Merci d'être réactif !
Mais personnellement, j'aimerais bien que tous passent le plus rapidement possible sur les pylônes, pour les sensations, qui sont pour moi, le but recherché, et le meilleur téléphérique dans ce but est le premier tronçon de l'Aiguille du Midi, ce pourquoi je choisis Chamonix pour le ski, et parfois Bourg Saint Maurice pour le funiculaire Arc en Ciel !
Je pense que s'il reste à 10 m/s sur les 2 premiers pylônes (d'ailleurs pour la sécurité sur le 3° le plus en aval, qui a le plus de changement d'inclinaison, il ralentit à 7 m/s en descente, mais reste à 10 m/s en montée), c'est que c'est possible techniquement en gardant la sécurité, et pour justement garder cet attrait attractif amusant pour les touristes.
Au moins, si certains mails que j'adresse à d'autres passionnés sur ma plus grande passion qui est la musique traditionnelle (accordéon, valses de Vienne, musiques folkloriques, chanteurs comme Charles Trénet, etc...), dont j'effectue une émission chaque dimanche depuis 31 ans sur idfm98.fr / Emissions / Musiques récréatives (Radio Enghien), de 12 à 14 h, sont longs à répondre, les sensations fortes étant ma passion secondaire, ceux d'ici sont rapides !
Et merci à Vincen pour l'astuce !, dont j'ai réussi à incorporer l'image du graphe que vous pouvez voir sur le lien ci-dessous, mais un peu plus flou que l'original sur Excel et même l'image elle-même :
avec en abscisses les temps en secondes, et en ordonnées les accélérations en g (à multiplier par 9,81 (10 environ), pour des m/s², et bien sûr en prenant ici 1 g pour la pesanteur terrestre naturelle au repos, qu'il convient de retirer si l'on mesure uniquement la valeur de l'accération) :
Accélérations sur pylônes du téléphérique de l'Aiguille du Midi 1° tronçon en descente rempli à 10 m/s
On distingue aussi les belles secousses et oscillations dus à l'élasticité du câble et des balancements de la cabine !
Sur le 2° tronçon, véritable exploit en 1955 des ouvriers courageux, d'avoir réussi à monter 6 tonnes du câble porteur à dos d'homme jusqu'à 3800 mètres d'altitude sans hélicoptère, la vitesse depuis les nouvelles cabines de 2018 affiche jusqu'à 13,6 m/s au début de la descente ou montée, 12 m/s ensuite !!
Ce qui donne une vitesse verticale, comme la pente au début est de 110 %, soit environ 50°, mais peut-être 45° lorsqu'il atteint 13,6 m/s, de 13,6 * (sin 45°) 0,707 = 9,5 m/s (35 km/h), et les 2 cabines se croisent donc à près de 100 km/h !! Mais on sent peu d'accélération, puisqu'il n'y a pas de pylône, et que cette vitesse est atteinte en 20 secondes, soit une accélération verticale d'environ 0,05 g...
Sans compter la différence de hauteur impressionnante entre le câble porteur très haut et le câble tracteur très bas à leur milieu, lorsque les cabines sont en station, qui se rejoignent évidemment au niveau des roulettes et griffes de chaque benne (ou d'un pylône).
J'avais eu aussi la chance, mais cela s'est produit une seule fois, que la cabine stoppe brusquement en plein milieu et la sensation avait été très bonne également, car bonjour le balancement vertical énorme aussi du à la réaction du câble porteur !!
Ce message a été modifié par Philippe R - 03 octobre 2019 - 14:40 .