Citation
Au cours des essais annuels de sécurité, la cabine est lestée puis lâchée dans la pente. Le frein automatique de détection de survitesse (frein parachute) normalement doit arrêter la cabine en quelques mètres seulement. Le frein parachute n'aurait pas rempli son rôle d'arrêt d'urgence et la subite forte tension a provoqué la rupture du câble! La cabine a percuté violemment le bas de la pente… selon d'autres sources, un agent de la RATP aurait été blessé.
Le frein parachute est quand même le principal dispositif de sécurité qui équipe toutes les cabines de funiculaire. Ce sont de puissantes mâchoires qui viennent automatiquement serrer fortement le rail lorsque qu'une survitesse est détectée… en cas de rupture de câble par exemple…! Mais là la survitesse, volontairement provoquée par les essais de sécurité, n'a pas déclenché le frein automatique!
Le frein parachute est quand même le principal dispositif de sécurité qui équipe toutes les cabines de funiculaire. Ce sont de puissantes mâchoires qui viennent automatiquement serrer fortement le rail lorsque qu'une survitesse est détectée… en cas de rupture de câble par exemple…! Mais là la survitesse, volontairement provoquée par les essais de sécurité, n'a pas déclenché le frein automatique!
A mon avis, la quasi-totalité de la cabine a été reconstruite vue l'ampleur du choc qu'il y a dû y avoir ! (déformation possible du châssis).