Et le scénario 3 est une solution 100% ski qui nécessitera quand même de lourds investissements sur l'enneigement artificiel (si on veut garantir un minimum de jours d'ouverture), tant pour la construction (je l'ai compté dans les 10 millions à la louche) qu'à l'exploitation (produire de la neige artificielle, cela coûte, tout comme entretenir le réseau...)
Qui de plus ne permet pas non plus de déplacer un jour l'espace débutant plus en altitude et limite aussi le nombre de skieurs journaliers (donc la rentabilité du domaine), car une série de TKD/TKE, cela ne permet pas de monter plus de 800 à 900 skieurs par heure, dans le meilleur des cas, jusqu'au domaine d'altitude.
D'un point de vue personnel, si on veut vraiment avoir une optique multiusage (que ce soit en hiver ou en été), un débrayable (plutôt de type télécabine) semble la seule solution pertinente. Idéalement avec une gare intermédiaire sur les crêtes, pour permette de desservir les pistes desservies par le TSF4 Côtes Sud (et si l'enneigement le permet, un retour station ski au pieds, mais sans investissement sur de l'enneigement artificiel), et aussi envisager de continuer le VTT, pourquoi pas du parapente depuis la crête, de la trottinette tout terrain ou du mountain kart via la route existante, etc.
Reste à savoir si un tel scénario peut être rentabilisé (à ce niveau je n'ai pas les compétences pour juger, mais de ce que je lis cela semble compliqué), en simplifiant aussi le domaine skiable d'altitude pour ne garder que certains des TK. Et si un tel financement peut être trouvé...
Le faire avec deux TSF4 serait aussi possible, mais les temps de montée vont rendre le domaine tout de suite moins attractif, et certaines activités seraient plus difficiles à envisager avec un TSF4 (même déplacer l'espace débutant en altitude serait plus compliqué, car "forcer" les débutants à emprunter 2 TSF4, avec ou sans ski aux pieds (les deux ont leur lot de problèmes), avant d'apprendre à skier semble compliqué).
Ce message a été modifié par chris2002 - Hier, 23:06 .