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  1. Dans le sujet : Les 3 Vallées, Courchevel : 1850/Moriond/Le Praz/La Tania/Village

    14 avril 2024 - 20:10

    Citation

    Tant qu'à faire, si vous êtes sensibles à ce sujet, n'hésitez pas à contribuer à la concertation des futures lignes de transport en commun d'Annecy pour les pousser à remettre en service en (tram-)train la ligne Annecy-Ugine-Albertville, cela permettra d'avancer sur ce sujet vers le Val d'Arly :)

    [HS]
    Attention, la consultation du transport en commun (lignes à haut niveau de service) est lancée par le Grand Annecy et ne concerne que le périmètre du Grand Annecy, l'autorité qui a la compétence de l'organisation des transports sur son territoire. Au-delà de Duingt, le Grand Annecy n'est plus compétent en matière de transport, c'est du ressort du département / de la région...
    Pousser pour un tram-train Annecy-Albertville lors de cette consultation ne permettra pas de faire avancer le sujet, puisque les porteurs de projets ne sont pas les mêmes...
    [/HS]
  2. Dans le sujet : Les Portes du Mont Blanc : Combloux/Cordon/La Giettaz-en-Aravis/Megève Jaillet

    31 mars 2024 - 15:04

    Extrait du bulletin municipal de Combloux (de fin 2023)

    Citation

    Une résiliation, un nouveau contrat : l'évolution du domaine se poursuit

    La Délégation de Service Public (DSP) est pilotée par le Syndicat Intercommunal à Vocation Unique (SIVU) Espace Jaillet, qui regroupe les communes de Combloux, Cordon, Demi-Quartier, La Giettaz, Megève et Sallanches. Le comité syndical du SIVU a décidé de résilier la DSP signée en 2011 entre le SIVU et la SEM des Portes du Mont-Blanc. En effet, le cahier des charges initial prévoyait un niveau d'investissement très faible, adapté à l'époque aux moyens et à la situation économique et financière du domaine skiable. Ainsi, le montant estimatif du remplacement du télésiège de Beauregard était fixé à 7 millions d'euros, le changement de la télécabine du Jaillet n'était pas intégré dans le contrat, et aucune autre perspective n'était intégrée dans ce document servant de base à la relation entre l'autorité délégante (SIVU) et son délégataire (SEM Portes du Mont-Blanc).

    Depuis la signature de la DSP, la situation de la SEM a évolué positivement, malgré une très forte exposition aux aléas climatiques. Depuis 2017, la société a en effet réussi à trouver un point d'équilibre, voire une rentabilité lors des années favorables. Cela a permis d'envisager la réalisation d'investissements plus importants. Dans ce cadre, dès 2020, la nouvelle équipe municipale a souhaité pousser la SEM à réaliser le plus rapidement possible le remplacement du télésiège de Beauregard.

    Cependant, afin de répondre aux enjeux de la diversification du modèle touristique et aux attentes de sécurité de la clientèle familiale, le type d'appareil visé s'est porté sur un télémix, alliant cabines et sièges. Cette modification du type d'appareil apportait une modification de l'enveloppe financière de l'investissement, porté alors à 14 millions d'euros. Eu égard à cette modification importante et en prenant en compte la nécessité d'inscrire une somme similaire à brève échéance pour la télécabine du Jaillet, les élus du SIVU ont souhaité passer un avenant à la DSP.

    Après plusieurs réunions sur ce sujet avec les services de l'Etat, ces derniers ont indiqué qu'un avenant serait illégal car il viendrait modifier l'équilibre économique du contrat initial. Aussi, le SIVU n'a pas eu d'autres choix que d'engager la procédure de résiliation du contrat dans le courant de l'année 2023, puis de lancer une consultation pour permettre la signature d'un nouveau contrat d'une durée de 20 ans.

    Ce nouveau contrat porte trois éléments : à court terme, ce sont le télésiège de Beauregard et la télécabine du Jaillet qui seront remplacés par de nouveaux appareils. Installés respectivement en 1986 et 1978, ils sont arrivés en fin de vie, particulièrement en matière de disponibilité des pièces pour la maintenance. Ces deux chantiers d'ampleur seront réalisés à l'horizon de deux à trois ans après la signature du contrat. En troisième point, à moyen terme, c'est-à-dire à un horizon de trois à cinq ans, il s'agira, sous conditions du dynamisme du chiffre d'affaires, de remplacer les deux télésièges de la Giettaz par un seul appareil qui partira du plan pour aller au sommet de Torraz.

    Ce nouveau contrat porte plus de 30 millions d'investissement. C'est une vraie ambition pour le domaine skiable et sa trajectoire vers la diversification, déjà bien engagée puisque les aménagements réalisés au sommet du Jaillet permettent de générer aujourd'hui 12% du chiffre d'affaires annuel durant l'été. La consultation de la nouvelle DSP est ouverte jusqu'à fin décembre. Viendra ensuite le temps de l'analyse des offres et la négociation. Le contrat sera signé avec le nouvel exploitant (ou bien avec la SEM Portes du Mont-Blanc si celle-ci est retenue), dans le courant de l'hiver pour une exploitation sous le régime de la nouvelle DSP au 1er mai 2024.
  3. Dans le sujet : Le groupe Vail Resorts

    29 mars 2024 - 21:24

    ... ce qui permet d'avoir en France les forfaits parmi les moins chers du monde ! ;)
  4. Dans le sujet : Téléphérique Fontaine - Saint-Martin-le-Vinoux (Grenoble)

    28 mars 2024 - 09:59

    Un article de France 3 sur ce dossier :

    Citation

    Métrocâble de Grenoble : "peu consensuel" et "inutilement complexe", pourquoi la commission d'enquête a émis un avis défavorable

    Le Métrocâble, projet de téléphérique urbain du nord-ouest de la métropole de Grenoble, a reçu un avis négatif de la commission d'enquête publique qui pointe de nombreuses défaillances dans le dossier. Les commissaires concluent notamment à une fréquentation incertaine pour un projet présentant peu de bénéfices pour l'environnement.

    Nouveau coup de tonnerre sur le projet de transport par câble de la métropole de Grenoble. La commission d'enquête publique a émis un avis défavorable sur le Métrocâble, téléphérique urbain qui pourrait relier Fontaine à Saint-Martin-le-Vinoux.

    En résumé, les commissaires enquêteurs estiment que le projet est "peu consensuel", son tracé "inutilement complexe" et le budget d’investissement est "trop élevé". Si bien qu'il présente "plus d’inconvénients que d’avantages".

    Quels sont les éléments pointés du doigt ? Les arguments du maître d'ouvrage ? Et quelles seront les prochaines étapes ? France 3 Alpes fait le point sur le projet après ce nouveau revers.

    Opposition "résolue, structurée, organisée"

    De nombreuses oppositions ont émergé autour du projet de transport par câble, jugé inutile ou trop coûteux. "Depuis 2021, on se mobilise pour alerter la population sur ce Métrocâble, sur ce que cela va changer. La concertation n'a pas été bien faite et c'est très bien relevé par la commission d'enquête", pointe un opposant du collectif Stop Métrocâble.

    Les commissaires enquêteurs ont souligné les contestations autour du projet, aussi bien citoyennes que politiques. Porté par Grenoble-Alpes Métropole, le Métrocâble est soutenu par les communes de Fontaine et Saint-Martin-le-Vinoux, situées sur le parcours.

    Mais quatre autres communes, sur le tracé ou limitrophes, s'y opposent ou ont émis des avis réservés. Par ailleurs, ni le Département de l'Isère ni la Région Auvergne-Rhône-Alpes n'a émis d'avis dans le cadre de l'enquête. Un "dissensus politique" qui s'étend aussi bien sur le territoire métropolitain que sur la zone concernée.

    "Comment un projet si peu consensuel, présenté comme structurant pour les transports en commun du secteur nord-ouest de l’agglomération, a-t-il pu arriver en l’état jusqu'au stade de l’enquête publique ?", interroge le rapport, alors qu'un "grand nombre" de contributions ont été déposées - plus de 1 900.

    Avec "l'inutilité" de la concertation préalable exprimée dans certains avis, ce qui a pu faire émerger une opposition "résolue, structurée, organisée" au projet. "Si cette concertation avait pu être faite plus tôt et mieux, peut-être qu'on aurait pu réorienter et pas arriver en bout de course avec un projet très structurant mais qui ne répond plus à l'objectif de politique publique", estime Marie Coiffard, secrétaire du parti Les écologistes-EELV à la Métropole de Grenoble.

    Un tracé "sinueux" qui fait flamber les coûts

    Le Métrocâble, dont le budget d'investissement est estimé par la Métropole de Grenoble à 65 millions d'euros, présente l'avantage de franchir le Drac, les voies ferrées ou encore l'autoroute par les airs. Mais les nombreux obstacles qui se dressent entre les gares de départ et d'arrivée produisent un tracé "sinueux" et "inutilement complexe" avec quatre changements de direction pour six stations. Ce qui n'est pas sans peser sur l'enveloppe globale.

    "Le budget présenté néglige ou sous-évalue des dépenses importantes qui font partie intégrante du projet", écrivent les commissaires enquêteurs, citant l’enfouissement et la réhausse des lignes à très haute tension et le déplacement de la station de La Poya, terminus du tram A.
    En prenant en compte ces augmentations de coûts, le bilan du projet deviendrait "largement négatif". Un résultat qui "ne fait que traduire, sous une forme monétarisée, que le projet présente plus d’inconvénients que d’avantages", nécessitant "un investissement élevé en regard d’un gain de temps de transport très hypothétique".

    Les solutions alternatives au Métrocâble, tel que le bus à haut niveau de service envisagé pour desservir le même secteur, ont par ailleurs fait l'objet d'une étude "incomplète et superficielle", selon la commission d'enquête.

    "Cette focalisation sur le Métrocâble est problématique et a laissé de côté d'autres projets : le développement des transports vers le grand sud vizillois, le déploiement d'un bus à haut niveau de service... D'autres projets auraient peut-être suscité plus d'engouement", commente Marie Coiffard.

    Fréquentation incertaine

    Le flou demeure quant à la fréquentation du Métrocâble compte tenu, notamment, de l'abandon partiel d'un projet immobilier de taille. Quelque 2 600 logements devaient voir le jour sur un terrain de 95 hectares entre Fontaine et Sassenage. Mais le projet, baptisé Portes du Vercors, a été en grande partie retoqué, passant à 970 logements, et uniquement à Fontaine.

    Or, ce projet de construction et celui du câble sont "intimement liés". En témoigne le tracé du téléphérique urbain, conçu pour desservir les milliers de logements imaginés à l'origine. Et l'évolution du projet immobilier "n'a pas été prise en compte dans le dossier" du Métrocâble, malgré son impact sur les prévisions de fréquentation.

    L'étude socio-économique sur laquelle s'appuie le maître d'ouvrage pour estimer le nombre de voyageurs est elle "trop ancienne", selon les commissaires enquêteurs. Le président de la Métropole de Grenoble, Christophe Ferrari, a réagi par voie en communiqué en estimant que les procédures administratives encadrant ces projets "tournent à l’envers ou en tout cas pas rond."

    "L’exigence démocratique et environnementale, l’exigence de bonne gestion des deniers publics, nécessiteraient à mon sens que ce type d’avis arrivent beaucoup plus tôt dans la vie d’un projet", déclare l'élu, arguant que "plusieurs millions d’euros ont d’ores et déjà été dépensés" pour le Métrocâble.

    Sa fréquentation a été estimée à 4 600 voyages par jour à la mise en service en 2025, dont un report de seulement 150 usagers de la voiture vers le câble. "Avec un si faible report modal, le projet de câble ne participera que très peu au désengorgement de la circulation, à l’amélioration de la qualité de l’air et à la diminution des émissions de gaz à effet de serre", tranche la commission d'enquête.

    Peu de bénéfice pour l'environnement

    Présenté comme un mode de transport vertueux pour l'environnement par le porteur du projet, l'impact du Métrocâble ne serait que faiblement positif, selon l'enquête publique. Le gain de CO2, dû "à 95 % à la restructuration du réseau de bus induite par la mise en service du câble", serait "en grande partie annulé" par la consommation énergétique de ce mode de transport.

    Le projet ne peut donc pas être "qualifié de décarboné", d'après les commissaires enquêteurs. Malgré ces conclusions, Christophe Ferrari loue un projet nécessaire "face à l’urgence climatique, face aux enjeux sanitaires de la pollution de l’air, face au renchérissement du prix de l’énergie et des carburants, face à la nécessité de fournir des solutions de transport alternatives à la voiture."

    L'avis de la commission d'enquête étant consultatif, l'avenir du Métrocâble pourrait dépendre du préfet de l'Isère à qui il revient de trancher sur la déclaration d'utilité publique, étape nécessaire à la poursuite du projet, si la Métropole souhaite continuer à le porter. Les opposants ont d'ores et déjà annoncé qu'ils formuleront des recours administratifs si cette nouvelle étape venait à être franchie. "Ça va juste faire perdre du temps à tout le monde", regrette un militant.

    "On ne facilitera pas le report vers les transports en commun sans développer l’offre publique de transport, sans projet structurant, sans constance politique. Chacun devra ainsi prendre la mesure de sa responsabilité, notamment sur ce projet et dans l’avis qui a été rendu par la commission d’enquête, un avis qui est clairement un mauvais coup pour le territoire et ses habitants", conclut le président de la Métropole, sans indiquer les suites qui allaient être données au Métrocâble.
  5. Dans le sujet : Construction TCD10 Le Valléen (Le Fayet - Saint Gervais) (2023/2024)

    26 mars 2024 - 11:47

    Radio Mont Blanc 25/03/2024

    Citation

    Saint-Gervais : les 2 ascenseurs seront livrés au début de l'été

    Dans quelques mois, Saint-Gervais sera doté de deux nouvelles remontées mécaniques.

    En l’occurrence deux ascenseurs décarbonés qui permettront de relier le bas du Fayet avec le centre-bourg. Le premier est l’ascenseur à eaux usées, qui partira du Parc thermal. Le chantier a pris du retard.
    Au lieu d’être fonctionnelle début avril, comme initialement prévu, la remontée accueillera ses premiers passagers au début de l’été. Jean-Marc Peillex, le maire de Saint-Gervais, fait un point sur le chantier.
    "La livraison de la cabine a été faite et là c’est la construction du rail puisque c’est un ascenseur incliné, et visiblement Poma a quelques semaines de retard, j’espère que l’entreprise ne trouvera pas une autre façon de repousser ce planning. Mais ça coûte cher pour l’entreprise puisqu’il y a des pénalités de retard. Une collectivité est obligée d’appliquer des pénalités de retard, parce que autrement, cela voudrait dire qu’on accepte l’élasticité d’un planning et peut-être que l’on fausse la concurrence parce que si le planning avait été plus long, peut-être que d’autres entreprises auraient répondu."

    Le second ascenseur est le Valléen, qui partira de la gare du Fayet. Un autre chantier pour lequel le maire de la commune fait également un point.
    "Les massifs sont faits, les pylônes sont faits, les câbles vont être tirés pour le mois d’avril en sachant que là c’est un peu plus complexe puisque comme les cabines passent au-dessus de la ligne à haute tension de 63 000 V, il faut obtenir une coupure pour qu’on puisse travailler sans qu’il y ait les 63 000 V dessous. Ça, ça demande une procédure d’un peu plus d’un an, et cette coupure va se faire au mois de mai, c’est un point obligé malheureusement pour cette réalisation du Valléen."

    Cette phase du chantier du Valléen coïncidera avec le début des travaux de modernisation du DMC. Son démontage commencera en avril : les pylônes seront supprimés, le câble sera posé à terre. La nouvelle télécabine sera livrée en décembre, pour une mise en service pour les vacances de Noël.

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