Un départ depuis le pied du TKD Arces me semblerait également être la meilleure solution, ça fait déjà longtemps que je le dis.
Ce secteur ferait apparemment peu de passage et ne serait pas rentable voire coûteux.
Il est néanmoins hors de question de l'abandonner puisque deux tranches de sa rénovation ont déjà été entreprises et que le domaine souffre de son manque d'espace.
Donc raison de plus pour faire disparaitre le TSF3 du Crêt, le TSF2 de la Taverne et le TKD des Arces voire le TKD Crozat pour ne les remplacer que par un appareil unique qui ne pourrait guère être autre chose qu'un TSF4 si on veut que l'opération soit rentable: bien que le nouvel appareil n'égale pas le débit des trois installations qu'il remplace, il n'y aura pas de problème de débit dans le cas présent.
Concernant les beaux discours et autres effets d'annonce post électoraux de certains élus, nul ne contestera que c'est bien d'avoir des idées à condition que celles ci soient réalistes et qu'ils puissent les réaliser: il se pourrait que la réalité se rappelle à eux auquel cas l'atterrissage serait violent mais patience, l'audit nous le dira...
zip6974, le 13 mai 2014 - 23:00 , dit :
Technologiquement il est toujours possible de changer les cabines, par contre on plafonnera niveau débit car la ligne fut calculée au plus juste: il faudrait la reprendre entièrement, ce qui coûterait sans doute à quelques millions d'€ près presque aussi cher que de changer carrément l'appareil.
Cette solution "extrême" aurait bien l'avantage de mettre un gros coup de frein aux frais fixes de maintenance, mais espérons qu'on en arrive pas là car cela gèlerait pour X année tout autre investissement sur le domaine étant donné qu'il n'y a pas la puissance d'investissement d'un grand groupe derrière...
Si l'engin a mal vieilli, c'est surtout parce qu'il tourne depuis sa création été comme hiver et que justement, il a été dimensionné à l'économie en 1986 pour pouvoir durer trente ans.
Si toutefois des responsabilités étaient à chercher du côté de la municipalité, ce serait du côté de la municipalité de l'époque.
Enfin, si l'entretien de l'appareil avait été si mal fait qu'on le dit il n'aurait pas eu l'autorisation d'exploiter, puisque visites et contrôles sont supervisés et validés par un organisme indépendant!
L'Aéroski de Balme, au contraire, ne tourne pas l'été depuis 28 ans et a été surdimensionné en terme d'infrastructure (notamment les pylônes), ce qui fait qu'il a moins fatigué.