- 37 Pages
- « Première
- ←
- 30
- 31
- 32
- 33
- 34
- →
- Dernière »
[Actu] Poma Site web, presse, média...
#621
Posté 01 octobre 2020 - 22:57
#623
Posté 21 octobre 2020 - 10:22
#624
Posté 21 octobre 2020 - 11:20
Clément05, le 21 octobre 2020 - 10:22 , dit :
Dans la rubrique Media Center, on peut notamment accéder à un dossier zip avec de nombreux logos différents et disposant d'une définition importante : https://www.poma.net/media-center/
(en bas de la page dans kit media)
#625
Posté 05 novembre 2020 - 22:50
https://www.lepoint....-2399536_28.php
Citation
Le groupe français, leader mondial du téléphérique qui fabrique tout en Isère, vient de décrocher un marché en Mongolie. Les portes de l'Asie s'ouvrent.
En pleine crise économique, voilà un contrat qui tombe à pic. Le groupe français Poma, leader mondial du transport aérien par câble, vient de décrocher l'installation d'un téléphérique dans la ville d'Oulan-Bator. Le contrat est estimé entre 30 et 50 millions d'euros. De quoi rassurer ce fleuron français au moment où les incertitudes rongent le secteur touristique et où les investissements ralentissent en raison de l'endettement des États.
À Oulan-Bator, ville de 1,5 million d'habitants à la croissance démographique exponentielle avec la sédentarisation des populations nomades venues des steppes, il s'agit de relier les « ger districts » du Nord, ou « quartiers des yourtes », au centre-ville. Pour cela, Poma, associé à l'entreprise d'ingénierie française Egis, va déployer une ligne de 6,1 kilomètres, desservant trois stations avec 122 cabines, avec l'avantage d'un mode de transport électrique et écologique, rapide à installer et qui permet de survoler les obstacles du terrain.
Créé en 1947 par Jean Pomagalski, installateur de la première remontée mécanique de l'Alpe d'Huez, Poma est devenu une entreprise de taille intermédiaire (ETI) à 480 millions d'euros de chiffre d'affaires, et ce nouveau contrat tombe au bon moment. Alors que l'autrichien Doppelmayr, principal concurrent de Poma, annonce devoir licencier 190 personnes à la suite de la pandémie, cette opération vient consolider le français. « Elle va nous permettre de pérenniser notre industrie en France et de conserver nos 1300 emplois », se félicite Fabien Felli, membre du directoire de Poma, qui vient d'enregistrer une baisse de 30 % de ses activités en 2020. Et peut-être de rebondir. Si les investissements dans les stations de sports d'hiver sont en berne, ce mode de transport urbain a, en revanche, le vent en poupe.
Le contrat d'Oulan-Bator permet en effet à Poma d'entrer en Mongolie avec ce premier équipement qui pourrait en amener d'autres. À l'image de Medellin (Colombie), où le français, arrivé en 2004, vient de livrer sa sixième ligne de transport câblé. Elle lui permet aussi de mettre un pied en Asie, en Chine, au Vietnam et en Corée pour commencer, prête à développer ce type de métros aériens sur les sites de loisirs comme dans ses mégapoles, avec le soutien de la Banque asiatique de développement (BAD).
En attendant, c’est avec l’appui de l’État français, qui a accordé à la Mongolie, dans le cadre de sa politique d’aide au développement, un prêt aux conditions financières avantageuses, que ce contrat a pu déboucher après sept années de négociations. Un prêt conditionné au « made in France » garanti par l’entreprise iséroise. « Nous assurons 90 % de fabrication française », explique Fabien Felli, « les cabines sont fabriquées sur notre site de Verin-Tullins (Isère), nos gares dans nos usines de Gilly-sur-Isère, les équipements électriques à Passy (Haute-Savoie), l’ingénierie et la R&D sont assurées à Voreppe (Isère), et nous faisons en sorte que nos sous-traitants soient français, comme ArcelorMittal, qui nous fournit les câbles ».
#627
Posté 07 novembre 2020 - 21:34
Rodo_Af, le 06 novembre 2020 - 08:26 , dit :
Density in the region where they intend to build this cable car is extremely low. It will be one of the useless projects, there is zero need in this cable car, first of all, extreme lack of topographic challenge. second of all, low density.
Building cable cars "just to have one per city" has become a new challenge for some countries. They just want cable cars no matter if they really need it or not.
https://www.google.c...8!4d106.9057439
#628
Posté 07 novembre 2020 - 21:54
La conclusion simpliste que tout le monde veut construire son "câble" sans en avoir l'utilité : bah c'est ton opinion. Sources ?
Ce n'est pas une carte Google Map qui va vouloir dire grand chose.
Le transport dans les villes est un problème partout. Le câble offre une solution, parmi d'autres. Pourquoi penser qu'il n'est pas utile ?
Ou alors créer une attraction touristique avec un câble : quel est le problème ? Sinon que cela crée une vie économique.
Bref. Je me réjouis de voir Oulan-Bator s'équiper et cela sera une bonne occasion d'y retourner.
#629
Posté 22 novembre 2020 - 19:49
Article de Thalès
#630
Posté 09 décembre 2020 - 12:24
Petite vidéo commerciale de Poma sur ses installations en milieu urbain :
Ce message a été modifié par Bovinant - 09 décembre 2020 - 12:24 .
#631
Posté 25 février 2021 - 23:42
Citation
La mise en place de 274 cabines téléphériques dans la capitale a été officialisée hier en conseil des ministres. La mise en oeuvre de ce projet de transport par câble, autrement appelé téléphérique serait effective d’ici 2023, avant la tenue des jeux des îles qui se dérouleront dans le pays, annonce le gouvernement.
Après le tramway, les flyovers, voici donc le téléphérique. Ce projet a été déjà annoncé par Andry Rajoelina lors de son discours de fin d’année, où il a cité les perspectives et défis à lancer pour 2021. Il s’agit, affirme-t-il, d’un autre moyen de lutter contre les embouteillages qui paralysent la capitale. « Nous devons réformer et moderniser le transport à Antananarivo », a-t-il soutenu lors de son discours.
Deux principaux lignes de téléphériques seront ainsi établis dans la Commune urbaine d’Antananarivo. Le premier, pour relier Anosy-Ambatobe et le deuxième pour relier Anosy-Ambanidia. Dans le concret, 274 cabines téléphériques, d’une capacité de 10 à 12 personnes chacune, circuleront sur ces lignes qui auront 8 stations. 28.000 à 38.000 passagers par jour pourront utiliser ce transport. La ligne dite rouge , sur un trajet de 2,60 km partant d’Ambanidia, devrait mettre 10 minutes pour arriver à Anosy. La ligne dite jaune, sur un trajet de 9, 21 km, partant d’Anosy, devrait mettre une trentaine de minutes pour atteindre Ambatobe.
Les travaux seront confiés aux entreprises Poma et Colas, deux groupes français, respectivement leader dans le domaine du transport par câble et des gros travaux de construction, précise le rapport du conseil des ministres. La livraison du téléphérique est prévu dans deux ans. Le coût et le financement du projet n’a toutefois pas été indiqué dans le communiqué du conseil des ministres.
Ce projet ne manquera certainement pas d’alimenter les débats et les controverses pour les prochains jours, d’autant plus les études de pré-faisabilité ou d’impact du projet demeurent inconnues. Dans tous les cas, les quartiers desservis par le téléphérique devront se préparer à l’installation des pylônes nécessaires pour le passage des cabines sur le câble. Il reste que pour l’instant le téléphérique reste le transport en commun le moins polluant de tous les transports existants.
#632
Posté 17 avril 2021 - 13:31
Lien : https://www.lepoint....VuPaW3t7c1ZCqhg
Citation
Des difficultés en amont qui fragilisent aussi leurs partenaires en aval. Installé au pied des Alpes, le français Poma, l'un des leaders mondiaux des remontées mécaniques, subit de plein fouet la crise du Covid-19 et la fermeture des stations de ski, dont les investissements le font vivre. Son plus grand site de production, à Gilly-sur-Isère (Savoie), tourne toujours, mais au ralenti. L'an dernier, Poma a perdu 30 % de son chiffre d'affaires. Et craint que la situation ne soit partie pour durer.
Projets en pause
« La fermeture des remontées mécaniques a été un coup de poignard dans le dos pour toute la filière de la montagne, tout a été déstabilisé », confirme Jean Souchal, président du directoire de Poma. « Avec vingt et un mois sans rentrées d'argent jusqu'à la reprise espérée en décembre 2021 [la saison 2019-2020 avait été prématurément interrompue mi-mars, au moment du confinement, NDLR], nos clients de montagne sont traumatisés. »
Conséquence : les stations n'investissent pas. « Le ski, ce sont des projets courts, qui se font en un ou deux ans », rappelle Jean Souchal. Certaines stations ont reporté leurs projets, d'autres les ont mis sur pause. Quand les finances sont mal en point, remplacer un téléski ou un télésiège peut bien attendre un peu. « Il y a encore des projets à venir, notamment avec de gros opérateurs, mais il y a un vrai manque de projets en amont », constate le président du directoire. L'activité de maintenance en pâtit elle aussi : les remontées mécaniques n'ayant pas tourné, elles se sont peu usées.
« Oublié des aides du secteur de la montagne », Poma a toutefois pu compter sur le dispositif de chômage partiel et un prêt garanti par l'État. « Une véritable bouffée d'oxygène », salue Jean Souchal, qui craint surtout de voir « disparaître un savoir-faire développé depuis plus de quatre-vingts ans ». « Nos métiers, on ne les apprend pas à l'école. »
Des télécabines en ville
Depuis l'invention du premier téléski à l'Alpe d'Huez par Jean Pomagalski en 1936, puis la création de la société Poma en 1947, la neige a toujours été son cœur de métier. Mais, 85 ans plus tard, elle ne représente plus que 30 % de son activité, une chance qui la rend moins fragile face à la crise qui ébranle les stations de ski. Cette diversification, Poma l'a entamée dans les années 1990, après deux hivers sans or blanc. « 1993 et 1994 ont été pour nous des années compliquées, se souvient Jean Souchal. Le marché français a été divisé par trois. C'est à ce moment-là qu'on a revu notre modèle. »
Depuis, Poma a déployé ses solutions de transport par câble sur des sites touristiques, dans des parcs de loisirs, des usines… Et a même participé à des projets emblématiques : les capsules de la grande roue de Londres – le London Eye –, c'est lui. Depuis le début des années 2000, c'est surtout vers le transport urbain que lorgne le français. Le premier projet d'envergure voit le jour en 2003, à Medellín, en Colombie, qui le missionne pour installer plusieurs télécabines sur les reliefs escarpés de la ville. Le câble ne sert plus seulement à remonter des skieurs en haut des pistes, il devient un transport en commun complémentaire au métro et au tram.
Depuis, les villes s'y convertissent. « L'urbain a un gros avenir », assure Jean Souchal. Poma construit en ce moment Téléo, le premier téléphérique urbain de Toulouse qui doit relier d'ici à la fin 2021 l'université Paul-Sabatier à l'Oncopole, sur l'ancien site d'AZF. Et vient de décrocher le contrat du « métrocâble » de Grenoble, à quelques kilomètres de son siège installé à Voreppe. « Ce qu'on va y faire, c'est le meilleur exemple de l'utilité de ce moyen de transport en ville : on va traverser l'Isère, un chemin de fer et l'autoroute en reliant trois branches du tramway, souligne Jean Souchal. S'il avait fallu construire un tramway sur ce trajet et traverser tous ces obstacles, ça aurait coûté bien trop cher. »
Nouvel équilibre
Au-delà du prix et de sa capacité à enjamber les obstacles, le transport par câble a d'autres atouts pour séduire les villes : il est plutôt silencieux, propre et techniquement robuste, affirme le constructeur. « À New York, quand l'ouragan Irene est passé, notre téléphérique de Roosevelt Island n'a été arrêté que quelques heures. Pour redémarrer le métro, ça a pris des jours, voire des semaines pour certaines lignes. » Et, pour Poma, ces projets qui se font sur le long terme, contrairement à ceux des stations de ski, permettent d'amortir les effets de la crise.
Reste à convaincre les habitants, pas toujours enchantés à l'idée de voir des pylônes débarquer au coin de leur rue et des cabines passer au-dessus de leur jardin. À Lyon, un projet de la métropole rencontre un fort mécontentement à Sainte-Foy-lès-Lyon, l'une des communes que le téléphérique doit traverser. « Ça n'a pas plus d'impact que les gros travaux nécessaires pour un tramway ou un métro », relativise Jean Souchal. Et le téléphérique urbain garde un dernier atout dans sa poche : le panorama inédit offert aux voyageurs quand les cabines fendront le ciel des villes. « Plus qu'un transport, c'est aussi un voyage ! »
Avec cette diversification, combinée à son savoir-faire reconnu dans le monde entier – « même les Chinois viennent nous chercher pour construire leurs télécabines » –, Poma a les reins solides pour traverser la crise sans trop de turbulences. En 2020, l'entreprise a renouvelé l'expérience du London Eye en fournissant les cabines de la grande roue de Dubai, qui sera la plus haute du monde. Et s'est même mise à construire des éoliennes et de petits trains utilisés dans les aéroports. « On ne dépend pas de la Bourse : l'actionnaire nous fait confiance pour une gestion à long terme. C'est une chance qui nous permet de chercher sans cesse à innover. »
Poma « était armé pour faire face à cette crise », assure son président du directoire. D'un « naturel optimiste », Jean Souchal en est persuadé : l'équilibre du secteur va se recréer. Et, si le transport par câble regarde ailleurs pour se développer, il n'est pas près de faire une croix sur la montagne, où il y a encore fort à faire. Poma croit beaucoup aux projets d'ascenseurs valléens qui permettront de relier les stations aux vallées en évitant la pollution des routes. Même pour le ski, c'est loin d'être terminé, prédit Jean Souchal. « Monter en haut des pistes à peau de phoque tout l'hiver, c'était bien sympa cette année faute de mieux, mais les skieurs seront bien heureux de retrouver les remontées mécaniques l'an prochain. »
#634
Posté 27 mai 2021 - 18:58
Building slow cable cars alongside streets? Taking a lot of space from other traffic users, buses, trams, etc.
Cable cars are good for direct connections over obstacles and not as a slow alternative to trams or buses.
ground level stations need a lot of fenced space on the ground and are the worst "solution" also then the line needs 2 to 3 compression pylons to gain height which also is very ugly and they generate noise, more compression pylons more noise.
Using in the presentation those in-house-made ugly pylons is not the best way to represent urban cable cars.
A prominent manufacturer which designed absolutely stunningly beautiful Grenoble Metrocable project should really try better to show urban cable cars in such video presentations.
https://www.youtube....h?v=eL36JNB6FrA
Ce message a été modifié par Siachoquero - 27 mai 2021 - 19:01 .
#635
Posté 24 juillet 2021 - 18:01
Logiquement le CA et les investissements sont en baisse mais le groupe n'a pas licencié (au contraire même) malgré le contexte économique.
#636
Posté 26 juillet 2021 - 11:51
#637
Posté 26 juillet 2021 - 23:42
#639
Posté 31 juillet 2021 - 07:02
#640
Posté 31 juillet 2021 - 11:18
Bas, le 31 juillet 2021 - 07:02 , dit :
Exact. La question étant qui est "Ils" ?
Certainement le client, donc "l'entreprise-le groupement" qui achète ce produit. Il est probable que l'option Symphony soit un coût supplémentaire et que ce client décide de ne pas le mettre.
- 37 Pages
- « Première
- ←
- 30
- 31
- 32
- 33
- 34
- →
- Dernière »