Depuis quelques temps j'essaye de savoir par quelle méthode est relié la poulie motrice au réducteur (et également au "chassis" de la gare)
En regardant quelques photos, et notamment celle ci, on a une première partie de réponse :

(Vous aurez tous reconnu la TC de Médelin)
Donc, on remarque sur cette installation des cannelures sur l'arbre de la poulie motrice.
Juste en dessous des cannelures on a un diamètre plus important, qui va consituer une liaison "Pivot" avec le chassis de la gare, ça donne ça à la fin :

Ensuite la forme opposée est sur le moyeu du réducteur. Tout s'emboite et le couple en sortie du réducteur est quasiment intégralement envoyé à la poulie motrice.

(le réducteur en train d'être mis en place)
J'ai voullu en savoir un peu plus sur cette laison réducteur-poulie.
Je me suis un peu renseigné, et j'ai appris qu'auparavent ce n'était pas ce principe qui était utilisé, et qu'il n'est toujours pas utilisé chez tous les constructeurs.
En effet, l'usinage de l'arbre cannelé (et de la forme quasi opposé dans le réducteur) courte cher et est complexe, c'est pourquoi semble t-il chez Poma, ils ne fabriquent que deux diamètres d'arbre.
Auparavent, il semble que le système utilisé était un système avec des clavettes pour bloquer la rotation :

(exemple de clavette)
mais ce système n'était pas très sécurisant.
En effet, l'arbre notamment va finir par posseder des fissures aux angles des "trous" dans lesquels on insert la clavette ... pas terrible ...
Il y aurait déja eu des accidents (ou incidents) à cause de cela sur des remontées anciennes ...
De retour aux techniques utilisées de nos jours, je regarde une photo de la construction du TSD6 des Tovets à Courchevel :

Même si la photo n'est pas très précise, je ne distingue pas les cannelures ...
y sont-elles mais on ne les voit pas, ou est-ce un autre système qui est utilisé ?
Quoi qu'il en soit, tous les constructeurs, (je pense à Doppelmayr en particulier) n'utilisent pas tous le même principe ...
Avez vous plus d'info à ce sujet ?