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TSF4 du Col
Val Thorens (Les 3 Vallées)
Leitner



Description rapide :
Télésiège donnant accès au col de Thorens à plus de 3100 mètres d'altitude et anciennement au glacier de Chavière lorsqu'il était exploité pour le ski d'été.
Options techniques :
Année de fin de service en : 2020
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Télésiège donnant accès au col de Thorens à plus de 3100 mètres d'altitude et anciennement au glacier de Chavière lorsqu'il était exploité pour le ski d'été.
Options techniques :
- Tapis d'embarquement ou de positionnement
Année de fin de service en : 2020

Auteur de ce reportage : j'ib
Section écrite le 01/05/2017
(Mise en cache le 03/05/2017)
Télésiège du Col
Val Thorens (73)
Val Thorens (73)

Bienvenue à Val Thorens
La station de ski de Val Thorens est située dans le département de la Savoie dans la vallée de la Tarentaise. Elle est placée à 2300 mètres d'altitude et est la station la plus haute d'Europe. Val Thorens a la réputation de recevoir tous les ans, un enneigement exceptionnel. La station ouvre habituellement de mi-Novembre à début Mai.
La station de Val Thorens fut créée en 1972. Le début de l'aménagement a commencé un an plus tôt par la commune de Saint Martin de Belleville, se concentre sur le bas de la future station, sur le secteur de Péclet avec la réalisation de la télécabine de Péclet et le versant sud avec la réalisation du télésiège Mont de Péclet. Après ces aménagements, le secteur de la Moraine et du Fond en seront équipé. Par la suite, le glacier de Chavière sera aménagé. Dans les débuts des années 1980 la SETAM, société crée en 1972, commence à équiper le secteur du virage de Caron avec la réalisation d'une télécabine en deux tronçons et la construction en 1982 du plus gros téléphérique du monde pour cette date. Ce sera durant l'été 1984 que sera construit le premier télésiège de la Moutière. Réalisé par le constructeur français Skirail, cet appareil est avec le télésiège des 3 Vallées 1 construit la même année, le premier télésiège fixe quadriplace de la station. Cet appareil partait en contrebas des télécabines de Caron-Cairn et permettait de revenir sur Val Thorens sans avoir à déchausser pour prendre une télécabine. Il permettait également de rejoindre directement les téléskis du Plateau. Cet appareil avait la particularité d'avoir un pylône commun avec la télécabine de Caron.
Le domaine skiable actuel de Val Thorens est relié à Orelle. Cet ensemble regroupe 29 remontées mécaniques qui sont, dans la majorité récentes, et performantes. Ils possèdent le premier appareil à être équiper d'un dispositif de double embarquement (DLS), le premier funitel du monde et le premier funitel BMF du monde à avoir été construit. Ces remontées mécaniques desservent un total de 150 kilomètres de pistes pour 70 pistes qui partent de 1500 mètres d'altitude jusqu'au sommet des 3 Vallées à 3230 mètres d'altitude sur le versant d'Orelle.
De plus, la station dispose de la plus longue piste de luge de France. Le départ est au sommet du funitel de Péclet et l'arrivée à Val Thorens pour un dénivelé de presque 700 mètres ! Elle possède aussi un snow-park de 70 000 m² avec boarder-cross, air bag, half pipes, tables, handrails … A découvrir aux téléskis du Plateau.
- La station de Val Thorens

L'aménagement du glacier de Chavière
A l'origine du projet de la construction de la station de ski de Val Thorens était prévu un long funiculaire partant du village et arrivant au col de Thorens. Ce dernier aurait eu pour but de desservir tout ce secteur mais aussi de donner accès au glacier de Chavière, aménagé dans les années 1970 pour le ski d'été. Cette installation devait être soutenu par un énorme viaduc en béton et devait circulé à la vitesse de 10 mètres par seconde pour un débit horaire révolutionnaire de 7200 personnes. Le Skirail, nom alors donné à ce projet, n'a jamais pu voir le jour par manque de moyens financiers et s'est vu se faire remplacer par diverses remontées mécaniques.
L'aménagement du glacier de Chavière remonte réellement en 1975 avec la mise en service premièrement de trois remontées mécaniques : le télésiège de la Moraine en juillet ainsi que les téléskis de la Lombarde et du Polset en juin. Les deux téléskis desservaient un espace de ski propre sur le glacier. Ils avaient été tous deux fabriqués par l'association de Montaz-Mautino et de Leitner. Le Polset était long d'environ 1200 mètres et donnait accès à des pistes de niveau relativement faciles de plus de 200 mètres de dénivelé. La Lombarde, rappelant le nom d'un vent très violent soufflant dans le secteur, assurait du ski propre et le retour des skieurs sur le col de Thorens lorsque l'enneigement sur le chemin depuis le sommet était insuffisant. Quant au télésiège, il permettait un accès aisé depuis le village de Val Thorens en été d'où il fallait le rejoindre en voiture. Cependant ce dernier n'arrivait pas au col de Thorens directement, mais un peu avant la fin du glacier éponyme, ce qui était peu pratique pour rejoindre le ski d'été. C'est pour cette raison que durant le mois d'août suivant, la SETAM a démonté un de ses téléskis existants sur le glacier du Péclet afin de le déplacer entre le sommet de la Moraine et le glacier de Chavière.
- La gare aval du téléski du Polset avec une partie du glacier de Chavière bien visible (DR – Coll. SETAM – Livre : Val Thorens – 1969-2009 – 60 remontées mécaniques en 40 ans)

Un pylône portique du téléski de la Lombarde (DR – Coll. SETAM – Livre : Val Thorens – 1969-2009 – 60 remontées mécaniques en 40 ans)

Mais le déplacement de téléskis déjà existant endommageait fortement les matériaux. De plus, le téléski de la Face, permettant l'accès au glacier depuis la Moraine, était peu performant avec un débit de 450 personnes par heure et une vitesse de ligne de 3 mètres par seconde. Il fut donc décidé de le démonter en décembre 1975, après quatre mois d'exploitation, au profit d'un télésiège fixe deux places Pingon-Transcâble empruntant un tracé plus long. 1978 est marqué par l'arrêt d'exploitation et le démantèlement du téléski de la Lombarde, quasiment plus exploité à cause de la vitesse d'écoulement trop rapide du glacier ainsi que du trop fort enneigement de l'époque. A noter également que ces deux téléskis n'étaient exploités que durant la période estivale. En hiver, l'enneigement étant trop conséquent, ce qui faisait qu'il fallait déneiger à coup de pelleteuses à la fin de chaque saison. Ce fut une opération particulièrement lourde : en plus de dégager les installations, il fallait remettre tous les enrouleurs ainsi que de dérouler le câble qui étaient enlevés au début de chaque hiver afin qu'ils ne se dégradent pas. Enfin, l'année 1990 fut celle de l'arrêt d'exploitation du glacier de ski d'été de Chavière et donc du téléski du Polset pour trois raisons majeures : à cause de la fonte trop rapide du glacier, du fait de l'éloignement trop important de l'appareil par rapport aux autres installations et de l'obligation de réaligner tous les pylônes bousculés par l'hiver.
- Un pylône de 11 mètres de haut du téléski du Polset en fin de saison d'hiver (DR – Coll. SETAM – Livre : Val Thorens – 1969-2009 – 60 remontées mécaniques en 40 ans)

En 1991 est remplacé le télésiège de la Moraine par un téléporté débrayable quatre places flambant neuf dont la SETAM lui rajouta un système de double embarquement en 1998 afin de proposer un meilleur débit horaire. Enfin le dernier investissement sur le secteur remonte à 1994 avec le télésiège du Col qui se voit être succédé par un autre appareil du même type mais avec une capacité de transport de quatre places.
Du téléski de la Face au premier télésiège du Col
Août 1975, le téléski de la Face prend place au dessus du télésiège de la Moraine afin de pouvoir accéder aisément au glacier de Chavière et ses installations. Exploité durant les saisons d'été et d'automne 1975, cette installation est démontée en décembre 1975 car elle était jugée peu performante du fait de sa vitesse (3 mètres par seconde) et de son débit (450 personnes par heure) qui était insuffisant vu le secteur desservi. A noter également, que la ligne se révélait tout de même assez raide et la montée pour certains skieurs pouvait être compliquée. Enfin cette remontée n'était pas d'origine puisqu'elle se trouvait depuis 1973 sur le glacier voisin du Péclet, duquel il a été supprimé pour prend place sur Chavière. Comme déjà dit plus haut, le déplacement de matériaux existant à l'époque endommageait beaucoup les remontées, ce qui a motivé encore une fois à remplacer le téléski de la Face, construit à la fois par Montaz-Mautino et par Leitner.
Côté caractéristiques il était long de 837 mètres et était exploité grâce à un moteur thermique développant une puissance de 66 cv.
- Le téléski de la Face dans son emplacement de 1975 (DR – Coll. SETAM – Livre : Val Thorens – 1969-2009 – 60 remontées mécaniques en 40 ans)

Le successeur du téléski de la Face fut un télésiège fixe biplace portant le nom de « Col », en rappel bien sûr au col de Thorens sur lequel son arrivée est placée. Mais cette dernière n'était pas placée de n'importe quelle manière puisqu'elle se trouvait sur un rocher, afin de pouvoir couler l'infrastructure dans le béton, juste au dessus du début du glacier de Chavière. Quant à la gare aval, elle a elle été descendue en contrebas de l'arrivée du télésiège de la Moraine pour que l'accès y soit facile et rapide. On notera que cet appareil faisait parti du même investissement que celui du télésiège de la Moraine, lancé en 1974. Le marché de travaux fut signé dans les mêmes conditions que ce dernier, c'est-à-dire avec l'entreprise française Pingon-Transcâble. L'enchaînement formé par ces deux téléportés s'est substitué au projet du funiculaire du Skirail lancé dès la construction de la station en 1969. Faute de moyens financiers ce dernier fut abandonné malgré le fait que certains matériaux avaient commencés à être fabriqués par Von Roll comme le chariot d'un train qui fut en partie réutilisé sur le premier téléphérique du Roosevelt Island à New-York.
Pour en revenir au télésiège du Col, ce dernier permettait donc l'accès au col du Thorens et par la suite au glacier de Chavière et ses installations : le téléski de la Lombarde jusqu'en 1978 et le téléski du Polset jusqu'en 1990. Il était ouvert à toutes les saisons possibles, c'est-à-dire en hiver comme en été et pour les skieurs principalement. A la fermeture définitive du ski d'été sur Chavière ce téléporté a pris une autre dimension puisqu'il s'est mis à desservir seulement un espace de ski propre sur une piste rouge. La fréquentation de ce dernier fut relativement diminuée.
Techniquement, le « Col » était équipé en aval d'une gare motrice – tension réglable en hauteur. Le treuil était placé en hauteur à l'abri de toutes intempéries et soutenu par des fûts avant et arrière. La tension était quant à elle effectuée via un ou deux vérins hydraulique. La ligne, longue de 825 mètres, était quasiment entièrement placée sur la glace. Contrairement au télésiège de la Moraine où les pylônes étaient en forme de « A », ceux du Col étaient en « X » et posés sur des platines en acier crayonnées dans la glace. Un hauban de ligne en tête de pylônes stabilisait l'ensemble et servait de support à l'ensemble de la ligne de sécurité. Enfin, la gare amont était une classique poulie retour fixe.
- Le début de la ligne du télésiège fixe biplace du Col avec un pylône en forme de « X » et la gare aval un peu visible (DR - © Val Thorens)

Après 19 années de services, cette installation fut démontée et remplacée en 1994 par un nouveau télésiège fixe quatre places prenant exactement le même nom. Le faible débit (1200 personnes par heure) ont poussé l'exploitant à le succéder par un appareil plus performant (débit désormais de 2000 personnes par heure). Le confort ainsi que la tenue au vent ont par ailleurs été améliorés vu que nous sommes passés sur des sièges quatre places en mousse plus lourds. Enfin notons que l'amorce de la fonte du glacier dans les années quatre-vingts a permis l'apparition d'affleurements rocheux donnant lieu à une ligne fondée sur des massifs en béton. Cette dernière a donc été déplacée de quelques mètres latéralement. Par ailleurs, le nouvel emplacement de la station supérieure du télésiège débrayable de la Moraine de 1991 a entraîné de remonter également la gare aval du téléporté du Col.
Col : L'accès au col de Thorens
Le télésiège du Col est située sur le secteur de Thorens, en contrebas du glacier éponyme et de Chavière. Il a été construit en 1994 par Leitner.
Accessible seulement par le télésiège de la Moraine, cette installation permet l'accès au col de Thorens et la desserte d'un espace de ski propre sur une piste rouge uniquement. Elle est donc à vocation pour des skieurs de niveau confirmé. Au sommet, les skieurs n'ont pas d'autres choix que de revenir sur la gare aval de l'appareil via la piste rouge du Col, une sympathique piste slalomant entre les imposants affleurements rocheux. Aucune autre remontées ne sont accessibles sur le versant du glacier de Chavière.
Voici sa situation sur le plan des pistes des 3 Vallées et de Val Thorens :


Caractéristiques
Caractéristiques Administratives
TSF-Télésiège à attache fixe : COL
Maître d’Œuvre : DCSA
Exploitant : SETAM
Constructeur : Leitner
Année de construction : 1994
Caractéristiques d’Exploitation
Saison d'exploitation : Hiver
Capacité : 4 personnes
Débit à la montée : 2000 p/h
Vitesse d'exploitation : 2,3 m/s
Temps de trajet : 7 min 2 sec
Caractéristiques Géométriques
Altitude aval : 2803 mètres
Altitude amont : 3125 mètres
Dénivelée : 322 mètres
Longueur développée : 970 mètres
Longueur horizontale : 915 mètres
Pente maximale : 67 %
Pente moyenne : 35 %
Caractéristiques Techniques
Gare motrice : Aval
Gare tension : Aval
Gare retour : Amont
Nombre de pylônes : 9
Nombre de sièges : 103
Sens de montée : Gauche
Type de G2 : Poulie retour fixe
Type de motorisation : Courant Continu
Puissance électrique du moteur principal : 325 kW
Type de tension : Hydraulique
Tension nominale : 58 000 daN
Diamètre de la poulie motrice : 4800 mm
Diamètre de la poulie retour : 5300 mm
Espacement des véhicules : 8,3 secondes
Caractéristiques du Câble
Fabriquant du câble : FATZER
Date de pose : 1994
Type de câblage : Lang
Sens de câblage : Droite
Diamètre du câble : 50 mm
Composition du câble : 6×17 Fils
Âme : Textile
Résistance à la rupture : 172 000 daN
Ligne et infrastructures du télésiège du Col
Gare aval :
La gare aval est la station motrice – tension de l'installation. Elle est située à 2803 mètres d'altitude juste en contrebas de la gare amont du télésiège débrayable de la Moraine. L'accès à cette dernière se fait donc directement. A noter que toute la station est placée dans un bâtiment en bois.
- La gare aval vue depuis les environs de l'arrivée du télésiège de la Moraine

La gare aval vue de trois-quarts

La gare aval vue de profil

La gare aval vue de trois-quarts avec la gare amont du télésiège de la Moraine derrière

La gare aval vue de l'autre côté

La gare aval vue en plongée depuis le télésiège de la Moraine

La gare aval vue de face

L'accès à l'installation

A l'intérieur on retrouve donc le treuil de l'installation avec un moteur électrique à courant continu de 325 kW mettant en mouvement l'installation et relié à un réducteur. La tension dynamique du câble est effectuée par un autovérin, dont sa centrale hydraulique est placée juste au dessus. Enfin, notons que l'embarquement s'effectue sur un tapis, permettant d'augmenter le débit définitif ainsi que la vitesse d'exploitation de l'appareil.
- Vue globale du treuil avec la poulie motrice, le rail permettant de stabiliser le siège en sortie de virage et l'autovérin

Détail sur la poulie motrice

Retour en arrière sur l'autovérin et sa centrale hydraulique juste au dessus ainsi que les armoires de puissances

La ligne :
La ligne, longue de 970 mètres, est composée de 9 pylônes de couleurs blancs. La plus longue portée mesure 285 mètres, tandis que la hauteur de survol atteint les 25 mètres au maximum, soit la limite autorisée en France.
La ligne prend rapidement de l'envol dès le début : le relief reste très constant et survole par moment le glacier de Thorens. Le cinquième ouvrage remet un peu à plat le câble pour que les deux suivants puissent lui permettre d'attaquer la dernière partie de la ligne considérée de loin comme la plus raide. L'enchaînement des deux derniers pylônes 8 et 9, remet à l'horizontale le câble pour que les passagers puissent débarquer au col de Thorens.
Caractéristiques de la ligne :
- G1 : 8C/8C
- P1 : 10C/10C
- P2 : 6S/6S
- P3 : 8S/6S
- P4 : 8S/6S
- P5 : 8S/6S
- P6 : 8C/8C
- P7 : 8C/8C
- P8 : 12S/12S
- P9 : 12S/12S
- La ligne vue depuis l'aval

P1 en sortie de gare

Retour en arrière sur le P1 et la G1

P2

Portée P2 - P3

P3

Portée P3 - P4 ; à gauche le débordement du glacier de Chavière et le col de Thorens et à droite le glacier éponyme

P4

P5

P6

Détail de la tête de pylône de type compression

P7

Portée P7 - P8

P8 et P9

Gare amont :
La gare amont est la station retour de l'installation. Elle est située à 3125 mètres d'altitude au col du Thorens. On retrouve une classique poulie retour fixe qui est surplombée par un énorme massif rocailleux.
- Arrivée en gare

La gare amont vue de face

La gare amont vue de trois-quarts d'un côté ...

... Comme de l'autre

La gare amont vue en partant sur la piste rouge du Col

Sièges et pinces
Le télésiège du Col est équipé de 103 sièges classiques de chez Leitner pouvant accueillir jusqu'à quatre personnes. L'assise et le dossier sont faits de mousse qui au fil des années se dégrade fortement.

Les sièges sont reliés au câble par des mono-pinces fixes de chez Leitner. Elles sont équipées d'un galet sur l'extrémité de l'ensemble qui permet de stabiliser le siège lors du passage dans la poulie motrice, en aval de l'installation.

Col, un appareil qui joue pleinement son rôle
Le télésiège du Col permet depuis 1994 l'accès au col de Thorens depuis le sommet du téléporté débrayable de la Moraine. Excentré des autres installations, il ne dessert seulement qu'une piste rouge, et offre également une vue imprenable au sommet sur le glacier de Chavière, mais aussi sur une partie de la vallée de la Maurienne et ses plus hautes montagnes.
Avec un débit de 2000 personnes par heure et une vitesse de ligne de 2,3 mètres par seconde, le télésiège du Col se révèle comme un appareil peu fréquenté au vu de son éloignement des remontées principales du domaine mais aussi au vu de la difficulté de la seule piste desservie. Aucun projet de remplacement n'est actuellement en cours sur cette installation qui a encore devant elle de très longues et magnifiques années d'exploitation.
- Le télésiège du Col, un appareil entièrement suffisant …

J'ib, Septembre 2015
Photos : J'ib
Texte, bannière et mise en page : J'ib
Date des photos : 13 avril 2015 & 7 avril 2017
