit
La piste Biollay-Verdons sur la droite
La montée finale
Croisement avec le haut de la piste Jardin Alpin
Arrivée en gare sommitale
- La Gare Amont
La gare amont ou gare G4 est située à 1994 mètres d’altitude. Relativement imposante cette gare abrite les différentes chaines cinématiques qui assurent les différentes marches de l’installation ainsi que le garage pour les véhicules. Elle reprend la même architecture que les deux gares intermédiaires avec des formes anguleuses et une couverture en tavaillon.
Moteur thermique de secours
Frein de poulie et courroies entrainées par le moteur principal
Le réducteur et la poulie motrice
Vue depuis le contour
Le garage
Vue sur la gare depuis l’extérieur
Véhicules et pinces
Double Pince S
Cabine en ligne
Cabine en ligne
Cabine à quai
Diverses photos
Ligne depuis le haut du troisième tronçon
Ligne avec les premières habitations les plus en amont du quartier du Nogentil
Ligne du troisième tronçon
Ligne depuis la piste Jardin Alpin
Ligne
Bas du second tronçon
Bas du premier tronçon
Jardin Alpin, la polyvalence par excellence
Depuis 1979, la télécabine six places assure parfaitement son rôle sur le domaine de Courchevel. Complètement polyvalente, elle fournit un accès rapide et performant au domaine skiable de Courchevel pour les personnes résidant à ses abords. Polyvalente puisqu’également un véritable moyen de transport en commun au sein de 1850. Cet appareil transporte également avec brio les piétons souhaitant rejoindre la Croisette ou rentrer chez eux. Ce genre d’installation comme Jardin Alpin malgré sa petit échelle démontre parfaitement que dans certains cas un téléporté au sein d’un milieu urbain est un mode de transport idéal et bien plus pratique et économique que des moyens plus conventionnels.
Ainsi se termine ce reportage
A Bientôt
