Forums Remontées Mécaniques: [Actu] MND Ropeways - Forums Remontées Mécaniques

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[Actu] MND Ropeways Fusion de : LST + BMF France

#81 L'utilisateur est hors-ligne   Cookie 

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Posté 07 février 2020 - 19:48

C'est étonnant qu'ils ne parlent pas du tout de la marque LST dans leur article, car MND reste un groupe d'entreprises. Curieux de voir comment ils se présenteront au Mountain Planet.

Ce message a été modifié par Cookie - 07 février 2020 - 19:49 .

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#82 L'utilisateur est hors-ligne   Rodo_Af 

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Posté 07 février 2020 - 21:32

J'ai pensé également la même chose hier. L'article est juste un copier/coller du communiqué de presse envoyé.
Donc MND et Bartholet communique sans mentionner le nom de LST...
Qu'es que cela signifie ? Comment cela va t-il évolué ?
Le bon sens commercial est de développer et mettre en avant la marque Bartholet qui est sur le marché depuis 50 ans.
A suivre.
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#83 Invité_remontees_*

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Posté 07 février 2020 - 22:06

Sûrement MND qui cherche à se débarrasser de la mauvaise image de LST suite à la cata industrielle (je pense qu'on peut dire ça comme ça) de ses derniers appareils. D'autant plus que MND a une bonne image de leader, notamment dans la sécurisation en montagne.

Ce qui me surprend davantage, c'est que je ne comprends pas bien la raison d'être de cette "alliance-fusion". Bartholet France est avant tout un relais de Bartholet en France afin de faire de la gestion de projet et d'assurer le lien avec les homologues suisses. Toute la conception est faite au siège de Bartholet (sauf si ça a changé mais ça me surprendrait). Cette alliance n'est donc que commerciale, afin de mutualiste les carnets d'adresse (sûrement bien garni pour MND étant donné sa position sur certains marchés industriels de montagne) ?
La maison-mère Bartholet n'a rien trouvé à redire, avec les déboires de LST ? Ce serait intéressant de vraiment en savoir plus, au-delà de la comm' officielle bien huilée.
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#84 L'utilisateur est hors-ligne   jfd_ 

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Posté 10 février 2020 - 23:56

De quelle nationalité est l'actionnaire principal de Bartholet depuis quelque temps? Chinoise.

Qui est-ce qui s'est vanté d'avoir décroché des marchés à hauteur de ~+/- 140M€ d'installations à produire pour la Chine. LST/MND

Qui est dans de grandes difficultés de conception sur les TSD? Et a du employer un 'partenariat' avec Batholet déjà cité pour construire un TSD cette année? LST/MND

Quel est l'état de santé général du groupe MND? Euh, groupe grevé par une endettement largement au delà des règles usuelles. Ceci en raison principalement du fait que la croissance exponentielle du groupe ces dernières années a grandement été bâtie sur de l'endettement boursier. L'arrivée de Cheyne Capital a un peu redressé la barre mais...

Le cours de bourse de l'action MND est en baisse constante depuis le départ (si l'on met la tentative de bricolage/redressement au moment l'inauguration du TSD des Envers en 02/2017 qui a permis de faire mieux voir le groupe en bourse durant un peu plus d'un an) pour maintenant atteindre environ 0,25€ (introduction à ~6.8€). L'action a encore perdu de l'ordre de 25% entre le 20/01 et le 03/02...Image IPB



Les résultats audités sur le groupe n'apparaissent actuellement pas très rassurants à tout le moins. Je recopie ici l'extrait conclusif de la publication de Zone Bourse en date du 30/12/2019 su MND.

Citation

Dans un exercice particulièrement atypique, marqué par une situation de difficulté financière pour le groupe et par son aggravation en fin d'exercice1 qui a conduit à une recapitalisation majeure au cours de l'été, les comptes annuels 2018/2019 du groupe sont en nette dégradation, principalement du fait :

  • du fort recul du chiffre d'affaires, tel qu'évoqué ci-avant, et de la marge brute sur l'exercice ;
  • des coûts associés à la restructuration capitalistique et financière qui a été opérée au cours de l'été 2019, qui ont été majoritairement provisionnés dans les comptes au 30 juin 2019 ;
  • des restructurations opérationnelles engagées afin de finaliser notamment la rationalisation des sites industriels et commerciaux étrangers pour améliorer sa performance financière de façon durable.
L'ensemble de ces opérations a notamment amené le groupe à constater ou provisionner :

  • 11,4 M€ de dépréciations de stocks et provisions sur créances clients (contre 5,7 M€ non auditées communiquées le 11 octobre 2019 compte tenu du reclassement de provisions entre le résultat opérationnel et le résultat opérationnel courant) ;
  • 9,6 M€ d'autres produits et charges opérationnels (contre 18,7 M€ non audités communiqués le 11 octobre 2019 compte tenu du reclassement de provisions entre le résultat opérationnel et le résultat opérationnel courant) ;
  • 1,6 M€ de pertes de changes (2,0 M€ non auditées communiquées le 11 octobre 2019 compte tenu de reprise de gains de change) ;
  • 7,8 M€ de reprise d'impôts différés actifs (3,0 M€ non audité communiqué le 11 octobre 2019 du fait de la comptabilisation de la totalité des impôts différés actifs liés aux déficits activés sur l'ensemble du périmètre).
Au final, l'impact cash potentiel maximum de ces éléments exceptionnels comptabilisés en 2018/2019 est estimé à 5,4 M€ sur l'exercice en cours (2019/2020).

En conséquence, le résultat opérationnel courant (ROC) audité s'est élevé à -42,6 M€ en 2018/2019, contre un montant non audité de -33,8 M€ communiqué le 11 octobre. Cet écart de -8,8 M€ est principalement lié à :

  • l'application de la norme IFRS 15 (reconnaissance du revenu des contrats avec les clients) sur certains projets à l'avancement compensée par une baisse des charges sur ces mêmes projets, soit un impact net de -1,2 M€ par rapport au résultat opérationnel courant non audité communiqué le 11 octobre 2019 ;
  • le reclassement des provisions de stocks et sur créances clients entre le résultat opérationnel et le résultat opérationnel courant soit un impact net de -6,2 M€ par rapport au résultat opérationnel courant non audité communiqué le 11 octobre 2019 ;
  • la comptabilisation de 1,2 M€ de charges externes additionnelles.
Par pôles, le pôle "Enneigement & Remontées mécaniques" a réalisé un ROC de -36,1 M€ en 2018/2019 et le pôle "Sécurité & Loisirs" un ROC de -6,5 M€

Le résultat net part du groupe audité ressort à -64,8 M€ à l'issue de l'exercice 2018/2019.



Dans les tableaux, on peut noter, un vrai effondrement du CA généré par l'activité RMs et enneigement. Mais est-ce étonnant malheureusement?

Bref, à mes yeux, la logique à moyen/long serait que Bartholet absorbe tout cela. La fusion des équipes entre les deux marques et les locaux n'est très probablement que la toute première petite étape. Localement et à courte vue déjà , Batholet récupère surtout de jolis locaux. Et en sus, cela permettra à leurs actionnaires asiatiques d'avoir en portefeuille un constructeur de RMs qui des marchés en carnet de pouvoir revendiquer des RMs chinoises en sus (possible que cette conséquence soit un objectif? Je ne sais pas).

Ce message a été modifié par jfd_ - 11 février 2020 - 00:03 .

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#85 L'utilisateur est hors-ligne   Cookie 

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Posté 11 février 2020 - 20:01

Article de "Eco Media" : Article

Citation

Remontées mécaniques : MND s’allie au constructeur suisse Bartholet

Publié par Patricia REY | 4 Fév 2020

Remontées mécaniques : MND s’allie au constructeur suisse Bartholet
Les deux constructeurs unissent leurs savoir-faire et leurs technologies pour renforcer leur position d’acteur mondial du transport par câble.

(mise à jour le 5 février). Après deux années de collaboration fructueuses, le français MND et le suisse Bartholet annoncent, ce mardi 4 février, la signature d’une alliance stratégique et industrielle pour conforter leur position sur le marché mondial du transport par câble. Avec l’ambition affichée de créer des synergies commerciales, R&D et opérationnelles, et de fusionner leurs catalogues de produits et leurs technologies, pour être capable demain de proposer une offre de solutions complète de télécabines et télésièges fixes ou débrayables, tramways aériens, funiculaires, ascenseurs inclinés et tapis roulants adaptés aux spécificités de chaque pays. Et ce, sur un marché mondial du transport par câble, pour le moins “porteur“, estimé à plus d’1,5 milliard d’euros en 2016 et déjà évalué à 3,6 milliards d’ici à 2024, dont plus d’un tiers dédié au transport des personnes en milieu urbain (source Cabinet d’étude new-yorkais Persistence Market Research).

À eux deux, MND et Bartholet ont réalisé plus de 1 000 installations de transport par câble aux quatre coins de la planète, parmi lesquelles des appareils téléportés débrayables comme on peut en voir aux 2 Alpes et à Brest mais aussi à Narvik (Norvège), Gstaadt, Flumsberg, Lenzerheide (Suisse), Prato Nevoso (Italie) ou encore dans le centre-ville de Moscou (Russie).
Dernière réalisation commune, la construction du télésiège débrayable 6 places des Cases à Avoriaz, appareil de dernière génération commandé par la Serma, Société d’exploitation des remontées mécaniques de Morzine Avoriaz, et inauguré le 31 janvier.Photo DR

À compter de février, les équipes de Bartholet France (auparavant basée à Gières en Isère) intègreront le site et siège de MND à Saint-Hélène-du-Lac en Savoie. Dans la foulée, Nicolas Chapuis, jusqu’alors directeur général de la filiale française remontées mécaniques de Bartholet mais aussi de LST (filiale de MND) depuis mai 2018, est nommé directeur du pôle transport par câble du groupe MND et rejoint le conseil d’administration des deux groupes.

Par Patricia Rey

Pour rappel, MND Group (Montagne Neige et Développement), dirigé par Xavier Gallot-Lavallée, réalise un chiffre d’affaires 2018-2019 de 57,3 millions d’euros et emploie 350 salariés sur ses trois sites de production à Sainte-Hélène-du-Lac. MND, qui compte 3 000 clients dans 49 pays, est coté sur le marché Euronext Growth Paris. http://mnd-group.com
À propos de Bartholet (Bartholet Maschinenbau AG, ex-BMF) : ce groupe industriel, créé à Flums en Suisse en 1962 par Anton Bartholet, a été vendu au fonds d’investissement européen Argos Soditic en 2011, puis cédé au fonds sino-germanique Cedar Lake en novembre 2017. Il est spécialisé dans le transport par câble, les remontées mécaniques, l’équipements de parc d’attractions, l’ingénierie mécanique et les systèmes d’éclairage. Avec 450 collaborateurs et un outil industriel à la pointe, Bartholet (chiffre d’affaires non communiqué), dirigé par Roland Bartholet, est un groupe mondialement connu, qui possède plusieurs filiales en Allemagne, en France et au Japon. http://www.bartholet.swiss



Communiqué sur le site de Bartholet : (Article En allemand)

Ce message a été modifié par Cookie - 11 février 2020 - 21:07 .

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#86 L'utilisateur est hors-ligne   Clément05 

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Posté 15 juin 2020 - 10:05

MND obtient un marché à la Réunion : https://www.zinfos97...ne_a156104.html

Citation

St-Denis: MND obtient le marché pour le futur téléphérique de La Montagne

Le futur téléphérique de La Montagne/Bellepierre prend forme. La Cinor a annoncé que le marché pour la construction de son second téléphérique urbain après celui Bois-de-Nèfles/Chaudron a été attribué à MND, mandataire du groupement Payenke à travers sa filiale LST. Le marché a été notifié le 28 mai dernier au constructeur français. L'intercommunalité du Beau Pays espère une ouverture de cette ligne en 2023.


Présent à l’international au sein de 49 pays, MND est un spécialiste en la matière, habitué à fabriquer, installer et maintenir des systèmes de transport par câble comme à Brest, Moscou ou encore Istanbul. Au sein du groupement Payenke (Paille-En-Queue), LST fédère cinq entreprises complémentaires Bartholet, Sogea Océan Indien-Vinci, SBTPC-Vinci, T&T et Suez Consulting, dont quatre basées à La Réunion.

À charge pour le groupement de s'atteler à la construction de ce second téléphérique dans le chef-lieu, d'une longueur de 1,3 km et qui reliera les quartiers de La Montagne à Bellepierre. L’entreprise locale TTS interviendra notamment sur la partie maintenance en qualité de sous-traitant du groupement. Un parking-relais de 304 places à la Vigie avec pôle d’échanges multimodal sera également construit. Deux cabines, d'une capacité de 50 personnes chacune, emprunteront ce tracé qui devrait attirer 3 000 voyageurs par jour et 7,5 millions de voyageurs selon les estimations de la Cinor. Cette dernière a engagé plus de 39,8 millions d'euros pour la réalisation de cet ouvrage afin de proposer une alternative au "tout auto" explique la collectivité.

"Le groupement Payenke s'est démarqué avantageusement de la concurrence dans le cadre de la consultation pour ce marché de performance en valorisant les atouts du territoire", explique Mikaël Nacivet, directeur des Projets de Téléphérique à la Cinor. "C'est une solution d’avenir qui correspond en outre à la configuration de notre agglomération pour en assurer son développement urbain pérenne et durable", argumente-t-il.

Interconnecté aux réseaux de transport publics, il permettra de sécuriser et de fluidifier la route de La Montagne empruntée quotidiennement par un flux de plus de 12 000 véhicules.

Un mode de déplacement sûr, rapide et silencieux

"En dehors de ses qualités d’écomobilité et de franchissement d’obstacles, ce mode de déplacement sûr, rapide, silencieux et accessible à tous, réduira les temps de parcours grâce à une alternative pérenne et performante à la route départementale D41", explique pour sa part Daniel Lacas, le DGS de la Cinor.

"De même, il facilitera la mobilité des 13 000 habitants du quartier de La Montagne, tout en offrant au secteur de nouvelles opportunités de développement urbain, économique et touristique. La ligne aura en effet une orientation touristique marquée et les usagers pourront profiter d’une vue incomparable sur la baie de Saint-Denis", complète ce dernier.

Enfin, le transport par câble, "avec un coût d’infrastructure nettement inférieur à celui des autres modes de transports collectifs, présente également l’avantage de consommer peu d’énergie".

L'ouverture d'un second chantier de construction de téléphérique, après celui du tracé Chaudron/Moufia-Bois de Nèfles, la Cinor souhaite s'afficher à terme comme "le premier réseau de France du transport par câble à l'horizon 2023", espère-t-elle.

Reprise de mes photos et contenus interdite sans autorisation au préalable.
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#87 L'utilisateur est hors-ligne   Bas 

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Posté 15 juin 2020 - 22:20

En fait , c'est Bartholet qui le construit.
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#88 L'utilisateur est hors-ligne   Rodo_Af 

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Posté 16 juin 2020 - 06:16

Voir le messageBas, le 15 juin 2020 - 22:20 , dit :

En fait , c'est Bartholet qui le construit.


Bien sûr. Mais comme on le comprend avec l'article c'est MND qui le vend. ahahaah
Très bonne nouvelle en tout cas.

:)
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#89 L'utilisateur est hors-ligne   jfd_ 

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Posté 16 juin 2020 - 09:05

Ce qui est à pisser de rire, c'est que le TPH de Brest est attribué à LST Image IPB. Boh, en même temps, vu sa fiabilité, ce n'est p'têt pas si bête en prenant une vision à moyen/long terme de point de vue de l'actuel vrai patron de tout cela.
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#90 L'utilisateur est hors-ligne   Guigui74 

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Posté 26 juin 2020 - 19:49

Voir le messagemoi-même, le 25 juin 2020 - 19:33 , dit :

X.Gallot-Lavallée était à l'instant en plateau au JT sur France 3 AURA.

ICI à 11'20" après de la pub...
Instructif ;)
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#91 L'utilisateur est hors-ligne   Plantrey 

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Posté 25 août 2020 - 23:28

Bonsoir à tous,

Le groupe MND via sa filiale LST vient de remporter l'appel d'offres pour la reconstruction du téléphérique des Vallées à Huy (Belgique). Le téléphérique était hors service depuis l'accident d'hélicoptère de 2012 qui avait entrainer la rupture des câbles porteurs.

Lien vers le reportage sur l'ancien téléphérique : ici

Lien vers le communiqué de presse de MND : ici

Ce message a été modifié par Plantrey - 25 août 2020 - 23:29 .

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#92 L'utilisateur est hors-ligne   Plantrey 

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Posté 10 septembre 2020 - 21:48

Bonsoir à tous,

LST change de nom et devient MND Ropeways à partir d'aujourd'hui.
Ce changement de nom fait parti d'une réorganisation du groupe MND : "MND dévoile son plan stratégique « Succeed Together 2024 » porté par sa marque unique". On peut voir cette nouvelle organisation sur le site internet du groupe : www.mnd.com et grâce au communiqué de presse d'aujourd'hui : ici

On comprend mieux pourquoi depuis quelques semaines le nom LST n'était plus mentionné et l'accent était porté sur le groupe MND (cf commniqué de presse sur le téléphérique de la Réunion ou celui de Huy...).

Par ailleurs, on voit bien l'alliance entre LST devenu MND Ropeways et Bartholet : dans le référence book du groupe il y a beaucoup d'appareils BMF! (lien vers le référence book : ici)

Ce message a été modifié par Plantrey - 10 septembre 2020 - 22:10 .

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#93 L'utilisateur est hors-ligne   Rodo_Af 

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Posté 11 septembre 2020 - 09:08

Merci pour l'info. On s'en doutait fortement au vue de toute les dernières publications qui ne mentionnaient plus du tout le nom de LST.

:)
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#94 L'utilisateur est hors-ligne   valcelouis 

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Posté 11 septembre 2020 - 14:09

Dans leur référence book, ils s'approprient quand même des installations construites à 100% par Batholet (même sous le nom BMF à l'époque) jusqu'à 2011... en indiquant "en partenariat avec Bartholet.
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#95 L'utilisateur est hors-ligne   Plantrey 

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Posté 11 septembre 2020 - 14:42

Il est à noter que MND Ropeways est aussi la marque « fusion » entre LST et Bartholet FRANCE (donc le directeur général était et est commun). Pour rappel, les équipes Bartholet France ont intégré le groupe MND début 2020 suit aux accords commerciaux entre les deux groupes.
En ce sens il n’apparaît pas anormal que les références de Bartholet France apparaissent dans le catalogue de MND.
N’oublions pas que la construction d’un appareil n’est pas composé uniquement des éléments (sièges, gare, pylônes qui eux sont du Bartholet) mais aussi entre autres de tous les calculs de dimensionnement de la ligne qui eux ont été faits il me semble par Bartholet FRANCE puis plus récemment par LST.

Ce message a été modifié par Guigui74 - 11 septembre 2020 - 19:05 .

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#96 L'utilisateur est hors-ligne   valcelouis 

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Posté 11 septembre 2020 - 15:24

D'accord, donc le titre du sujet est un peu trompeur dans le sens où MND Ropeways n'est pas vraiment et purement "ex-LST", c'est une fusion de deux boîtes.

Donc en France si je comprend bien aujourd'hui on aura des appareils "MND Ropeways" (ex-Bartholet France & LST), par contre pour le reste du monde comment ça se passe ?? Bartholet existe-t-il toujours par exemple en Suisse pour construire ses appareils sous son nom ?
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#97 Invité_remontees_*

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Posté 11 septembre 2020 - 16:29

Sachant que Bartholet Suisse construit tout et repasse à chaque fois sur ce que fait Bartholet France (qui n'est qu'un "revendeur" effectuant la partie "gestion de projet"), je ne vois pas pourquoi la structure Bartholet Suisse changerait. À vrai dire, j'ai même du mal à comprendre la structure de Bartholet France et par quel moyen ils ont pu fusionner avec MND Ropeways sans que ça ne fasse hurler Bartholet Suisse, notamment après l'histoire des mails supprimés+le TSD6 Envers (pour ne citer que ça). L'appât du carnet d'adresses apparemment bien rempli et la puissance commerciale de MND ont fait le reste ?
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#98 L'utilisateur est hors-ligne   Anton aus Tyrol 

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Posté 11 septembre 2020 - 17:04

Sauf erreur BMF est passé sous giron chinois (je ne sais plus s'il sont majoritaires ou minoritaires à présent), il faut donc voir qui est l'actionnaire majoritaire de BMF France. Est ce MND ou la maison mère en Suisse ? Ou parle t'on d'un simple partenariat commercial et industriel entre les 2 sociétés (ce que je suppose).
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#99 Invité_remontees_*

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Posté 11 septembre 2020 - 17:30

C'est Bartholet Suisse qui est passé sous actionnariat chinois ? (histoire d'être sûrs de bien se comprendre)

Disons que pour un partenariat commercial entre MND et Bartholet France, on a quand même plus atteint la fusion sauf erreur de ma part. Là où je ne pige pas, c'est que de toute manière, toute l'ingénierie est faite par Bartholet Suisse (aux pré-calculs préliminaires de ligne qui sont de toute façon refaits par le maître d'ouvrage), non ?
Je serais bien curieux de savoir ce que fait réellement MND au niveau ingénierie d'ailleurs, sachant que pour les téléskis, c'était déjà de la revente de mémoire. Peut-être qu'ils font "eux-mêmes" les TSF (mais alors que vendra MND Ropeways : du TSF Bartholet Suisse ou les leurs ?) ?
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#100 L'utilisateur est hors-ligne   Plantrey 

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Posté 11 septembre 2020 - 18:01

Attention, il faut bien distinguer le groupe Bartholet (basé en Suisse) et Bartholet France qui était un "revendeur" de la marque Bartholet (étude de ligne, gestion de projet,...). Dans le cadre de l'accord commercial entre MND et le groupe Bartholet, il a été décidé que c'est MND qui revendrait du Bartholet en France. Le groupe MND et Bartholet se sont découpés le marché mondial. Notamment, en France c'est MND Ropeways qui répond aux appels d'offres et si ils sont remportés, MND Ropeways installe du Bartholet pour les appareils débrayables (LST n'ayant pas de gamme débrayable à proprement parlé...à part les envers!). C'est aussi MND qui fait les études de lignes et gère les projets en France. La filiale France de Bartholet (Bartholet France) n'existe plus. D'où mon utilisation du terme "fusion" puisque les équipes de Bartholet France ont rejoint le siège du groupe MND.

Mais qui dit accord, dit que c'est une opprotunité pour les deux groupes. Et donc pour le groupe Bartholet aussi puisque MND via MND Ropeways, MND Safety, MND Leisure et MND Snow a un large carnet clients et une industrie orientée vers le mécano-soudage...ce dont dispose moins le groupe Bartholet.

Ce message a été modifié par Plantrey - 11 septembre 2020 - 18:18 .

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