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  1. TSD6 du Mont Blanc - Les Arcs (Paradiski)

    27 mars 2023 - 13:35

    Bonjour, je vais vous présenter un reportage sur le ...

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    Au sommaire de ce reportage :
    • Les Arcs
    • Historique des remontées mécaniques d'Arc 1600
    • Le nouveau télésiège du Mont Blanc
    • Mont Blanc : entre ski facile et desserte secondaire du plateau de l'Arpette
    • Caractéristiques de l'appareil
    • Ligne et infrastructures du télésiège débrayable du Mont Blanc
    • Conclusion


    Les Arcs

    Les Arcs est station de ski savoyarde située dans la vallée de la Tarentaise, et qui fait partie du domaine skiable de Paradiski. Cette station se trouve à environ 3h de Lyon. Le domaine skiable de Paradiski comprend 2 stations : Les Arcs et La Plagne, deux stations reliées par le téléphérique Vanoise Express depuis 2003. Cela forme un très vaste domaine skiable de 425 kilomètres de pistes.
    Le domaine skiable des Arcs se compose de 6 villages : Villaroger (1200m), Arc 2000, Arc 1950, Arc 1600, Arc 1800, et Peisey-Vallandry (1600m). Bourg-Saint-Maurice, la ville la plus proche, est reliée au domaine par un funiculaire qui arrive à Arc 1600.
    Chaque village compose donc ce domaine skiable qui compte 200 kilomètres de pistes, et 44 remontées mécaniques gérées par ADS Domaine Skiable.
    Le point culminant du domaine est à 3226m, l’Aiguille Rouge, qui est accessible par un téléphérique. Cela fait donc une amplitude de 2000m, descendus par la piste de l’Aiguille Rouge qui offre un magnifique panorama sur les Alpes.


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    >>> Cliquez sur l'image pour accéder à une présentation plus détaillée de la station <<<


    Historique des remontées mécaniques principales d’Arc 1600

    Les premières remontées des Arcs apparaissent en 1961. Ce sont tout d'abord 2 remontées qui relient Bourg-Saint-Maurice à l'actuel emplacement d'Arc 1600 qui sont construites. La première remontée est un télésiège biplace, qui part donc de Bourg-Saint-Maurice et qui arrive au hameau des Granges. La seconde remontée est un autre télésiège deux places partant de ce même hameau, et arrivant légèrement plus haut que l'actuel emplacement d'Arc 1600.
    En 1967, la station construit 3 téléskis pour assurer son lancement : le téléski des Charmettes, téléski destiné plutôt aux débutants mais permettant aussi d’accéder au téléski des Deux Têtes qui part à l'amont du télésiège de Courbaton, et qui amène sous le signal des Têtes. Le troisième téléski, nommé Cachette, permet quant à lui d’accéder au plateau de l’Arpette, et ainsi au télésiège biplace du même nom construit en 1964. Mais l'augmentation des skieurs ne permet pas aux téléskis de tenir la cadence : au début des années 70, un doublement des téléskis de la Cachette et des Charmettes est opéré.

    Image IPBSituation des remontées mécaniques à Arc 1600 en 1972
    Un autre évènement va marquer cette période : un téléphérique reliant directement Bourg-Saint-Maurice à Arc 1600 voit le jour l'été 1973 (pour plus d'informations sur ce téléphérique, cliquez ici). Il remplace l'ancien télésiège des Granges mais pas celui de Courbaton, qui est démonté une quinzaine d'années plus tard pour qu'il continue à desservir son secteur. Mais cette construction va accentuer encore plus l'attractivité de la station. Elle se voit donc obligée de construire un télésiège, pour compenser cette forte augmentation de touristes à Arc 1600.
    C’est ainsi qu’est construit en 1976 le premier télésiège du Mont Blanc. C'est un télésiège fixe triplace de Poma, et il remplace aussi l'ancien téléski des Deux Têtes construit seulement 9 ans plus tôt. A l’époque, le télésiège n’offrait donc qu’une seule possibilité à son sommet : redescendre à Arc 1600 par la piste bleue du Mont Blanc, option appréciée par les skieurs débutants qui cherchent des pistes peu pentues comme celle-ci. De plus, cette piste conserve plutôt de la neige de bonne qualité grâce à son exposition, mais est aussi peu fréquentée car c’est l’extrémité du domaine de l’époque. Le télésiège du Mont Blanc est donc fréquenté principalement par des skieurs débutants.
    En 1978, deux ans après la construction de cet appareil, un second téléski des Deux Têtes arrivant au même endroit que son prédécesseur est installé. Il part du sommet du télésiège du Mont Blanc, offrant une nouvelle alternative à son sommet. Il dessert une piste bleue adaptée aux skieurs de bas niveau qui rejoint le télésiège de l’Arpette, et aussi une piste noire pour les skieurs de meilleur niveau. Mais ce téléski ne peut être emprunté par les débutants, car trop difficile. Le rôle du télésiège du Mont Blanc n’est donc pas très affecté par ce changement, à part quelques skieurs expérimentés de plus pour descendre sur la piste noire des Deux Têtes. Les skieurs de bon niveau préfèrent le téléski de la Cachette pour rejoindre Arc 1800, parce qu’il offre un temps de montée bien inférieur à ces deux appareils.
    En 1988, le funiculaire reliant Bourg-st-Maurice à Arc 1600 est construit, en remplacement du téléphérique, qui est d'ailleurs démonté deux ans plus tard. Les trois téléskis d’Arc 1600 vont alors avoir beaucoup de mal à absorber le flux de skieurs. Par conséquent, l’année suivante, en 1989, le télésiège actuel de la Cachette est construit, offrant ainsi confort et rapidité. Mais cela est au détriment du télésiège du Mont Blanc, qui va perdre encore plus de son attractivité, car les skieurs débutants empruntent maintenant le télésiège de la Cachette, puis le télésiège triplace de l'Arpette construit en 1986, pour descendre les pentes de l'Arpette appréciées des skieurs. La fréquentation du téléporté du Mont Blanc devient si faible qu’une baisse de son débit est décidée, le faisant descendre à 1000 personnes/heure, ce qui reste très faible même pour un télésiège 3 places.
    Depuis cette année, le télésiège du Mont Blanc a toujours assuré le même rôle, offrant une alternative à la Cachette, lorsque celle-ci est saturée. Mais le téléski des Deux Têtes reste assez difficile, et cela fait fuir les skieurs de ce secteur malgré la piste du Mont Blanc dans la forêt, qui reste une très jolie piste.


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    ^^^ Cliquez sur l'image pour découvrir ce reportage ^^^


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    Le nouveau télésiège du Mont Blanc

    Le télésiège fixe du Mont Blanc et le téléski des Deux Têtes sont donc remplacés été 2011 par un télésiège 6 places débrayable. Le but est d’offrir une véritable alternative au télésiège de la Cachette. En effet, la chaine Mont Blanc et Deux Têtes est délaissée principalement pour son temps de trajet, ce qui fait du télésiège de la Cachette la principale remontée d’Arc 1600. Le choix s’est donc porté sur un télésiège débrayable, ce qui fait aussi disparaitre la difficulté du téléski des Deux Têtes. Le tracé n’est pas similaire au télésiège de la Cachette, pour continuer à profiter de la belle piste bleue du Mont Blanc. Un nouveau tracé a donc été décidé : la gare aval a été décalée de quelques mètres pour laisser respirer le télésiège de la Cachette, et a été installée de l’autre côté de la piste de la Cachette, et légèrement plus en amont. La gare amont, quant à elle, ne se situe plus au beau milieu de la forêt de Malgovert, mais à l’ancien emplacement de la gare amont du téléski des Deux Têtes, pour remplacer les deux appareils d’un coup.
    Le constructeur choisi est Bartholet, société de plus en plus sollicitée en France depuis 2008 avec la construction de son premier appareil en France à Val d’Isère, et aussi grâce à la construction de son premier appareil sur le domaine des Arcs en 2009 : le télésiège débrayable de l’Arpette.
    Au niveau technique, Bartholet a équipé cet appareil de gares débrayables, avec une configuration classique : gare aval retour-tension, et gare amont motrice fixe.

    Une autre partie du chantier consistait à remodeler la piste noire des Deux Têtes, qui descendait à côté du téléski du même nom. D’important terrassements ont été faits, pour que cette piste devienne bleue. Les débutants peuvent donc emprunter le télésiège du Mont Blanc puis redescendre à Arc 1600 en empruntant cette piste bleue du Mont Blanc.

    NOTE : Le constructeur de cette remontée était appelé BMF lors de la construction de cet appareil (Bartholet Maschinenbau Flums), mais il a choisi en 2019 de garder seulement BARTHOLET comme nom commercial.


    Mont Blanc : entre ski facile et desserte secondaire du plateau de l’Arpette

    Le télésiège du Mont Blanc peut être très pratique : lorsque le télésiège de la Cachette est saturé ou en panne, cela permet de le décharger de ses skieurs tout en garantissant un accès rapide au plateau de l’Arpette. Il permet aussi d’absorber le flux de skieurs qui viennent de Bourg-st-Maurice grâce au funiculaire. C’est donc un appareil qui assure un accès secondaire rapide au secteur d’Arc 1800. La différence avec le télésiège de la Cachette est qu’il dessert la piste du Mont Blanc, très pratique lorsque l’on veut s’éloigner des pistes assez fréquentées, et elle permet aussi aux débutants d’y skier tranquillement grâce au faible niveau de cette piste. Le télésiège débrayable du Mont Blanc est donc plutôt emprunté par une clientèle débutante, car les skieurs allant vers l'Arpette préfèrent le télésiège de la Cachette parce que cet itinéraire est plus court.

    Voici les pistes desservies par cet appareil :
    - la piste bleue du Mont Blanc, qui ramène à Arc 1600 ;
    - la piste bleue du Belvédère, qui mène dans le secteur de l’Arpette, à Arc 1800, ou même jusqu’à Peisey-Vallandry. Elle permet aussi d’accéder à d’autres pistes menant à Arc 1600 comme la fin de la piste bleue de l’Arpette, la piste rouge des Arolles et de la Cachette, ou la piste noire des Rouelles.
    Les télésièges du Mont Blanc et de la Comborcière sont les seuls à permettre d'accéder à la piste du Mont Blanc.

    Situation de l’appareil sur le plan des pistes :


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    Caractéristiques de l'appareil

    Caractéristiques administratives

    TSD-Télésiège à attache débrayable : MONT BLANC
    Exploitant : ADS (Les Arcs Domaine Skiable)
    Constructeur : Bartholet
    Année de construction : 2011


    Caractéristiques d’exploitation

    Saison d'exploitation : Hiver + été
    Capacité : 6 personnes
    Débit à la montée : 2700 personnes/heure
    Débit à la descente : 450 personnes/heure
    Vitesse d'exploitation maximale : 5,5 m/s
    Embarquement : Dans le contour
    Sens de montée : Par la gauche


    Caractéristiques géométriques

    Altitude aval : 1628 m
    Altitude amont : 2272 m
    Dénivelé : 644 m
    Longueur développée : 1747 m
    Longueur horizontale : 1608 m
    Pente moyenne : 40,05 %
    Pente maximale : 72,40 %
    Temps de trajet : 5min18s


    Caractéristiques techniques

    Emplacement motrice : Amont
    Type de motorisation : Asynchrone
    Puissance développée : 760 kw
    Emplacement tension : Aval
    Type de tension : Hydraulique
    Nombre de pylônes : 17
    Nombre de véhicules : 86
    Dispositif d'accouplement : K3
    Diamètre du câble : 50 mm


    Ligne et infrastructures du télésiège débrayable du Mont Blanc

    • La gare aval

      La gare aval a été implantée à 1628m d’altitude, au village d’Arc 1600. Elle est à proximité du télésiège débrayable de la Cachette, dont la gare aval est située légèrement plus bas. Ces deux télésièges sont accessibles depuis le funiculaire de Bourg-st-Maurice grâce à un chemin d’une centaine de mètres.
      L’embarquement se fait dans le contour. A noter que cette livrée n'est pas celle d'origine.

      La gare aval dans son environnement
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      On se rapproche
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      Vue de trois-quarts
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      Vue de profil
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      Dans la file d’attente
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      Les portillons d’embarquement
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      La zone d’embarquement
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      Un siège arrivant en gare
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      Un siège passant devant la vigie
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      Le lanceur
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      C’est parti !
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    • La ligne

      La ligne du télésiège du Mont Blanc est composée de 17 pylônes, et elle va longer celle du télésiège de la Cachette mais avec un axe légèrement décalé. La ligne passe dans la forêt à plusieurs reprises, et monte une pente moyenne assez régulière jusqu’au P4, qui amorcera une montée finale très raide pour arriver finalement en gare amont, en ayant gagné tout de même 644 mètres de dénivelé au cours du trajet.

      Vue depuis la gare aval sur le début de la ligne
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      P17 et P16 en sortie de gare
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      Courte première portée
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      P15
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      Portée vers le P14
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      P14
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      La pente s’adoucit
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      A droite la piste rouge de la Cachette
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      P13
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      La ligne reprend un peu d’inclinaison
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      P12
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      Portée P12-P11, où l'on revient dans la forêt
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      P11
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      On continue
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      P10
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      Portée vers P9
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      P9
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      La ligne sort de la forêt
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      P8
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      La piste rouge des Arolles est juste en dessous
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      P7
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      Portée vers le P6
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      P6
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      Portée P6-P5
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      Le P5
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      Le P4, qui amorce la raide montée finale
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      Le passage le plus pentu de la ligne
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      Les 3 derniers pylônes équipés de protections thermiques, et qui permettent de remettre la ligne à plat
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      Arrivée en gare amont
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    • La gare amont

      La gare amont a été installée à 2272m d’altitude. Elle est située un peu en aval de celle du télésiège de la Comborcière. C‘est la station motrice de l’installation, qui assure la mise en mouvement du câble. Elle est équipée d’un rail pouvant abriter le véhicule de service. On notera la présence d’un filet juste avant l’entrée en gare.

      Dans le ralentisseur
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      Vue de face
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      Vue de trois quarts, avec le rail de service
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      Le chalet de commandes
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      Vue de profil
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      Les 3 derniers pylônes et une partie de la gare
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      De plus loin
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      Vues en contre-plongée
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      Zoom sur la gare amont depuis le télésiège de la Cachette
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    • Véhicules et pinces

      Cet appareil est équipé de 86 sièges Bartholet, reliés au câble par une pince K3.

      Un siège en ligne
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      La suspente et la pince
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    • Autres vues

      Le début de la ligne depuis la piste de la Cachette
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      La ligne juste avant l’arrivée depuis la piste du Belvédère
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    Conclusion

    Grâce à la construction de cet appareil, Arc 1600 a ainsi modernisé ce secteur peu fréquenté du domaine, délaissé à cause de l’âge et de la difficulté des remontées qui y étaient présentes. Cela a permis de faire revenir dans ce secteur les jeunes skieurs peu expérimentés, nombreux dans ce village destiné à la clientèle familiale, et plutôt habitués à des remontées rapides et confortables. Arc 1600 a su renouveler efficacement les remontées mécaniques du secteur Mont Blanc, et notamment les remontées présentes sur son front de neige, en atteignant un débit théorique de 5200 personnes par heure grâce à ses deux télésièges débrayables.
    Cependant, le télésiège de la Cachette commence à avoir un certain âge, avec bientôt 35 ans passés. Peut-être verra-t-on dans quelques années un remplacement de cet appareil ? A suivre...


    Image IPBLe Mont Blanc
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    Photos prises le 5 et 7 février 2023

    Bannière : Legend Lifts
    Texte : Legend Lifts
    Photos : Legend Lifts


  2. TSD4 de la Comborcière - Les Arcs (Paradiski)

    26 février 2023 - 12:43

    Bonjour, je vais vous présenter un reportage sur le ...

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    Au sommaire de ce reportage :
    • Les Arcs
    • Historique du secteur Comborcière
    • Le nouveau télésiège débrayable de la Comborcière
    • Comborcière : entre ski propre et liaison pratique
    • Ligne et infrastructures du télésiège débrayable de la Comborcière
    • Conclusion

    Les Arcs

    Les Arcs est station de ski savoyarde située dans la vallée de la Tarentaise, et qui fait partie du domaine skiable de Paradiski. Cette station se trouve à environ 3h de Lyon. Le domaine skiable de Paradiski comprend 2 stations : Les Arcs et La Plagne, deux stations reliées par le téléphérique Vanoise Express depuis 2003. Cela forme un très vaste domaine skiable de 425 kilomètres de pistes.
    Le domaine skiable des Arcs se compose de 6 villages : Villaroger (1200m), Arc 2000, Arc 1950, Arc 1600, Arc 1800, et Peisey-Vallandry (1600m). Bourg-Saint-Maurice, la ville la plus proche, est reliée au domaine par un funiculaire qui arrive à Arc 1600.
    Chaque village compose donc ce domaine skiable qui compte 200 kilomètres de pistes. La station compte 44 remontées mécaniques, gérées par ADS Domaine Skiable.
    Le point culminant du domaine est à 3226m, l’Aiguille Rouge, qui est accessible par un téléphérique. Cela fait donc une amplitude de 2000m, descendus par la piste de l’Aiguille Rouge qui offre un magnifique panorama sur les Alpes.


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    Historique du secteur Comborcière

    La première remontée construite sur ce secteur est un téléski, le téléski de Comborcière, construit en 1968. Son rôle est de remonter les skieurs vers Arc 1600, qui sont descendus jusque dans la vallée de l’Arc. C’est à l’époque la seule remontée présente dans l’actuel domaine d’Arc 2000.
    Dans les années 80, après la création de téléskis de retour vers Arc 1600/1800 dans le haut d’Arc 2000, l’ancien télésiège fixe du Bois de l’Ours est construit car le développement d’Arc 2000 accentue l’afflux de skieurs dans ce secteur. Mais ce développement est si important que le télésiège du Bois de l’Ours n’arrive plus à tenir la cadence, ainsi que le téléski de la Comborcière, qui souffre aussi de sa position de première remontée vers Arc 1800 en venant de Villaroger à l’époque. En 1985, le remplacement du téléski de la Comborcière est inévitable.

    Le premier télésiège de Comborcière voit alors le jour cet été là, un télésiège fixe triplace qui assure le même rôle que son prédécesseur. A l’époque, ce télésiège est assez fréquenté car la clientèle de Villaroger peut le rejoindre directement depuis le télésiège du Plan des Violettes, et ainsi rapidement arriver dans le secteur d’Arc 1800. Cet afflux dure jusqu’à la création du télésiège débrayable du Bois de l’Ours, en 2003. Les skieurs venant de Villaroger empruntent maintenant les remontées Droset, puis Bois de l’Ours pour rejoindre Arc 1800, car plus confortable, et plus rapide pour le Bois de l’Ours. Les clients d’Arc 2000 délaissent aussi le télésiège de la Comborcière pour celui du Bois de l’Ours pour les mêmes raisons, ainsi qu'une desserte de pistes de meilleure qualité au sommet de l'Arpette que la piste de liaison du Belvédère, plutôt plate pour rejoindre Arc 1800. C’est à partir de ce moment que le téléporté de Comborcière commence à être emprunté seulement par les skieurs expérimentés qui se plaisent sur les pistes noires de Comborcière et de Malgovert.

    Image IPB^^^ Cliquez sur l'image pour accéder au reportage ^^^

    Le nouveau télésiège de la Comborcière

    A partir de 2017, la station décide d’entreprendre la modernisation des remontées mécaniques de la Vallée de l’Arc. Cette modernisation commence avec la construction d’un nouveau télésiège moderne : le Pré-Saint-Esprit. Le but était de faciliter la remontée sur Arc 2000, en remplaçant l’ancien télésiège fixe 3 places du Pré-Saint-Esprit, qui se faisait très long à la vue de sa forte longueur, mais aussi faciliter la liaison avec le Col de la Chal en prenant ensuite le télésiège débrayable des Plagnettes.

    En 2018, c’est la liaison avec le secteur d’Arc 1800 qui est modernisée. En effet, le télésiège fixe 3 places de la Comborcière commençait lui aussi à se faire vieux. La station décide donc d’entreprendre la modernisation de la liaison, en installant un nouveau téléporté débrayable pour raccourcir le temps de trajet trop long. Le débit devait quant à lui n’être pas très élevé, car ce secteur n’est pas très fréquenté. Le choix s’est donc porté sur l’achat d’un télésiège d’occasion : l’ancien télésiège débrayable 4 places de la Portette à Val Thorens, construit en 1991 par Doppelmayr, et qui a été démonté en 2014.
    L’ensemble des composants viennent de l’ancien télésiège de la Portette. Ils ont été remis à neuf par Doppelmayr et Ingélo. Les gares sont identiques, mais elles ont été repeintes aux couleurs de la station. Les sièges, quant à eux, ont été totalement modernisés : arceaux noirs, banquettes bleues et noires (comme les sièges du télésiège du Pré-Saint-Esprit).
    Le tracé a été modifié, en déplaçant la gare aval vers l'amont pour qu'elle soit au même endroit que le départ du télésiège du Pré-Saint-Esprit. L'emplacement de la gare amont n'a pas bougé.

    La création d’une nouvelle piste à aussi eu lieu, une piste rouge nommée « Secret ». Le but était de créer une autre piste moins difficile que celle de la Comborcière, réservée aux bons skieurs, pour utiliser cet appareil non seulement par liaison, mais aussi pour que les skieurs moins expérimentés puissent skier sur ce secteur.

    Vous pouvez retrouver ici le suivi de la construction de cet appareil


    Comborcière : entre ski propre et liaison pratique

    Le télésiège débrayable de Comborcière est un appareil très utile dans le domaine skiable. En effet, il garantit un retour rapide vers le secteur d’Arc 1800 ou de Vallandry, que l’on vienne de Villaroger ou d’Arc 2000. Il permet aussi d’éviter la longue file d’attente de l’Arcabulle ou celle du Bois de l’Ours. C’est donc un appareil de liaison essentiel, offrant une alternative à ces deux télésièges, mais il dessert aussi des pistes de ski propre. Ce secteur est malheureusement très tôt à l’ombre, ainsi que très venteux, ce qui provoque une faible fréquentation de ce secteur.

    Voici donc les pistes accessibles depuis le sommet de cet appareil :
    - la piste noire de Comborcière, piste qui redescend au bas de ce télésiège ;
    - la piste rouge du Secret, qui revient elle aussi au bas de ce télésiège ;
    - la piste noire de Malgovert, qui permet de revenir sur Arc 1600 ;
    - la piste bleue du Belvédère qui ramène dans le secteur d’Arc 1800, ou à Arc 1600 par la piste bleue du Mont Blanc ou la piste rouge des Arolles.
    Il est aussi possible d’accéder à ce secteur par le télésiège du Clocheret, en prenant la piste rouge du Muguet qui rejoint celle du Secret.

    Situation de l'appareil sur le plan des pistes :

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    Caractéristiques techniques

    Caractéristiques administratives

    TSD-Télésiège à attache débrayable : COMBORCIERE
    Maître d’œuvre : ERIC
    Exploitant : ADS (Les Arcs Domaine Skiable)
    Constructeur : DOPPELMAYR/INGELO
    Année de construction : 2018
    Montant de l’investissement : environ 5 000 000 €

    Caractéristiques d’exploitation

    Saison d'exploitation : Hiver
    Capacité : 4 personnes
    Débit à la montée : 2400 personnes/heure
    Vitesse d'exploitation maximale : 5 m/s
    Embarquement : Dans le sens de la ligne
    Sens de montée : Par la gauche

    Caractéristiques géométriques

    Altitude aval : 1815 m
    Altitude amont : 2302 m
    Dénivelé : 487 m
    Longueur développée : 1641 m
    Longueur horizontale : 1550 m
    Pente moyenne : 29,68 %
    Pente maximale : 82,80 %
    Temps de trajet : 5min28s

    Caractéristiques techniques

    Type de gares : UNI Compacte
    Emplacement motrice : Amont
    Type de motorisation : Courant continu
    Puissance développée : 465 Kw
    Emplacement tension : Aval
    Type de tension : Hydraulique
    Nombre de pylônes : 14

    Caractéristiques des véhicules

    Type de véhicules : Sièges standard 4 places Doppelmayr (années 90)
    Nombre de véhicules : 114
    Dispositif d'accouplement : Pince ET106

    Caractéristiques du câble

    Fabricant : ARCELOR MITTAL
    Composition : 6x25 fils
    Diamètre du câble : 41,5 mm
    Résistance à la rupture : 1245 daN

    Ligne et infrastructures du télésiège débrayable de la Comborcière

    • La gare aval

      La gare aval a été implantée au lieu-dit du Pré-Saint-Esprit, à 1815m d’altitude, à côté du télésiège du même nom. Ces 2 télésièges sont situés à côté d’un parking sur la route qui mène à Arc 2000, ce qui profite aux skieurs à la journée.
      Côté technique, le télésiège de Comborcière est un appareil standard des appareils 4 places construits par Doppelmayr dans les années 90. La gare aval est la gare retour de l’installation, qui assure aussi la tension du câble.


      La gare aval dans son environnement
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      De plus près
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      Vue de profil
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      Le chalet de commandes
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      Dans la file d’attente
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      Les portillons d’embarquement
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      La zone d’embarquement
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      Un siège en entrée du lanceur
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      Le lanceur
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      P14 en sortie de gare
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    • Ligne

      La ligne se divise en 2 parties : la première monte avec une bonne pente, dans une zone parsemée d’arbres et arbustes. La seconde commence à partir du P5. Cette partie est presque plate, et sort de la forêt pour arriver finalement en gare amont.
      Côté pistes, la ligne passe entre les pistes du Secret et de la Comborcière presque tout le long du trajet.

      Vue sur le début de la ligne (du P14 au P10)
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      Première portée
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      P13
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      Passage au-dessus de la fin de la piste du Secret
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      P12
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      On continue
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      Passage raide
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      P11
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      P10
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      Un peu de plat
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      La piste du Secret est juste en dessous (remarquez les piquets prévenant du manque de neige)
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      P9
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      Portée P9-P8
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      P8
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      Portée P8-P7
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      On aperçoit la piste noire de la Comborcière sur la droite
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      P7
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      Portée vers P6 et P5
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      P6
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      P5
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      On aperçoit la gare amont au loin
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      Portée P5-P4
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      P4
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      Courte portée
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      P3
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      Portée vers le P2
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      P2
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      P1, le dernier pylône
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      Dernière portée vers la gare amont
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    • La gare amont

      La gare amont a été installée à 2302m d'altitude. Niveau technique, c'est la station motrice de l'installation, qui assure la mise en mouvement du câble.
      Elle est équipée d’un rail qui peut abriter le véhicule de service.


      Dans le ralentisseur
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      Vue de face
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      La zone de débarquement
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      Vue de trois quarts
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      Vue de profil
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      De plus loin
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      La gare amont dans son environnement (vue depuis l’arrivée du télésiège du Clocheret)
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      Vue en contre-plongée
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    • Véhicules et pinces

      Ce télésiège est équipé de 114 sièges standard 4 places Doppelmayr des années 90. Ils sont reliés au câble grâce une pince ET106.

      Un siège en ligne
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      Un siège passant sur un pylône
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      La pince ET106
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    • Autres vues

      Vues depuis la piste du Muguet

      Vue générale sur la fin de la ligne
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      Vues depuis la piste du Secret

      Le P5 et le P6
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      Vues depuis la piste de la Comborcière

      Du P7 au P5
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      La ligne avec le début de la piste du Droset. On peut également distinguer la fin de la ligne et la gare amont du télésiège du Droset et des Lanchettes au loin.
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      Conclusion

      La modernisation des remontées mécaniques de la Vallée de l'Arc a été un succès. Deux télésièges fixes des années 80 ont ainsi été démontés. Depuis de nombreuses années, la station s'efforce de satisfaire au mieux sa clientèle : la construction du télésiège de Comborcière a permis de renouveler une liaison vieillissante vers Arc 1800, réduisant largement le temps de trajet. Avec le remplacement du télésiège du Plan des Violettes par une télécabine en 2025, peut-être verra-t-on une augmentation de l'afflux de skieurs dans ce secteur. A suivre.

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      [size="2"]Photos prises le 5, 7, et 9 février 2023

      Bannière : Legend Lifts
      Photos : Legend Lifts
      Texte : Legend Lifts


  3. Fibre optique dans les câbles

    16 novembre 2022 - 12:53

    Bonjour,
    Il y a quelques jours, j'ai lu ce document présentant le projet du 3S des Deux Alpes. J'ai remarqué qu'il était prévu de mettre de la fibre optique dans les câbles porteurs (p.12) pour transmettre des données entre les stations. Est-ce que toutes les installations sont équipées de ces câbles ? Si non, le câble du 3S serait donc une première ?

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