- Groupe :
- Membres
- Messages :
- 213 (0,05 par jour)
- Plus actif dans :
- Discussions générales (67 messages)
- Inscrit(e) :
- 10-juin 12
- Visualisations :
- 12 366
- Dernière activité :
mars 17 2023 23:18
- Actuellement :
- Hors-ligne
Mes informations
- Titre :
- TSD4 du Plan du Four
- Âge :
- 37 ans
- Anniversaire :
- Février 14, 1986
- Gender:
-
Homme
Informations de contact
- Courriel :
- Cliquez pour m'envoyer un courriel
Previous Fields
- Profession:
- Cadre
Derniers visiteurs
-
Corentin.ARW
02 mars 2023 - 01:24 -
Rodo_Af
21 sept. 2022 - 09:38 -
theo
27 août 2022 - 09:21
Sujets que j'ai initiés
-
Observatoire des forfaits
17 mars 2023 - 14:27
La saison de ski 2022/2023 arrivant doucement vers ses dernières semaines d'ouverture, j'en profite pour faire le bilan et ouvrir un nouveau sujet permettant de compiler les prix des stations de ski et de leurs exploitants.
Il est question ici du massif ayant la plus grosse part de marché en France : les Alpes du Nord (Savoie, Haute-Savoie, Isère), représentant plus de 70% des journées skieur en France selon DSF (*)
Avec maintenant 2 ans de recul, dont une saison pré-inflation, cela permet de voir les évolutions des tarifs appliqués d'une saison sur l'autre.
Principe : suivi de deux indicateurs en tarif individuel TTC en caisse, adulte, haute saison, hors assurance (sans remise avant/fin de saison/web/gens du pays etc)
- forfait 1j
- forfait 6j
Au global, l'évolution moyenne d'une saison à l'autre 2021/2022 > 2022/2023 est la suivante :
- forfait 1j : +6%
- forfait 6j : +7%
Cette évolution moyenne est similaire à l'inflation Insee, de 6% au 1er janvier 2023 (Note Insee du 31/01/2023)
Certaines stations ont des écarts plus ou moins importants, le détail est à découvrir ci-dessous.
L'idée est désormais de suivre tous les ans ces évolutions sur ce fil.
(*) Indicateurs et analyse 2022 DSF -
Crise énergétique en Europe
11 juillet 2022 - 09:48
Les nouvelles sur le front énergétiques ne sont pas réjouissantes.
Citation
Le gouvernement prépare les esprits à une "probable" coupure du gaz russe
AFP parue le 10 juill. 2022 - 22h45
Le gouvernement a appelé dimanche à "se mettre rapidement en ordre de bataille" pour faire face à l'éventualité d'une coupure totale des approvisionnements en gaz russe, "option la plus probable" selon le ministre de l'Economie Bruno Le Maire.
"Préparons-nous à la coupure totale du gaz russe, c'est aujourd'hui l'option la plus probable. Ça suppose que nous accélérions notre indépendance énergétique", a plaidé lors des Rencontres économiques d'Aix-en-Provence le numéro 2 du gouvernement français, qui veut profiter de l'été pour "se mettre en ordre de bataille" avant l'hiver.
"Il faut se mettre dans le scenario du pire, car il existe. À tout moment, la Russie peut interrompre totalement ses livraisons de gaz", a renchéri la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher, dans un entretien au Figaro daté de lundi.
En matière d'approvisionnement, "on peut avoir des tensions sur le gaz cet hiver", avait averti dès samedi la Première ministre Elisabeth Borne lors d'une rencontre avec la presse.
"Face à ce risque, nous agissons, en diversifiant nos sources d'approvisionnement en gaz, en augmentant nos capacités avec le projet de terminal méthanier flottant au Havre, et en accélérant le stockage", a expliqué Mme Pannier-Runacher.
Le gouvernement a notamment demandé le remplissage à près de 100%" des capacités de stockage de gaz nationales d'ici au début de l'automne.
"Sur l'électricité, normalement, selon les projections d'EDF, on devrait avoir une production plus forte au fur et à mesure" que les douze réacteurs (sur 56) actuellement à l'arrêt pour corrosion redémarreront, a indiqué samedi Mme Borne.
Mais si l'électricité venait à manquer, le gouvernement prépare pour l'hiver une série de mesures destinées à prioriser les ménages et certaines industries.
"Évidemment on préserve les ménages et (...) on ne coupe pas les usines ou les transports en communs", a détaillé Mme Borne samedi.
"Il faut nous mettre en ordre de bataille maintenant sur l'organisation, le délestage, la sobriété, la réduction de consommation... c'est maintenant que nous devons prendre les décisions", lui a fait écho le ministre de l'Economie.
- "Répartir l'effort -
Ainsi certains sites industriels pourraient se voir demander de "ralentir leur consommation d'énergie, voire d'arrêter leur consommation d'énergie pendant un certain temps", a expliqué M. Le Maire, tout en précisant que "c'est totalement impossible" pour certains sites, afin de ne pas "casser l'outil industriel".
Devant le risque que Vladimir Poutine coupe le robinet du gaz à l'Europe, "une option crédible" a dit Bruno Le Maire dans un entretien à LCI en marge des Rencontres d'Aix, il faut "anticiper les conséquences".
"Il faut répartir l'effort entre administrations, particuliers et entreprises", a expliqué Bruno Le Maire, dans une France qui se dit dans une situation plus "favorable" que ses voisins.
Le gouvernement a lancé trois groupes de travail pour améliorer la sobriété énergétique dans l'administration, les entreprises et les établissements recevant du public. L'objectif est d'établir une feuille de route permettant de réduire de 10% la consommation d'énergie d'ici deux ans par rapport à 2019.
"La sobriété, c'est un changement complet de nos comportements, pour nous chauffer, pour nous déplacer, pour produire. Et c'est la clef pour ne pas être dans la main d'un ennemi géopolitique", a affirmé la ministre de la Transition énergétique.
"C'est une affaire de plusieurs mois, mais (cela) doit nous amener aussi à prendre un certain nombre de décisions d'investissement et faire preuve d'imagination", a soutenu Bruno Le Maire sur LCI.
Le risque de pénuries d'énergie ne s'arrête d'ailleurs pas aux frontières françaises, la présidente de la Commission européenne ayant appelé mercredi les 27 Etats membres de l'Union européenne à se "préparer à de nouvelles perturbations de l'approvisionnement en gaz, voire à une coupure complète de la part de la Russie."
L'Allemagne, autrement plus dépendante au gaz russe que la France, est déjà sur le qui-vive. Le Bundestag a adopté un plan d'économie: plus de chauffage au-dessus de 20 degrés l'hiver et plus d'eau chaude dans les bureaux individuels, par exemple.
Mettons-nous dans le scénario du pire :
- les exploitants de remontées mécaniques seront-ils considérés comme une activité dont il ne faut pas casser l'outil industriel ? On se souvient de la posture du gouvernement lors de la pandémie...
- les coupures ont-elles plus de chance d'arriver en heure de pointe (19h), ce qui permettra de limiter la casse chez les exploitants, ou bien pourront-elles arriver en journée ?
- ces délestages, s'ils surviennent, seront-ils anticipés à l'avance, évitant d'évacuer des milliers d'usagers bloqués sur des remontées ?
- va-t-on demander aux exploitants de diminuer leur consommation énergétique, en ne faisant pas tourner certaines de leurs remontées ?
Amis
Argentoratum n'a pas encore ajouté d'amis.
Commentaires
Argentoratum n'a pas encore de commentaires. Pourquoi ne pas lui dire bonjour ?