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Pince Städeli ou Montaz Mautino Qui l'a créé?

#1 L'utilisateur est hors-ligne   10sami52 

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Posté 22 décembre 2012 - 19:37

Bonsoir,

J'ouvre ce sujet pour savoir qui a créé la pince que :wso: et MM utilise. Dans quelques sujet la question fut posée mais la réponse reste, pour l'instant, indéterminée. En tapant "Städeli Klemme" (Pince Städeli), j'ai trouvé ce sujet de bergbahnen.org parlant de cette pince. -->Sujet (il faut descendre un peut dans la page).
Merci pour vos réponses.
Et bonnes fêtes. ;)

Ce message a été modifié par 10sami52 - 22 décembre 2012 - 19:37 .

Ohé! Aller LHC!
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#2 L'utilisateur est hors-ligne   Néoto 

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Posté 23 décembre 2012 - 10:19

Citation

Ab 1983 hingegen setzte Städeli nach dem mehr oder weniger erfolglosen Einsatz des Giovanola-Systems auf eine neuartige Klemmenart. Bereits 1964 patentierte die Firma Städeli einen Klemmenapparat für kuppelbare Einseilumlaufbahnen, der bis in die 80er Jahre aber nicht zum Einsatz kam. In diversen Quellen ist davon die Rede, Städeli habe in jener Zeit auf ein Kuppelsystem des französischen Planungsbüros Denis Creissels zurück gegriffen, das auch von der französischen Firma Montaz Mautino sowie vom österreichischen Unternehmen Doppelmayr verwendet worden sein soll. Gemäss den Patenten wurde die fragliche Klemme allerdings von Doppelmayr selbst entworfen, wohingegen bei Städeli und auch bei Montaz Mautino die Klemmenidee von 1964 zum Einsatz kam. In der Tat sehen sich die Klemmen verblüffend ähnlich, die Funktionsweise ist aber unterschiedlich. Während bei Städeli ein Tellerfederpaket direkt über einen Kuppelhebel zum Öffnen entlastet wird, so bewirkt dieser Hebel beim Modell von Doppelmayr lediglich, dass über eine zweite Schiene bei einer entlasteten Tellerfeder die nun frei schwenkbare Klemmbacke verschoben werden kann. Während der Stationsdurchfahrt ist in diesem Fall die Klemme geöffnet. Folglich handelt es sich beim Modell von Städeli um eine monostabile, bei Doppelmayr aber um eine bistabile Klemme. Fotos belegen, dass Städeli definitiv das hauseigene System einsetzte, da der typische Bolzen zum Bewegen der Klemmbacke von Doppelmayr bei Städeli fehlt. Bei den letzten Bahnen der Firma, unter anderem in Leysin, wurde die Klemme in einer weiterentwickelten Form eingesetzt. Auch bei Montaz Mautino kam definitiv die Städeli-Klemme zum Einsatz; die Firma dürfte sie in Lizenz genutzt haben.

Die ersten Anlagen mit den neuen Klemmen entstanden von Städeli in Arosa sowie im selben Jahr in Morgins. Bei zwei von drei Bahnen handelte es sich um Aufrüstungen von fixen Zweiersesselbahnen auf kuppelbare Dreiersesselbahnen. In der Folge wurden einige Dreiersesselbahnen von Städeli so konzipiert, dass man sie ohne grosse Kosten auch auf kuppelbar hätte aufrüsten können, ähnlich wie es Poma in Frankreich zur selben Zeit anbot. Allerdings wurden in der Schweiz keine dieser anfänglich fix gebauten Bahnen später je umgebaut. Dass Städeli zu jener Zeit noch immer federführend im Bau von Kapazitätsmonstern für den Wintertourismus war, zeigt sich auch daran, dass die Firma 1985 die erste kuppelbare Vierersesselbahn der Schweiz erbaute, genauso wie zwei Jahre später die erste fixe Vierersesselbahn. Die erwähnten Anlagen entstanden in Arosa respektive in Verbier. Kurioserweise setzte Städeli 1984 in Verbier beim Bau einer 6er-Kabinenbahn noch ein letztes Mal auf das Giovanola-System. In der Folge wurde auch bei Kabinenbahnen die hauseigene Klemme eingesetzt, beginnend mit der 1986 in Crans-Montana eröffneten Kabinenbahn nach Les Violettes.


Source: http://www.bergbahne...er/staedeli.php

Voilà qui devrait t'éclaircir, bergbahnen.org est une véritable mine d'or sur les installations et constructeurs suisses. :)
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#3 Invité_Métabief_*

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Posté 23 décembre 2012 - 11:40

Est-ce que par bonheur quelqu'un aurait les compétences de traduire cet extrait :unsure:
Ne me dite pas de passer par un traducteur, ça donne à chaque fois un charabia incompréhensible.

Ce message a été modifié par Métabief - 23 décembre 2012 - 11:40 .

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#4 L'utilisateur est hors-ligne   PomAntoine 

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Posté 23 décembre 2012 - 12:57

C'est vrai, t'as déjà vu un "suicidaire décaféiné" :D ?
:)

Fin du HS :)
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#5 L'utilisateur est hors-ligne   Velro 

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Posté 23 décembre 2012 - 13:51

Un peu long à traduire et je ne connais pas tous les termes techniques, surtout pour les RM à mouvement continu débrayables. Je suis plus grandes RM à va-et-vient. :)

Trad pas trop formelle du début du texte:

Par contre dès 1983, après une mise en oeuvre mitigée du système Giovanola, Städeli a misé sur un nouveau type de pince.
Déjà en 1964 Städeli a breveté un système de pince pour remontées mécaniques à mouvement continu débrayables, cette nouvelle pince n'ayant toutefois pas été utilisée avant les années 80. Selon diverses sources, Städeli aurait eu recours à des systèmes de pinces du bureau de Denis Creissels, pinces également utilisées par Montaz Mautino et Doppelmayr. D'après les brevets, la pince en question aurait toutefois été conçue par Doppelmayr, alors que Städeli et Montaz Mautino ont recouru au concept de 1964. En pratique, ces pinces sont étonnamment similaires, leurs fonctionnements respectifs par contre eux différents. Chez la pince Städeli, l'empilement de rondelles-ressorts est
comprimé directement par le levier d'accouplement [n.d.t.: je ne suis pas 100% certain que la formulation du texte allemand est correcte car de mémoire (TSD de la Foilleuse de Morgins que j'ai connu, tout comme le TSF avec les portillons coupe-vent qu'il a remplacé, les ouvrages de ligne avaient été conservés; pour l'ouverture des pinces le paquet de rondelles-ressorts est comprimé et non "déchargé" (en allemand "entlastet")}.
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#6 L'utilisateur est hors-ligne   Velro 

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Posté 23 décembre 2012 - 13:54

Ci-après, made by Google translation: :)

Toujours mieux que rien.

"A partir de 1983, cependant Städeli a poursuivi l'utilisation plus ou moins réussi du système dans un roman Résiliation Giovanola. En 1964, l'entreprise Städeli breveté un dispositif de serrage pour monocâble amovible qui dans les années 80 mais n'a pas joué. Dans diverses sources est question, Städeli ont eu recours à ce moment-là un système de dôme des Français Creissels consultants Denis dos, aurait été utilisé par la société française Montaz Mautino et la société autrichienne Doppelmayr. Selon les brevets en question, cependant, pince a été conçue par Doppelmayr lui-même, alors que Städeli Montaz Mautino et aussi à l'idée de terminal à partir de 1964 a été utilisée. En fait, les bornes de l'air très familier, mais la fonctionnalité est différente. Alors qu'avec une coupelle de ressort assemblée Städeli soulage directement via un levier d'accouplement pour ouvrir, ce levier provoque le modèle Doppelmayr simplement celle d'un second rail avec un ressort à lame qui est maintenant libre soulagé mâchoire de serrage pivotante est mobile. Au cours de la station de passage, dans ce cas, le terminal est ouvert. Par conséquent, il est le modèle de Städeli un coup de feu chez Doppelmayr, mais un terminal bistable. Les photos montrent que le système interne définitivement Städeli a commencé comme le boulon typique pour déplacer la mâchoire par Doppelmayr en manque Städeli. Dans les dernières pistes de la société, y compris à Leysin, le terminal a été utilisé dans une forme plus avancée. Même avec Montaz Mautino certainement venu Städeli terminal utilisé, l'entreprise est susceptible de l'avoir sous licence.

Les premières unités des nouveaux terminaux provenaient Städeli à Arosa, et la même année à Morgins. Dans deux des trois voies c'était mises à niveau de deux télésièges fixes sur détachables télésièges triples. En conséquence, certains télésièges triples de Städeli ont été conçus de sorte qu'ils sont sans coûts importants seraient également couplé à niveau, Poma similaire en France, en même temps offert. Cependant, en Suisse, aucune de ces voitures ont été construites initialement fixée ultérieurement remodelé. Städeli qu'à cette époque, a joué un rôle dans le renforcement des capacités pour les monstres du tourisme d'hiver se montre encore dans le fait que la société a construit en 1985, le télésiège quadruple détachable première en Suisse, ainsi que deux ans plus tard, le télésiège quadruple fixe de premier rang. Les investissements mentionnés originaire d'Arosa respectivement à Verbier. Curieusement Städeli 1984 à Verbier mis dans la construction d'une télécabine 6-personne pour la dernière fois sur le système Giovanola. Par conséquent, même lorsque le câble en interne voitures pince a été utilisé, à partir de 1986 après avoir ouvert à Crans-Montana cabine d'ascenseur Violet Les"

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#7 L'utilisateur est hors-ligne   10sami52 

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Posté 23 décembre 2012 - 14:38

Merci pour vos réponses.
Si je comprend bien, la pince :wso: et MM sont différentes mais proviennent d'une même source à la base (Denis Creissels)?. Quant à Doppelmayr, cette pince en question serait la DS (Doppelmayr System)? :)
Ohé! Aller LHC!
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#8 L'utilisateur est hors-ligne   Néoto 

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Posté 23 décembre 2012 - 15:36

C'est curieux car je pense qu'on a déjà parlé du sujet il y a quelques temps, justement au sujet de Doppelmayr. Je me demande si ce n'est pas Snowloup qui avait trouvé un lien intéressant sur le sujet...

Enfin si mes souvenirs sont exacts, il y a eu la 1er génération de pince débrayable (VonRoll VR101, Giovanola puis à crémaillère type Müller) avec de nombreuses licences accordées à travers l'Europe. Par la suite, certains constructeurs ont creusé le sujet mais il a fallu attendre le début des années 80 pour voir apparaître le boum des installations débrayables modernes. Seul Von Roll aurait effectué (avec plus ou moins de réussite selon les versions) de nombreux travaux sur les pinces débrayables avant d'aboutir à la fameuse VH400 / 411, et pas mal de constructeurs (dont Habegger et Doppelmayr) seraient passé par eux pour proposer leurs premiers systèmes débrayables. Les autres se seraient tourné vers Creissels qui aurait été le seul à proposer des alternatives modernes (Städeli n'avait encore que la pince Giovanola et Müller continuait avec sa propre pince). Au niveau des pinces contemporaines, je crois que c'est Agamatic qui fut le pionnier, leur pince étant toujours utilisée aujourd'hui. Doppelmayr a racheté VonRoll (qui a repris Habegger) et a fusionné en 2002 avec Garaventa, qui avait lui même racheté Städeli. Ils ont repris Hölzl et Agamatic également en 2002.

Maintenant, je n'ai aucune idée de comment ça s'est passé à l'époque. Est-ce que Städeli et Montaz Mautino sont intervenu sur les travaux de Creissels? Ou Städeli et Montaz Mautino se sont basés sur les travaux de Creissels pour aboutir sur leur propre pince? En pratique, on remarque quand même qu'en dehors de la pince, les installations Städeli et Montaz Mautino sont complètement différentes. Par contre, je crois que Städeli a participé à la réalisation des premiers Funitel, justement au niveau des pinces non? Le funitel Réel de Val Thorens n'est pas signé Réel / Creissels / Setam / Städeli? À mon avis, Felix pourrait nous en dire plus sur le sujet. ;)

Le problème c'est qu'aujourd'hui, on commence à remplacer les installations qui datent du début des années 90, alors les installations des années 80 ont pour beaucoup déjà disparu. Mais on retrouve généralement beaucoup de points communs entre elles et elles ont un côté très sympa. Je crois qu'il y a un TSD3 Garaventa assez spécial du côté de Zermatt, puis il y a aussi le TSD3 Habegger la Siala à Laax qui était un sacré spécimen.
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#9 L'utilisateur est hors-ligne   Velro 

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Posté 23 décembre 2012 - 18:50

En simplifiant on peut considérer que les funiculaires et les grands télépériques à va-et-vient constituaient les domaines dans lesquels les constructeurs suisses étaient leaders alors que les constructeurs français étaient à la traîne. Dans le domaine des installations débrayables c'était assez exactement l'inverse.

Je me souviens d'une période durant laquelle les Portes du Soleil étaient déjà équipées de TSD rapides et modernes côté français alors que côté suisse on construisait encore des TSF2 (et je ne mentionne pas les antiques TSF2 encore en service il y a quelques saisons). Evidemment que le marché français des RM était bien plus propice aux installations à haut débit, ce au vu de nombreux nouveaux domaines skiables qui se sont développées rapidement alors qu'en Suisse on a assisté une extension moins fulgurante de stations existantes.

Pour les grands TPH à va-et-vient, le développement en France a été tumultueux et marqué par divers accidents et incidents, en partie dus à la politique du "ici on ne fait pas comme dans le reste du monde" assez caractéristique de certains constructeurs et bureaux d'ingénieurs français.

Les RM débrayables ont par contre connu un développement lent en Suisse et les constructeurs suisses ont accumulé pas mal de retard par rapport aux concurrents et en particulier Pomagalski.

A mon avis, pendant (trop) longtemps le développement de pinces modernes n'a pas été une priorité pour les constructeurs suisses car la demande indigène était assez faible vu que durant longtemps on a surtout
construit des RM à va-et-vient (grands téléphériques avec frein de chariot et funiculaires), des télésièges fixes (TSF) et beaucoup de téléskis (TK) alors qu'en France les impératifs de débits rendaient des RM débrayables indispensables.

En simplifiant, je résumerais en disant que les constructeurs français ont raté le coche pour les grandes RM
à va-et-vient alors que les constructeurs l'ont raté pour les RM débrayables. Aujourd'hui la question se pose
moins de par le quasi duopôle de constructeurs. Cela dit je reste d'avis que Garaventa (Doppelmayr) maîtrise
mieux la technologie des grandes RM à va-et-vient et le retard dans les RM débrayable a été comblé depuis par
Doppelmayr.
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