Ceillac (Le Cristillan - Queyras)
Photo Geofrider
Description rapide :
Ceillac est un village situé au cœur du parc naturel régional du Queyras, dans le département des Hautes-Alpes.
L'hiver, on y pratique le ski alpin ou de fond, et, en toutes saisons, la randonnée.
L'offre de ski alpin de Ceillac évolue sur le domaine du Cristillan. Les pistes sont situées au pied des crêtes des Veyres et des pics de la Font Sancte qui culminent à plus de 3300 mètres d'altitude. Le domaine s'étend de 1650 à 2450 mètres d'altitude et propose quinze pistes desservies par six remontées mécaniques, dont un télésiège débrayables six places.
Le forfait donne en outre accès à l'ensemble des domaines des stations gérées par la Régie Syndicale des Domaines Alpins du Queyras, à savoir : Molines-en-Queyras et Saint-Véran (domaine de Beauregard), Ceillac (domaine du Cristillan), Abriès (domaine du Haut-Gui) et Arvieux (domaine de l'izoard).
L'hiver, on y pratique le ski alpin ou de fond, et, en toutes saisons, la randonnée.
L'offre de ski alpin de Ceillac évolue sur le domaine du Cristillan. Les pistes sont situées au pied des crêtes des Veyres et des pics de la Font Sancte qui culminent à plus de 3300 mètres d'altitude. Le domaine s'étend de 1650 à 2450 mètres d'altitude et propose quinze pistes desservies par six remontées mécaniques, dont un télésiège débrayables six places.
Le forfait donne en outre accès à l'ensemble des domaines des stations gérées par la Régie Syndicale des Domaines Alpins du Queyras, à savoir : Molines-en-Queyras et Saint-Véran (domaine de Beauregard), Ceillac (domaine du Cristillan), Abriès (domaine du Haut-Gui) et Arvieux (domaine de l'izoard).
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Liste des reportages de cette station :
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La base de données contient 6 reportages pour cette station
Appareil :Construction :Fin de service :Vues :Constructeur :
Auteur de la description de la station : collonges74
Section écrite le 23/11/2021 et mise à jour le 01/02/2022
(Mise en cache le 01/02/2022)
Bienvenue dans le Queyras !
Emplacement du Queyras en France :
Le massif du Queyras se trouve en France, dans le département des Hautes-Alpes (05), en région Provence-Alpes-Côte-d'Azur. Le Queyras est composé de plusieurs petits massifs montagneux, organisés autour d'une longue vallée d'une quarantaine de kilomètres : la vallée du Guil, qui suit grossièrement un axe est-ouest. De cette vallée partent une multitude d'autres vallées vers le nord ou vers le sud. Les montagnes y sont plutôt élevées : le plus haut sommet est le Pic de la Font Sancte (3385 mètres), mais on peut aussi noter le Pic de Rochebrune (3320 mètres), le Pain de Sucre (3208 mètres), le Grand Queyras (3114 mètres), le Bric Froid (3302 mètres)... Le massif est par ailleurs traversé par plusieurs sentiers de randonnée bien connus, parmi lesquels le GR5 (qui traverse les Alpes de Thonon à Menton), le GR58 (Tour du Queyras), etc.
C'est un massif encore très préservé du tourisme hivernal de masse que l'on peut trouver dans de nombreux autres massifs alpins. En effet : on y trouve pas moins de sept stations, mais toutes sont de taille modeste et dépendent de petits villages traditionnels dans lesquels il est très agréable de séjourner. Ici, point de barres d'immeubles défigurant le paysage, place au bois et à la pierre !
Ces stations sont les suivantes :
- Arvieux (domaine skiable étalé entre 1690 et 2105 mètres d'altitude, composé de cinq remontées mécaniques)
- Ceillac (domaine skiable étalé entre 1690 et 2450 mètres d'altitude, composé de cinq remontées mécaniques)
- Aiguilles (domaine skiable étalé entre 1450 et 1480 mètres d'altitude, composé d'une remontée mécanique)
- Abriès (domaine skiable étalé entre 1550 et 2400 mètres d'altitude, composé de cinq remontées mécaniques)
- Ristolas (domaine skiable étalé entre 1600 et 1630 mètres d'altitude, composé d'une remontée mécanique)
- Molines et Saint-Véran, deux stations séparées partageant le même domaine skiable, étalé entre 1740 et 2800 mètres, composé de treize remontées mécaniques.
L'ensemble des station du Queyras est exploité par la Régie des Stations du Queyras. On compte au total une trentaine de remontées mécaniques, réparties entre 1450 et 2800 mètres.
On notera par ailleurs que l'on skie dans le Queyras depuis les années 1930, puisqu'un téléski débrayable (toujours debout aujourd'hui mais plus exploité) fut implanté au-dessus d'Aiguilles dès 1938. Son reportage peut être consulté ici : https://www.remontees-mecaniques.net/bdd/reportage-tkd-du-chabataron-alta-dandelot-4833.html.
Les six stations du Queyras :
Ceillac
Le village de Ceillac se trouve dans les Hautes-Alpes, au cœur du massif du Queyras, et compte environ 300 habitants. Il est niché à 1630 mètres d'altitude, dans une vallée d'abord assez escarpée puis bien plus large et plate, délimitée à l'ouest par les gorges du Guil, au nord par le Sommet d'Assan (2609 mètres), et au sud par les Pics de la Font Sancte (3385 mètres). Il est à 20 minutes de voiture de Guillestre et de sa gare, à 50 minutes de Briançon et 3 heures de Marseille. Comme les autres stations du Queyras, Ceillac fait partie de ces stations qui ont conservé une architecture et un cadre tout à fait préservés. Le tourisme y est assez développé sans être massif, aussi bien en été (pour profiter des nombreux itinéraires de randonnée autour de la commune, notamment le GR58 et le Tour du Queyras) qu'en hiver. On peut en effet y skier sur une quinzaine de pistes, desservies en 2021 par un télésiège débrayable et quatre téléskis. L'orientation au nord-ouest et l'altitude moyenne à élevée des pistes du domaine prodiguent aux pistes de la station un enneigement de qualité et de longues pistes en forêt.
Au-delà du ski, ce sont le village et tous les environs de Ceillac qui valent le détour : le village est remarquablement préservé, de même que la nature et les montagnes environnantes. Outre le célèbre GR5 qui traverse le village, de nombreuses randonnées partent de la commune pour évoluer sur les sommets environnants, culminant tous à plus de 2500 mètres d'altitude. En hiver, Ceillac est, tout comme les autres villages du Queyras, le point de départ de très nombreux itinéraires de ski de randonnée. Parmi ceux-ci, on peut citer ceux menant à la Pointe des Marcelettes (2909 mètres), à la Pointe des Avers (3089 mètres), à la Tête de la Cula (3121 mètres), au Col Tronchet (2656 mètres), et bien d'autres.
Un domaine skiable créé pour les Ceillaquins
Si les villages queyrassiens d'Aiguilles et de Saint-Véran s'équipent de leurs premiers téléskis dès la fin des années 1930, Ceillac ne s'équipe qu'à partir de la fin des années 1950. Fait étonnant, les premières installations destinées à la pratique du ski furent des fils-neige, offerts au village en 1958 par le bien connu magazine Elle, à la suite des inondations de juin 1957.
Les premiers téléskis, eux, virent le jour au milieu des années 1960. Ils furent au nombre de deux : le téléski du Rouit, près du village, et le téléski du Mélezet, au lieu-dit Pied du Mélezet, au sud du village.
Le téléski et la piste du Rouit (D.R.) :
De même, avec le village de Ceillac en arrière-plan (D.R.) :
De même, avec le village de Ceillac en arrière-plan (D.R.) :
Quelques années plus tard, suite à l'élection de Philippe Lamour (figure majeure de l'aménagement du territoire en France) comme maire de Ceillac, il est décidé de doter le village d'un véritable domaine skiable, sans toutefois construire de station dédiée à des touristes ou des "tiers", pour reprendre l'expression employée par la commune à l'époque. La station devait être au service de la commune et de la population. Dans cette optique, dès 1967, deux appareils voient le jour au Pied du Mélezet et au-dessus de ce dernier. D'abord, le télésiège des Prés Girardin, uniquement accessible par le téléski du Mélezet, montait droit dans la forêt de 1700 à 2100 mètres d'altitude environ. Ensuite, le téléski de Sainte-Anne, avec un départ un peu en dessous de l'arrivée du télésiège, vint hisser les skieurs jusqu'au Collet de Sainte-Anne, à plus de 2400 mètres d'altitude. Ainsi, le domaine de Ceillac proposa dès l'hiver 1968 un dénivelé de plus de 700 mètres ! Plusieurs autres remontées étaient par ailleurs prévues, notamment un téléski en direction du Col Girardin à 2700 mètres d'altitude et un autre dans le Vallon de Sainte-Anne, mais aucun ne vit finalement le jour.
Puis, dès 1968, un petit téléski fut installé entre le départ du téléski de Sainte-Anne et l'arrivée du télésiège des Prés Girardin, pour faciliter le retour vers la station. Il ne fera toutefois pas long feu et sera démonté quelques années plus tard.
Le départ du téléski du Mélezet :
Le départ du télésiège des Prés Girardin :
Sur ce cliché de l'arrivée du télésiège des Prés Girardin, on aperçoit aussi le dernier pylône du téléski qui partait du départ du téléski de Sainte-Anne :
Le téléski de Sainte-Anne dans ses premières années d'exploitation :
Le domaine skiable tel qu'il était en 1968 :
Le départ du télésiège des Prés Girardin :
Sur ce cliché de l'arrivée du télésiège des Prés Girardin, on aperçoit aussi le dernier pylône du téléski qui partait du départ du téléski de Sainte-Anne :
Le téléski de Sainte-Anne dans ses premières années d'exploitation :
Le domaine skiable tel qu'il était en 1968 :
L'année suivante, en 1969, ce fut au tour du second domaine skiable de Ceillac de voir le jour, au nord du village cette fois-ci, sur les pentes sud du Col de Bramousse. Trois remontées furent alors installées, formant une chaîne de trois appareils. La première fut le téléski des Tourres, un court téléski installé au pied du domaine, au nord immédiat de la commune. La seconde fut le télésiège du Chenet, qui partait de l'arrivée du téléski des Tourres, à 1670 mètres d'altitude environ, pour monter jusqu'au sommet du bois du Chenet, à 2014 mètres d'altitude. Enfin, la troisième était le téléski de Bramousse : avec un départ tout près de l'arrivée du télésiège du Chenet, il montait jusqu'au Col de Bramousse à près de 2250 mètres d'altitude. Ainsi, en enchaînant ces trois remontées, il était possible de dévaler un dénivelé de 600 mètres, le tout avec un ensoleillement exceptionnel puisque toutes les pistes de ce secteur étaient en adret, donc exposées plein sud ! Les projets de la commune prévoyaient même d'autres appareils sur ce secteur : un téléski sur l'autre versant du Col de Bramousse depuis les chalets du même nom, d'environ 400 mètres de dénivelé, ainsi que deux téléskis au-dessus du col : l'un vers l'est en direction du sommet de Brunet, l'autre vers l'ouest en direction du Riou Vert. Mais tout comme du côté du Mélezet, aucun de ces projets ne vit le jour.
Le téléski des Tourres (D.R., cliquez sur l'image pour consulter son reportage) :
Le début de la ligne du télésiège du Chenet (D.R.) :
En ligne sur le télésiège du Chenet :
L'arrivée du télésiège du Chenet (D.R.) :
La poulie flottante de ce télésiège. On aperçoit derrière le départ et la ligne du téléski de Bramousse :
Le téléski de Bramousse :
Les deux domaines de Ceillac à l'aube des années 1970, avec Bramousse à gauche et le Mélezet à droite. Y figurent aussi, en vert, les remontées projetées côté Bramousse mais n'ayant pas vu le jour :
Gros plan sur le secteur de Bramousse seul cette fois-ci. On reconnaît de haut en bas le téléski de Bramousse, le télésiège du Chenet puis le téléski des Tourres :
Le début de la ligne du télésiège du Chenet (D.R.) :
En ligne sur le télésiège du Chenet :
L'arrivée du télésiège du Chenet (D.R.) :
La poulie flottante de ce télésiège. On aperçoit derrière le départ et la ligne du téléski de Bramousse :
Le téléski de Bramousse :
Les deux domaines de Ceillac à l'aube des années 1970, avec Bramousse à gauche et le Mélezet à droite. Y figurent aussi, en vert, les remontées projetées côté Bramousse mais n'ayant pas vu le jour :
Gros plan sur le secteur de Bramousse seul cette fois-ci. On reconnaît de haut en bas le téléski de Bramousse, le télésiège du Chenet puis le téléski des Tourres :
En 1979, il fut decidé de réaménager le front de neige du Mélezet. Pour ce faire, le téléski du Mélezet fut profondément modifié : sa ligne fut allongée vers l'amont grâce à l'ajout de deux virages vers la gauche. De même, sa gare aval fut remplacée par une nouvelle gare plus moderne et plus capacitaire. Et, pour faire d'une pierre deux coups, l'ancienne gare aval du téléski du Mélezet fut récupérée pour construire un deuxième téléski sur le front de neige : le téléski de la Cascade.
Cependant, il était question depuis la création du domaine skiable de renforcer celui-ci en altitude. Malgré l'abandon des projets de téléskis dans le Vallon Sainte-Anne, il fut rapidement prévu de doubler le téléski de Sainte-Anne pour répondre à l'affluence toujours croissante qu'il connaissait. Finalement, une autre solution fut retenue : en 1982, ce fut bien un nouveau téléski qui vit le jour, baptisé Praloupet, mais il ne doubla finalement pas le téléski de Sainte-Anne. En effet, la station jugea alors qu'il serait plus intéressant de proposer de nouvelles pistes tout en limitant l'extension du domaine. C'est ainsi que le téléski de Praloupet, après une première partie de ligne parallèle à celle du téléski de Sainte-Anne, bifurque vers l'ouest en direction de la crête de Coste Belle pour atteindre l'altitude de 2450 mètres environ. Ce tracé présenta en effet l'avantage d'être exposé plein ouest et donc de voir le soleil plus tôt dans la saison que les pistes desservies par le téléski de Sainte-Anne, à l'ombre jusqu'au milieu de l'hiver.
Le téléski du Mélezet après rénovation :
Le téléski de Praloupet (cliquez sur l'image pour en consulter le reportage), avec le téléski de Sainte-Anne juste derrière :
Le secteur du Mélezet à la fin des années 1980 :
Le téléski de Praloupet (cliquez sur l'image pour en consulter le reportage), avec le téléski de Sainte-Anne juste derrière :
Le secteur du Mélezet à la fin des années 1980 :
Le dynamisme de la petite station de Ceillac ralentit toutefois à la fin des années 1980 et au début des années 1990. En effet : exposé plein sud, le secteur de Bramousse donna de plus en plus de fil à retordre à la station à cause de son enneigement capricieux et aléatoire. Face aux coûts parfois importants qu'il nécessitait pour son maintien en service, il fut décidé de cesser son exploitation au début des années 1990. Le télésiège du Chenet fut démonté dans les années qui suivirent, tandis que le téléski de Bramousse resta en place de longues années avant d'être finalement démonté à la fin des années 2000. Quant au téléski des Tourres, idéal pour l'apprentissage du ski en raison de son emplacement à proximité immédiate du village, il fut maintenu en service.
Cette politique de restructuration des stations du Queyras se poursuivit par la suite dans les années 2000. A l'aube de ces années-là, la Régie Syndicale des Stations du Queyras, exploitant des stations queyrassiennes, décida de fermer le domaine d'Aiguilles, jugé le moins rentable. Mais en contrepartie, les deux télésièges les plus vieux du Queyras, qu'étaient le télésiège de Gilly à Abriès et le télésiège des Prés Girardin à Ceillac, furent remplacés en 2005 par des télésièges débrayables six places bien plus modernes. Ceillac profita même davantage de cette restructuration, puisqu'en plus du remplacement du télésiège des Prés Girardin, ce fut tout son front de neige qui fut réaménagé, avec le remplacement des téléskis de la Cascade et du Mélezet par deux téléskis à enrouleurs flambant neufs. Ainsi, depuis 2005, Ceillac dispose d'un domaine skiable efficace, moderne (exception faite des deux téléskis du haut du domaine, plus vieux mais performants), et correctement desservi. Notons enfin qu'en 2013, le téléski des Tourres, resté en place à côté du village, fut remplacé par un tapis roulant pour diminuer les coûts d'exploitation et moderniser l'espace débutants associé.
Le télésiège des Prés Girardin :
Le nouveau téléski de la Cascade. On aperçoit derrière le départ et la ligne du nouveau téléski du Mélezet :
Le domaine de Ceillac depuis 2005 :
Le nouveau téléski de la Cascade. On aperçoit derrière le départ et la ligne du nouveau téléski du Mélezet :
Le domaine de Ceillac depuis 2005 :
Le domaine de Ceillac aujourd'hui
Aujourd'hui, le domaine skiable de Ceillac se concentre donc sur deux pôles : un espace débutants au niveau du chef-lieu, desservi par le tapis roulant des Tourres, et le domaine du Mélezet, où l'on trouve le reste des pistes de ski alpin. On y skie sur des pistes de tous niveaux, destinées tant aux skieurs débutants qu'aux skieurs plus chevronnés, entre 1690 et 2450 mètres d'altitude. On peut le décomposer en trois secteurs majeurs :
- Le bas du domaine, desservi par les téléskis du Mélezet et de la Cascade, s'étale entre 1690 et 1800 mètres d'altitude. Composé uniquement de pistes vertes, ce secteur s'adresse aux skieurs débutants, où ils peuvent évoluer en toute sérénité, à l'écart des autres flux de skieurs du domaine. Notons d'ailleurs que ce secteur, même autour du solstice d'hiver, est ensoleillé au moins une partie de la journée puisqu'il est orienté vers l'ouest.
- La partie intermédiaire, desservie par le télésiège des Prés Girardin, s'étale entre 1690 et 2100 mètres d'altitude. Ce secteur s'adresse en revanche aux skieurs plus aguerris, puisqu'il n'est composé que de pistes rouges, assez engagées. Notons que l'une de ces pistes rouges est enneigée artificiellement.
- Le haut du domaine, quant à lui, est destiné aux skieurs moyens à experts, puisqu'on y trouve des pistes bleues, rouges ou noires. D'une altitude comprise entre 2050 et 2450 mètres, il est desservi par les téléskis de Praloupet et de Sainte-Anne, tous deux assez difficiles et très longs.
Le plan des pistes 2021/2022 de Ceillac :
Pour clore cette présentation détaillée de la station, voici un petit aperçu du domaine skiable de Ceillac en images :
Le front de neige de la station depuis le parking principal. A gauche se trouve l'espace débutants desservi par les téléskis de la Cascade et du Mélezet, tandis qu'on distingue droit devant le télésiège des Prés Girardin et les pistes qu'il dessert :
Coup d'oeil à gauche vers les téléskis du Mélezet et de la Cascade :
Sur la piste des Gorges, entre ces deux téléskis :
Après avoir emprunté le télésiège des Prés Girardin, on se trouve ici sur le haut de la piste Girardin, équipée d'enneigeurs :
La piste Bambouisson, également desservie par le télésiège :
Retour sur le front de neige :
Sur le haut du domaine cette fois-ci, on se trouve ici sur la piste de Praloupet, accessible par le téléski éponyme. On bénéficie d'une vue somptueuse sur la Crête des Veyres, qui dépasse les 3000 mètres d'altitude :
C'est ici que se rejoignent les pistes de Praloupet et de Coste Belle, desservies par le téléski de Praloupet :
Sur la fin de la piste de Coste Belle. L'éperon rocheux sur la droite est l'un des contreforts (culminant à 2913 mètres) du Pic des Heuvières, et l'on aperçoit la ligne du téléski de Sainte-Anne :
Le haut de la ligne avec les pylônes 17 et 18. En arrière-plan se découpent, de gauche à droite, la Crête des Veyres (3051 mètres), le Pas du Curé (2783 mètres) et la Pointe de la Saume (3043 mètres). Tout au fond à gauche, les sommets des Ecrins se détachent de l'horizon :
Quant au téléski de Sainte-Anne, ici visible, il dessert les pistes les plus longues, comme la piste des Fontinets :
La piste Sainte-Anne, elle, longe le téléski éponyme par l'est :
Depuis le début de la très longue piste de Chaurionde, on bénéficie d'une belle vue sur la Montagne de la Riche en face, ainsi que sur le Rocher de l'Eissassa (3048 mètres) à gauche :
La fin de la piste de Chaurionde est une longue route enneigée en pente douce, sur laquelle il est agréable de se laisser glisser... Quand la neige n'est pas collante !
Coup d'oeil à gauche vers les téléskis du Mélezet et de la Cascade :
Sur la piste des Gorges, entre ces deux téléskis :
Après avoir emprunté le télésiège des Prés Girardin, on se trouve ici sur le haut de la piste Girardin, équipée d'enneigeurs :
La piste Bambouisson, également desservie par le télésiège :
Retour sur le front de neige :
Sur le haut du domaine cette fois-ci, on se trouve ici sur la piste de Praloupet, accessible par le téléski éponyme. On bénéficie d'une vue somptueuse sur la Crête des Veyres, qui dépasse les 3000 mètres d'altitude :
C'est ici que se rejoignent les pistes de Praloupet et de Coste Belle, desservies par le téléski de Praloupet :
Sur la fin de la piste de Coste Belle. L'éperon rocheux sur la droite est l'un des contreforts (culminant à 2913 mètres) du Pic des Heuvières, et l'on aperçoit la ligne du téléski de Sainte-Anne :
Le haut de la ligne avec les pylônes 17 et 18. En arrière-plan se découpent, de gauche à droite, la Crête des Veyres (3051 mètres), le Pas du Curé (2783 mètres) et la Pointe de la Saume (3043 mètres). Tout au fond à gauche, les sommets des Ecrins se détachent de l'horizon :
Quant au téléski de Sainte-Anne, ici visible, il dessert les pistes les plus longues, comme la piste des Fontinets :
La piste Sainte-Anne, elle, longe le téléski éponyme par l'est :
Depuis le début de la très longue piste de Chaurionde, on bénéficie d'une belle vue sur la Montagne de la Riche en face, ainsi que sur le Rocher de l'Eissassa (3048 mètres) à gauche :
La fin de la piste de Chaurionde est une longue route enneigée en pente douce, sur laquelle il est agréable de se laisser glisser... Quand la neige n'est pas collante !
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