A mon avis, il n'existe aucune réglementation relative au dammage des pistes... à confirmer.
Pour ce qui est de l'indication, c'est la difficulté de la piste qui compte. Si l'absence de dammage rend la piste très difficile alors que son classement en rouge l'annonce comme difficile, l'indication permet d'assurer la sécurité des skieurs. L'exploitant a un devoir d'information à l'égard des clients, devoir qui est assuré par le classement des pistes en couleur. Ce n'est que si des circonstances particulières modifient la difficulté de la piste (qui, au lieu d'être rouge, mérite le classement noire en raison du non-dammage) qu'il faut le préciser. Dans le cas contraire, je ne vois pas pourquoi il faudrait l'annoncer.
Quant à la fréquence, tout dépend des conditions. En basse saison, s'il ne neige pas, une piste peut ne pas être dammée plusieurs jours sans problème, elle restera en très bon état. C'est différent en cas de pic de fréquentation ou d'importante chute de neige. Je crois que la plupart des exploitants damment tous les jours les vertes et bleues, mais à une fréquence plus faible les rouges.
Ce message a été modifié par antidote - 12 février 2010 - 21:39 .