TCD6 de la Perdrix (†) - Super-Besse / Sancy (Puy-de-Dôme) Weber - 1974 > 2008
#41
Posté 14 septembre 2008 - 20:46
Elle étaient fabriqué par creissel
#42
Posté 14 septembre 2008 - 20:58
dj_jean_jean, le 14 09 2008, 20:46, dit :
Elle étaient fabriqué par creissel
Je peux me tromper mais j'ai quand même de sérieux doutes DJJJ ... DCSA a certes plusieurs casquettes : BET, archi, maîtrise d'oeuvre, mais cela reste toujours au stade de la conception... Qu'il les ait pensé je veux bien, mais je vois mal DCSA à la tête d'une hypothétique et mystérieuse usine de fabrication de cabines.... De plus que serait devenue cette entreprise depuis leur production il y a déjà bien longtemps?
Ce message a été modifié par lolo42 - 14 septembre 2008 - 20:59 .
www.remontees-mecaniques.net
#43
Posté 15 septembre 2008 - 00:40
#44
Posté 15 septembre 2008 - 08:43
mécaniquement, ce n'est pas DCSA qui a fabriqué le funitel, mais c'est DCSA (entre autre) qui l'a conçu.
il y aune différence entre la conception et la fabrication.
#45
Posté 20 octobre 2008 - 22:48
J'ai pris connaissance avec grand interêt de ce reportage car depuis ma petite enfance jusqu'au début des années 2000, j'ai fréquenté tous les hivers la station de Puy-Saint-Vincent dans les Hautes Alpes. Pour votre information, Puy-saint-Vincent à possèdé jusqu'à l'été 2000 exactement le même model de télécabine (Montaz-Weber) sauf que c'était des cabines 4 places. C'est la toute première remontée mécanique que j'ai prise (hormis le funiculaire au Havre). J'admirai cette mécanique qui me passionnait. J'ai du emprunter le télécabine de la Bergerie plusieurs centaines de fois. Je me souviens égalemnt du bruit lorsque les cabines rentraient en gare !!!
Malheureusement comme le constructeur ne fabriquait plus de télécabine, la station à décidé de la remplacé en 2000 par un télésiège débrayable 4 places (Dopelmayer)...
Voici quelques photos du Télécabine de la Bergerie (1600m - 2100m)...Il y'avait des cabines rouges, jaunes et orange, mais vers les dernières années il y'avait de moins en moins de cabines en exploitations. Certaines étaient sacrifiées pour servir de pièces détachées.
Je possède une K7 video enregistrée avec la caméra familliale à l'hiver 1993...
Pour information, en 2000 une partie des pièces détaché ont été revendus à Super Besse pour que la durée de vie du télécabine de la perdrix soit prolongée
Ce message a été modifié par Geo - 20 octobre 2008 - 22:55 .
#47
Posté 06 novembre 2008 - 18:29
http://www.ina.fr/archivespourtous/index.p...otal_notices=27
#48
Posté 06 novembre 2008 - 20:02
nicolas, le 6 11 2008, 17:29, dit :
http://www.ina.fr/archivespourtous/index.p...otal_notices=27
Que du bonheur, merci mille fois pour cette pépite
#49
Posté 14 janvier 2009 - 20:45
Est ce que vous connaissez le débit de la tcd2 Perdrix?
Je l'ai lu quelque part mais je n'arrive plus à retrouver où
#50
Posté 15 janvier 2009 - 18:17
#52
Posté 29 octobre 2011 - 14:37
banière
Super-Besse, une aventure d'un demi-siècle
"Par le ski, nous attirerons les étrangers". Jean-Baptiste Blot, 1909.
Les prémices des sports d'hivers eurent lieu en 1902 lorsque le prêtre Jean-Baptiste Blot, revenu d'un voyage en allemagne, recevra ses deux premières paire de skis et convertira les habitants de Besse-en-Chandesse à ce nouveau mode de déplacement.
Cependant, il faudra attendre la fin des années 50 pour concrétiser un projet de station de ski qui au coeur du cirque de la Biche, sur le versant sud du Sancy.
Après quelques péripéties, la nouvelle station fraichement baptisée "Super-Besse" sera inaugurée le 21 décembre 1961. Le domaine skiable s'articule alors autour d'une télécabine 2 places, dont la gare amont sera positionnée sous le puy de la Perdrix, et de 2 autres remontées-mécaniques (téléskis de la Perdrix et de la Biche).
Très vite, la station construisit de nouveaux équipements (2 télésièges, une dizaine de téléskis) et se dotera d'une liaison avec la station du Mont-Dore. Le succès fut rapidement au rendez-vous et l'antique télécabine laissera sa place en 1974 à une nouvelle télécabine 6 places.
1961 : la télécabine biplace de Mancini
La première ligne de la Perdrix est mise en service le 21 décembre 1961. Il s'agit d'une télécabine Câbles et Monorails - Mancini & Co, entreprise qui construisit la première télécabine à attache débrayable de France à Villard-de-Lans en 1951. Avec sa gare d'arrivée installée à 1800 m, à proximité du Puy de la Perdrix (1824m) elle est la colonne vertébrale du domaine.
Il s'agit d'un modèle construit sous licence Carlevaro & Savio. Les deux ingénieurs de Turin développèrent dès 1949 une pince pour appareils débrayables, dont la force de serrage (2,7 tonnes !) était procurée uniquement par un ressort, ce qui en fait le précurseur des pinces utilisées de nos jours par Leitner, Poma et Doppelmayr. Le système se distinguait aussi par le design novateur des cabines, en forme d'œufs, et par le lanceur équipé d'un chariot motorisé, procurant l'accélération au véhicule. Les cabines biplaces, au design ovoïde novateur, disposait d'un porte-skis arrière et d'une porte manuelle.
Télécabine de la Perdrix, 1ère génération
Cependant, le confort rustique et le faible débit conduiront à la remplacer rapidement par une nouvelle télécabine plus performante. Un appel d'offre commun avec la commune de la Bourboule (qui souhaitait remplacer son ancien funiculaire de Charlannes à l'arrêt depuis plusieurs années) et c'est la société Weber-Baudin Châteauneuf qui remporta le marché pour la construction de la TCD6 de la Perdrix en 1974 et du téléphérique bi-câble pulsé de Charlannes en 1975.
Avant...
...Après
Un début d'exploitation difficile
Durant les premiers hivers, la télécabine fut exploitée à sa vitesse maximale de 3,4m/s mais plusieurs problèmes apparurent (dont des problèmes de vibrations qui faisaient sauter les sécurités). Il s'est avéré que ces problèmes pouvaient être supprimés en faisant tourner l'installation en petite vitesse (2,5m/s) et en rajoutant des cabines pour conserver un bon débit. Ainsi, cette télécabine sera exploitée définitivement à 2,5m/s, la grande vitesse n'étant utilisée que pour le décyclage des cabines.
Très fiable, mais trop lent et trop sensible au vent
Malgré une excellente fiabilité, la faible vitesse devient un véritable handicap pendant la saison hivernale. De plus, le vent et le givre sont récurrents sur ce massif. La limite d'exploitation par vent de travers étant fixée à 15m/s, la télécabine n'ouvrait généralement qu'un bon tiers de l'hiver.
Pour palier à ces fermetures contraintes, de nouveaux axes secondaires sont créés avec la construction en 1989 du TSF4 de la Plaine des Moutons et du TKD de la Bergerie ou en 1998 avec le TSF4 Perce-Neige.
De plus, la maintenance commence à être compliquée et le démontage de la TCD4 Bergerie en 2000 (Puy-St-Vincent) sera la dernière occasion de récupérer des pièces détachées.
En 2003, un premier projet de remplacement est lancé et s'oriente vers une télécabine plus capacitaire avec pour objectif un remplacement pour la saison 2006/2007. En 2005, le projet évolue vers un funitel et il faudra attendre 2007 pour que cette solution soit définitivement validée. La télécabine sera définitivement stoppée le 29 mars 2008 pour laisser la place aux travaux du nouveau funitel qui entrera en service en décembre 2008.
30 mars 2008, déneigement pour le démontage et le début du terrassement
31 mars : dépose des cabines
19 avril : terrassement pour la nouvelle gare du funitel
II°) TECHNOLOGIE ET EXPLOITATION
1°) Les gares
La gare aval est la station motrice fixe de l'installation. Elle est située à l'étage supérieur du bâtiment regroupant la galerie marchande, les caisses et les bureaux de la SAEML Pavin-Sancy. Elle contiendra le garage principal prévu pour accueillir 70 cabines environ et un atelier de révision pouvant contenir jusqu'à 3 cabines.
La gare amont est la gare d'origine de la première télécabine 2 places. Y seront ajouté : le garage annexe (prévu pour accueillir 30 cabines environ) et une grosse « rallonge » en tôle dont le rôle est d'abriter du vent les cabines entrant en gare et permettre leur stabilisation avant le débrayage. Cette rallonge aura un impact visuel très critiqué durant les dernières années d'exploitation car elle est visible de très loin (par exemple d'Issoire à 30 Km de Super-Besse). C'est ici qu'est située la poulie retour-tension, la tension étant effectuée par contrepoids situés dans un puis sous la gare.
2°) Les pylônes
Il existe 2 types de pylônes présents sur la ligne : des pylônes tubulaires à base tripode et des pylônes en portique à base quadripode.
Les pylônes tubulaires à base tripode (P1 à P11) de couleur blanche, font de cette télécabine l'une des premières télécabines française non équipée de pylônes en treillis (cf la TCD6 Arriondaz de 1974 à Courchevel). Ils seront équipés en 1977 de potences de décâblage.
Les pylônes en portique à base quadripode (P12 à P17) ont été retenus car ils permettent un balancement important des cabines et donc de garantir une plus grande marge d'exploitation par rapport au vent. Il sont peints en noir afin de limiter les effets du givre très important à cette altitude dans le Massif du Sancy.
3°) Le trainage des véhicules
Le trainage des véhicules dans les gares s'effectue par le biais de tapis roulants sur lesquels le dessous de la cabine vient appuyer. Cela permet également de bien stabiliser la cabine pendant l'embarquement et le débarquement des usagers.
4°) Le cadencement et l'exploitation de l'installation
Plusieurs combinaisons existent pour l'espacement des cabines. Celui-ci peut-être changé à n'importe quel moment sans avoir besoin d'arrêter l'installation. Ce n'est que pendant les vacances scolaires d'hiver que la télécabine est utilisée à son maximum (espacement minimum). Le reste du temps, l'espacement peut-être augmenté. En été, le grand espacement utilisé entre 2 cabines (100m) permet d'utiliser uniquement les cabines rangées en gare aval. A noter que, hors exploitation, le contour de la gare aval contient 7 cabines stockées (4 côté descente et 3 côté montée) afin de pouvoir démarrer l'installation rapidement sans avoir à sortir des cabines du garage (pour une inspection de la ligne, par exemple).
Position des cabines en gare aval (espacement : 52m)
Position des cabines en gare amont
5°) Les pinces
Les pinces utilisées sont des pinces à serrage par crémaillère fabriquées par Girak. Le principe est simple : le débrayage est assuré en vissant ou dévissant la pince par le biais de crémaillères. Si la crémaillère est en-dessous de la pince, la pince se referme ; si la crémaillère est au-dessous de la pince, la pince s'ouvre ( c ).
Afin d'avoir toujours le même serrage sur le câble, dans chaque gare, juste après la zone de cadencement, une petite crémaillère est installée au-dessus du rail permettant la réinitialisation des pinces, c'est-à-dire que les pinces sont desserrées au maximum. Juste après, une tige située en-dessous du rail va faire tourner les vis serrant les pinces de 1/8e de tour.
Chaque pince (2 par cabines) est équipée de 2 poulies ( a ) sur laquelle la cabine va progresser sur le rail en gare. Cependant, ces poulies ne sont pas pivotables. Un deuxième rail va être utilisé pour le contour et pour le garage. Ce seront alors les 2 tiges avec une boule au bout ( b ) qui supporteront la cabine. Enfin, un crochet est présent entre les deux pinces (d). Il sert à accrocher les chaînes anti-retour présents dans le ralentisseur et les garages.
6) La gravité, un véritable moteur
La gravité est utilisée dans le contour, les lanceurs/ralentisseurs et dans le garage. Une chaîne anti-retour (ou ascenseur) est présent à la fin du ralentisseur, et est surtout utile lorsque la vitesse est à 2,5m/s (en GV, la cabine monte entièrement la rampe par sa vitesse). Elle se déclenche lors du débrayage d'une cabine et fonctionne ensuite pendant 8 secondes. Elle peut également être déclenchée manuellement. Chaque lanceur (gares aval et amonts) est également doté d'une chaine à vitesse variable, capable de faire accélérer la cabine en fonction de la vitesse choisie (un premier pas vers les lanceurs automatiques ?). Malheureusement, ils n'ont jamais été efficace durant les premiers essais de l'appareil et n'ont jamais été employés. L'accélération des cabines a donc été par gravité. Afin de permettre l'exploitation à 3,4 comme à 2,5m/s, la pente est calculée de manière à ce que les cabines arrivent en bas du lanceur à 2,9m/s. Enfin, au bout des lanceurs, un petit câble tournant à la vitesse du câble permet d'assurer l'embrayage des cabines.
7°) Les horaires
Vacances de noël : 9h15-16h30/16h45
Vacances de février : 9h15-17h00/17h15
Saison hivernale hors vacances : 9h30-16h45/17h00
Printemps/automne hors vacances : 13h45-17h15/17h30
Eté : 9h45-11h50/12h05 et 13h15-17h30/17h45
Caractéristiques
- Caractéristiques Administratives
TCD-Télécabine à attache Débrayable : Perdrix
Exploitant : SAEML Pavin-Sancy
Constructeur : Weber-Baudin Châteauneuf
Année de construction : 1974
Année de démontage : 2008
Caractéristiques d'Exploitation
Saison d'exploitation : Hiver & Eté
Capacité : 6 personne(s)
Débit à la montée : 1500 personnes/heure (1080 depuis les années 2000)
Débit à la descente : 1500 personnes/heure (1080 depuis les années 2000)
Vitesse d'exploitation : 2,5 m/s
Petite Vitesse : 2,5 m/s
Grande Vitesse : 3,4 m/s
Vitesse de secours en marche thermique : 1,5 m/s
Vitesse de convoyage en gare : 0,6m/s
Caractéristiques Géométriques
Altitude Aval : 1300 m
Altitude Amont : 1800 m
Dénivelée : 500 m
Longueur développée : 2006 m
Pente Maxi : 24 %
Pente Moyenne : 36 %
Temps de Trajet : 14min 30
Caractéristiques Techniques
Emplacement Tension : amont
Type de Tension : contrepoids
Emplacement Motrice : aval
Sens de montée : droite
Nb Pylônes : 18 (numérotés de P0 à P17)
Dispositif d'accouplement : pince débrayable Müller à serrage par vis.
Nb Cabines : 110+1
Espacement minimal : 36 m (52m depuis les années 2000)
Caractéristiques de la ligne :
- P0 16C
P1 : 8S
P2 : 6S / 2C
P3 : 6S / 2C
P4 : 6S
P5 : 6C
P6 : 6S / 2C
P7 : 6S / 4C
P8 : 8S + anémomètre milieu de la ligne
P9 : 8S / 2C
P10 : 6S / 2C
P11 : 6S / 2C
P12 : 6S / 2C
P13 : 8S / 2C
P14 : 8C
P15 : 8S / 1C
P16 : 6S / 1C
P17 : 6S / 4C
P18 (entrée en gare) : 22S
P19 (dans la gare amont ) : 2S
III°) LES PHOTOS
La gare aval
Le garage
L'atelier
Le ralentisseur
Débrayage d'une cabine
La signalétique
Le pupitre de commandes
Le "bloc démarrage"
Le compteur qui permet de modifier le cadencement des cabines
L'automate
L'atelier
Le garage
Le pneu sur cette photo permet d'arrêter une cabine dans le contour si l'aiguillage est ouvert, c'est à dire permettant à des cabines de sortir du garage. En temps normal, il tourne à 1m/s.
Dans le contour et le garage, la cabine roule sur les rails grâce à deux tiges situés sous la partie métallique reliant les 2 pinces
Ici, la cabine retrouve le rail principal sur lequel elle roule grâce à des roulettes situés sur les pinces (2 par pinces)
La crémaillère de réinitialisation des pinces (en blanc) qui produit un son très caractéristique au passage d'une pince
une fois que la pince est "réinitialisée" (la vis étant à bout de course), un petit axe permet de faire tourner la vis d'1/8 de tour
Embrayage d'une pince
La poulie motrice
La ligne
P0
P1
P2, en dessous, le bâtiment est la gare de départ de l'ancienne TCD2
P3
P4
P5, on peut remarquer l'absence de potence de décâblage sur le brin montant.
P7
P8, point intermédiaire de la ligne, où se trouve un anémomètre
Détail du P10
P11
P12
P13
P14
P16
P17
P18
La gare amont
La barre de sécurité contrôlant le balancement important des cabines en cas de vent fort
Le tapis de convoyage en gare amont
La poulie retour tension (photo Vercors)
Sous le plancher se trouve le contrepoids assurant la tension de la ligne
Le pupitre de commande en gare amont (photo Vercors)
Le garage
Les cabines ACL
intérieur tout en plastique
Le système de fermeture des portes
Chaque cabine possédait une poignée pour ouvrir les portes depuis l'intérieur en cas d'évacuation.
La cabine de test (dite "pinces rouges")
La cabine de test en ligne
Et pour finir, quelques photos depuis les pistes
Remerciements :
- au chef d'exploitation et aux agents d'exploitation de la télécabine
- à Vercors pour ses photos de la gare amont
- à lolo42 pour avoir retouché les photos de la ligne
Sources :
- Musée du ski, Besse-en-Chandesse
- le livre des 50 ans de Super-Besse, Mairie de Besse
Ce message a été modifié par daphnis - 20 janvier 2016 - 01:31 .
#53
Posté 30 octobre 2011 - 15:35
Veuillez m'excuser de la qualité médiocre de certaines photos, notamment celles de la ligne, mais je ne dispose que de celles-là, et les prises de vues derrières les vitres abimées n'étaient pas forcément idéales. Enfin, cette refonte est surtout technique que photographique.
EDIT : merci à lolo42 pour avoir retouché les photos de la ligne
Ce message a été modifié par TCD6 Perdrix - 30 octobre 2011 - 18:43 .
#54
Posté 30 octobre 2011 - 18:05
cependant c'est dommage, il manque des photos du garage des véhicules :snif:
mais bon sinon très bon reportage
#55
Posté 30 octobre 2011 - 18:11
#56
Posté 30 octobre 2011 - 19:01
adri 73, le 30 10 2011, 17:05, dit :
cependant c'est dommage, il manque des photos du garage des véhicules :snif:
mais bon sinon très bon reportage
A l'époque où j'ai fais ces photos, je n'étais membre du forum rm.net que depuis peu de temps et je ne savais pas vraiment m'y prendre pour faire un reportage. De plus, je ne savais pas vraiment me servir de mon nouvel appareil photo numérique et je n'arrivai pas à faire des photos sans flash dans la gare. C'est pourquoi je n'ai que peu de photos de l'intérieur des gares. Par contre, j'ai compensé en filmant (2h30 de film sur la TC été comme hiver), et j'ai fais des captures d'écran (cf certaines photos en gare aval dans le reportage).
D'ailleurs, j'ai fait, il y a quelques années, des films disponibles sur daylimotion.
1e partie en hiver : (la vue bouge beaucoup par moment mais je ne voulais pas faire de montage pendant la montée afin d'avoir les 14min de montée complètement)
http://www.dailymotion.com/video/xcbdod_tc...drix-1-3_travel
2e partie en été : (là, il y a eu du montage, avec montée et descente en été).
http://www.dailymotion.com/video/xijtfh_tc...tech#rel-page-3
enfin, une 3e partie est prévue avec une partie technique (débrayage des cabines, et séquence de décyclage en été avec le passage à 3,4m/s), dès que j'aurai reçu un nouveau logiciel de montage (Sony Végas) car, je vous l'avoue, je commence à en avoir ras la frange de Movie Maker... De toute façon, il ne marche plus sur mon ordi, comme ça, c'est réglé
Ce message a été modifié par TCD6 Perdrix - 30 octobre 2011 - 19:03 .
#57
Posté 30 octobre 2011 - 19:01
Tu es sûr de toi ?
ce n'est pas plutôt un point de fixation pour l'évacuation des clients ?
#58
Posté 30 octobre 2011 - 19:10
dj_jean_jean, le 30 10 2011, 18:01, dit :
ce n'est pas plutôt un point de fixation pour l'évacuation des clients ?
non, c'était bien une poignée pour ouvrir les portes pour évacuer les clients. En marche normal, il était coincé pour ne pas être actionné par les clients. Lorsque la cabine était évacuée, le secouriste, une fois sur le toit de la cabine, débloquait le système. Il pouvait ouvrir les portes depuis le toit, mais une fois qu'il était dans la cabine, il pouvait fermer les portes manuellement et les réouvrir par cette poignée. Ça à fonctionné pendant quelques années, mais avec l'âge, les portes des cabines pouvaient s'ouvrir et se refermer manuellement et le système avec la poignée a été supprimé (mais la poignée est restée).
Ce message a été modifié par TCD6 Perdrix - 30 octobre 2011 - 19:10 .
#59
Posté 05 novembre 2011 - 15:25
#60
Posté 13 novembre 2011 - 14:35