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Le prix au kilomètre peut être utile pour évaluer un coût en éliminant la variable de la longueur. Il peut donc être intéressant si l'on veut comparer le coût purement lié aux spécifications technologiques et à l’intervention. D’ailleurs, ce paramètre est souvent utilisé aussi dans la littérature pour comparer différentes solutions de transport. Bien évidemment, les variables sont nombreuses, mais cela reste un indicateur assez représentatif.

En réalité, dans la littérature académique, on fait plutôt référence au coût par passager-kilomètre si on veut comparer, ce qui permet une standardisation prenant aussi en compte la capacité horaire.

Quoi qu’il en soit, je m’attendais à un rendu bien pire des pylônes, même s’il faut dire qu’ils sont quand même assez moches. En plus, l’emplacement des stations juste en face des anciennes me fait franchement frissonner.

Bonsoir,

Tout d'abord, merci pour ce reportage. Je suis très intéressé par l'évolution du ski en Géorgie, je trouve cela tout à fait fascinant.

Bien que j'aie clairement mes propres idées sur le débat susmentionné, j'essaie d'en passer sous la question.

Cependant, je demanderais, au minimum, une bannière sur la ligne présenté et non sur celui non présenté (le Mt. Kazbeck bien visible ne laisse aucun doute).

Merci encore pour la redaction.

Et aussi une "nouvelle" piste (Route du Col)

 chris2002, le 04 novembre 2024 - 20:57 , dit :

Je suppose que le choix d'un TSCD au lieu d'un TSD est dû à cela. Sinon c'èst pas trop justifiable comme investissement. Quoi qu'il en soit, l'idée que du côté de Nendaz (en référence aux installations de Nendaz-Veysonnaz), pratiquement toutes les installations "majeures" auront potentiellement un emploi d'été est intéressante.

Par ailleurs, je serais curieux de connaître la nécessité de ce pylône à double tête dans le calcul de la ligne. Le franc maximum de survol ne serait-il pas suffisant de toute façon ? une portée trop grande ? Le fait qu'il n'y ait pas de balanciers SC exclut à mon avis l'hypothèse de la stabilité latérale.

Les districts que j'ai mentionnés appartiennent tous à la même région. Certains naviguent mieux que d'autres, mais en général ils sont plus ou moins bien équipés, ont entre 10 et 30 km de pistes, des parcs de remontées mécaniques plus ou moins bons, et ont quelque chose de particulier à offrir.

Il m'a toujours semblé logique que ces domaines skiables coopèrent entre eux compte tenu de leur contexte (je ne connais pas leur situation actuelle).

A mon avis, c'est l'endroit le plus judicieux pour commencer à étendre l'influence de le MP en Italie. L'autre option (à côte de la Suisse) aurait été le Val d'Aoste, mais là, il s'agit de très grands domaines skiables qui ne me paraissent pas inclinés sauf qque petite exception.