En 1971 et 1972 j'étais en colonie de vacances à Lenzerheide, et nous allions tous les jours à Valbella pour nager dans l'hôtel Post, en suite au lieu de remonter en voiture avec les autres, j'ai pris plusieurs fois le chemin de la forêt qui passait à côté de la station aval Canols.

C'est là que j'ai fait connaissance de messieurs Platz et Albertin, deux beaux frères (la soeur de Albertin était l'épouse de Platz).

Ils m'ont fait monter gratuitement à Scharmoin. J'ai dû attendre longtemps pour monter au sommet, qui m'a d'emblée captivé par son inthronisation entre les rochers de l'austro-alpin (une couche tectonique au dessus du pennique). Ce sont ces rochers qui ont mérité le nom ROTHORN à la chaîne. Il y a trois téléfériques Rothorn en Suisse, et un Weisshorn, c'est tout à propos de couleurs.

Ma passion de téléfériques à va-et-vient est un mélange de relations personnelles et joie de belles formes et intérêt pour tout qui travaille.


Finalement j'ai écrit en 1972 à la maison Habegger qui m'ont fait parvenir un album de leurs ouvrages. C'est d'ailleurs ce monsieur Platz qui m'avait répondu qu'il y avait d'autres téléfériques équivalents à ceux de Thoune, à ma question naïve si les Habegger étaient les meilleurs.

L'amour pour Habegger est immortel chez moi, puisque c'était la première expérience.
En 1975 je voulais faire mon apprentissage de dessinateur en acier, mais ils me l'ont déconseillé.

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