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Remontées abandonnées ou disparues de Superbagnères Superbagnères

#21 L'utilisateur est hors-ligne   Pierre31 

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Posté 01 septembre 2007 - 23:54

Merci bien Jfd et n'aie pas honte de ton âge!
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#22 L'utilisateur est hors-ligne   jfd_ 

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Posté 02 septembre 2007 - 20:17

Voir le messagePierre31, le 2 09 2007, 00:54, dit :

Merci bien Jfd et n'aie pas honte de ton âge!
Ne t'inquiètes pas :)


Voir le messageraoul31, le 2 09 2007, 12:30, dit :

Merci beaucoup Jfd pour ces renseignements !

Je vais poster dans la semaine un "reportage" sur ce qu'il reste de la Crémaillère, mais il y a encore quelques zones d'ombres à éclaircir. Ton aide nous sera précieuse.

Aussi, si tu as des photos d'époque dans tes collections, et un moyen de les reproduire (scanner,...), nous sommes très intéressés.

Merci d'avance.
Bah, en fait, je me suis toujours intéressé aux RM mais sans pour autant faire collection de documents. Je mémorise...


Tant que j'y suis (j'ai oublié hier soir), par rapport au commentaire relatif à la motorisation Renault de secours des TS Skirail de SuperBagnères, c'est tout à fait normal. En 1985, Renault était un des plus gros actionnaires de Skirail.
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#23 L'utilisateur est hors-ligne   Raphaël B 

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Posté 08 septembre 2007 - 23:27

:) Merci Raoul pour ce reportage ,

Concernant le funiculaire et en regardant bien la photo du Chassis
je me demande si ce funiculaire ne disposait pas de la crémaillère Riggenbach utilisée comme système de freinage , car on note la présence d'une poulie sans gorge ou plutôt rouleau typique des funiculaire mono voie à évitement Abt en son milieu pour permettre le croisement des voitures (funiculaire classique mis au point par Von Roll ) . Voir dossier fonctionnement de funiculaire
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#24 L'utilisateur est hors-ligne   jfd_ 

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Posté 11 septembre 2007 - 19:38

Cette station motrice n'avait pas été structurellement modifiée lors du passage de télébenne (comme celui du Céciré) à TSF2. La seule modification avait été au niveau d'un moteur pour pouvoir disposer d'une GV normale pour un TSF car la GV des télébennes était beaucoup plus lente (il fallait bien permettre au skieurs de courir après les bennes avec ski et bâtons dans les bras). Les sièges de ce TS se sont partiellement retrouvés sur l'actuel TSF d'Arbesquens.
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#25 L'utilisateur est hors-ligne   Pierre31 

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Posté 11 septembre 2007 - 22:18

Voir le messagejfd_, le 11 09 2007, 18:38, dit :

Cette station motrice n'avait pas été structurellement modifiée lors du passage de télébenne (comme celui du Céciré) à TSF2. La seule modification avait été au niveau d'un moteur pour pouvoir disposer d'une GV normale pour un TSF car la GV des télébennes était beaucoup plus lente (il fallait bien permettre au skieurs de courir après les bennes avec ski et bâtons dans les bras). Les sièges de ce TS se sont partiellement retrouvés sur l'actuel TSF d'Arbesquens.


Ceci explique donc cela! C'est bon sylvain, désormais on sait pourquoi il y a deux générations de sièges sur Arbesquens!!!
Et merci encore Jfd!
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#26 L'utilisateur est hors-ligne   jfd_ 

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Posté 12 septembre 2007 - 15:05

En fait, le télésiège du Lac à son 1er emplacement était un TS 3 places. Quand il a été déplacé et a pris le nom de de TS d'Arbesquens, il a été mis en 2 places en collectant les TS du Quayrat qui étaient en surnombre pour son nouvel emplcement et quelques sièges sur le TS de l'Artigue. Que sont devenus les sièges 3 places? Je n'en sais strictement rien.
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#27 L'utilisateur est hors-ligne   jfd_ 

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Posté 12 septembre 2007 - 19:51

Oui, enfin, je n'ai pas trop compris les raison de la réduction des place des sièges. La seule hypothèse que l'on peut entrevoir est que, compte tenu du souci financier avec Skirail lors de la commande et de l'installation, ils auraient peut être amoindrit les dégats en revendant les sièges tout en équipant l'Arbesquens avec de la récup faite sur site sur l'Artigue et le Crabioules (avant qu'il ne s'appelle Quayrat). Mais ce n'est là qu'une simple hypothèse de ma part. Rien de certain.
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#28 L'utilisateur est hors-ligne   jfd_ 

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Posté 15 septembre 2007 - 10:31

Voir le messageraoul31, le 14 09 2007, 14:13, dit :

Il faudrait donc chercher un TSF3 ouvert en 85 avec des sièges ancienne génération...

Mais il y a un autre fait auquel je viens de penser et qui m'intrigue : si la station a connu des soucis avec Skirail en 85 à propos du second télésiège fantôme du Céciré, pourquoi aurait-elle renouvelé sa confiance en la marque deux ans plus tard pour construire Crabioules ? Ne serait-il pas possible que Crabioules soit justement ce télésiège fantôme que l'on aurait préféré placer sur le Téchous en remplacement d'un télésiège devenu trop vieux ?
Aussi, quand l'Arbesquens fut déplacé sur son tracé actuel, il devait bien avoir des sièges ! Le raccourcissement du Quayrat n'étant intervenu que deux ans plus tard, ça m'étonnerait quand même que tous les goutte d'eau venant du Record présents actuellement sur la ligne y étaient initialement, sinon le Record se serait retrouvé avec un léger problème de nombre de sièges ? :)
Pour le TSF du Lac en version 3 places, il a été installé bien avant 1985. Je ne sais pas quand, moi, je l'y ai toujours vu (on va dire avant 1975 au moins).

Ton hypothèse pour l'actuel Crabioules est peut être exacte :wink: Le TS de l'Artigue n'a fonctionné avec des sièges de TS que très peu d'années (comparativement à son fonctionnement en télébenne) et est resté stoppé sans rien sur le câble au moins 4 ou 5 saisons. Au début de l'Arbesquens, il y avait plein de trous sur la ligne, ça je m'en souviens bien.
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#29 L'utilisateur est hors-ligne   jfd_ 

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Posté 15 septembre 2007 - 15:50

Il y a bien le TS de Serre-Doumenge à Peyragudes en 1988. Vu qu'il est en gare Delta, ce n'est pas son 1er emplacement.
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#30 L'utilisateur est hors-ligne   Sylvaingobi 

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Posté 07 février 2008 - 11:14

Bonjour, très bon reportage, ça me rappelle bien des souvenirs!
c'est surtout dans cette station avec les Agudes voir le Mourtis ou j'ais appris à skier depuis 1976... (J'habitais à Saint Gaudens)
Mes souvenirs de tes remontées:
Télébenne du Céciré: Casse pipe pour un gamin de 6 ans pour renter et débarque avec les skis au pas de course, merci les moniteurs!! vive les patinettes c'est + pratique!!!, ça balançait plus que le télésiège ( que je n'aimais pas a l'époque prendre car pas de débrayage à l'époque!!!)...
Les records:
Belle piste avec vue sur la ville la vallée et les sapins bien difficile parfois au rendez vous de la soupe, suivi de verglas...
Un petit réconfort avec ce fameux télésiège qui permettais de se reposer les jambes.
Télésiège Quayrat: Si mes souvenirs son bon il était pas bien long, pas rapide mais un splendide paysage!! tes photos le montre.
Si je me rappelle bien il y avait 2 téléskis, d'on un qui marchais avec un moteur thermique! (Quelqu'un peut me le confirmer?)en contrebas de ce télésiège... Pres du tunel sous la route.
La dernière fois que je suis aller la bas, le télécabine était en cour de construction. (J'essaierai de retrouver une photo que J'ais prise).

Cordialement
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#31 L'utilisateur est hors-ligne   jfd_ 

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Posté 09 février 2008 - 22:55

Voir le messageSylvaingobi, le 7 02 2008, 11:14, dit :

Si je me rappelle bien il y avait 2 téléskis, d'on un qui marchais avec un moteur thermique! (Quelqu'un peut me le confirmer?)en contrebas de ce télésiège... Pres du tunel sous la route.
Je confirme pour le TKD à moteur thermique ;) Mais il y a un moment que...
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#32 L'utilisateur est hors-ligne   Sylvaingobi 

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Posté 11 février 2008 - 10:25

En cherchant l'article de l'incident du TLS du Mourtis(Que je n'ai toujours pas retrouver), je suis tomber sur ceci:
Mon scan est Hs... Je vous le tape donc:

Journal Sud-Ouest 12 avril 2005 :

"Après quatre décennies de bons et loyaux services, le téléphérique du Lys ne sera bientôt plus qu'un souvenir. Les quatre grosses bennes rouge, bleue, jaune et verte qui pouvaient, chacune, transporter 80 passagers depuis le village à 925 mètres d'altitude jusqu'au pied des pistes à 1 800 mètres, seront remplacées au cours de l'été par une série de 93 télécabines panoramiques de huit places assises chacune, qui effectueront la montée en douze minutes. La ligne, longue de 3 600 mètres, aura un dénivelé de 900 mètres. Le modèle choisi est le même que celui qui équipe la station de La Clusaz, en Haute-Savoie.
Ainsi, un TGV (téléporté à grande vitesse) remplacera l'omnibus de Cauterets, légendaire pour ses files d'attente en période de pointe, et dont les passagers devaient descendre en milieu d'ascension pour changer de benne dans une gare intermédiaire.
Au cours des mois prochains, une page de l'histoire Cauterésienne va se tourner. C'est en raison de ce chantier pharaonique que le domaine skiable de la station, bien qu'encore convenablement enneigé, a fermé le dimanche 10 avril et n'a pas joué les prolongations comme les hivers précédents.
Deux semaines après que la commission des sites a délivré son feu vert, les premiers coups de pioches et de pelleteuses seront donnés dès la seconde quinzaine d'avril. La tâche a été confiée à deux entreprises : une société suisse, CWA, et une autrichienne, Doppelmeyer, qui, à la fin du siècle dernier, avait équipé l'Andorre de son grandiose Funitel qui relie Encamp aux domaines skiables.
Une vingtaine de pylônes seront scellés dans la montagne afin de guider les câbles de Cauterets jusqu'au Lys.

18 millions d'euros. L'opération coûtera 18 millions d'euros et sera financée par un emprunt de la Régie, soutenu par la commune, de 14 millions d'euros, des subventions (Etat, Région, Département, Europe) de 2 millions d'euros, de la commune 1,5 million d'euros et un autofinancement de la Régie de 500 000 euros.
Ce projet, qui était une nécessité, a été débattu en 2004 et le grand choix a été réalisé en janvier dernier. L'achèvement du chantier est prévu à la fin de l'automne ainsi que les essais. Si tout va bien, le public pourra étrenner la nouvelle remontée au cours de la première quinzaine de décembre 2005.
Deux puissants moteurs électriques permettront la traction des cabines, dont chacune à vide pèse 500 kilos. A la gare supérieure, la tension sera de 100 tonnes et les cabines lestées résisteront à des vents de 90 kilomètres-heure.
Ainsi, avec le maintien de la télécabine quatre places du Courbet qui relie le parking du Cambasque au Lys, et dont le débit est de 1 300 personnes, un total de 3 700 skieurs pourra être acheminé en une heure au cirque du Lys et, en pleine saison, les files d'attente d'antan auront fondu comme neige au soleil.
Deux des bennes hors service seront peut-être conservées et exposées, un devoir de mémoire en quelque sorte pour honorer ce téléphérique qui, en quarante et un ans, aura transporté vers les champs de neige plusieurs dizaines de millions de passagers."

Qui aurais plus d'infos voir des photos du démontage, et construction de cette ligne?
Voici une photo que j'avais prise en 1985.
Image IPB
Cordialement

Ce message a été modifié par Sylvaingobi - 20 février 2008 - 12:34 .

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#33 L'utilisateur est hors-ligne   Raphaël B 

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Posté 11 février 2008 - 12:44

;) J'ai moi même retrouvé un article sur ce TPH

Citation

Arrêt intermédiaire sur les TPH:
Le Téléphérique du Lys
(Extrait de l'article sur les téléphériques pyrénéens de Pyrénées Magazine n°23 - novembre 1992)

Cauterets, station pionnière, n'a pas vraiment eu besoin de son téléphérique pour se développer. Mais si les sport d'hiver avaient ici droit de cité dès 1906, cette activité fut cependant longtemps limitée à la pratique du ski nordique ou du saut, du fait de l'absence de remontées mécaniques. L'idée d'un téléphérique date de 1936, mais il faudra le début des années 60 pour qu'elle se concrétise.

C'est en 1959, en effet, qu'était prise la décision définitive de réaliser un équipement permettant d'accéder au cirque du Lys, à près de 1900 mètres d'altitude, et d'aménager ce site pour la pratique du ski alpin. La construction d'une route, sur des terrains instables et en forte pente, posait en effet des problèmes difficilement surmontables. Ce qui ne veut d'ailleurs pas dire qu'ils furent totalement éliminés par la solution du téléphérique. Les contraintes étaient en effet importantes. Il fallut ainsi réaliser des pistes carrossables permettant d'amener les matériaux jusqu'aux futurs ouvrages. Un petit téléphérique fut, là aussi, construit pour les besoins de la cause. Il permettait d'atteindre le site de la gare supérieure en franchissant des pentes quasiment à pic. Sur le plan technique, les principales difficultés résidaient dans l'instabilité des terrains, qui exigea un volume de fondation particulièrement important.

L'ensemble du téléphérique, d'une longueur totale de 3,6 km, comporte, outre les gares de départ et d'arrivée, une gare intermédiaire à mi-parcours, sur le plateau du Cambasque. Celle-ci devait, entre autre, permettre d'embarquer à ce niveau les skieurs ou les promeneurs désireux d'accomplir la moitié du chemin par leurs propres moyens. Cinq pylônes sont disposés tout au long de la ligne. Avec la gare intermédiaire, ils représentent un poids total de 271 tonnes. Au passage du ruisseau du Lys, entre le quatrième et le cinquième pylône, les cabines, portées par des câbles de 54 mm de diamètre et tractés par des câbles de 22 mm, survolent le sol à 122 mètres de hauteur. Parmi les difficultés du montage, la moindre ne fut pas l'installation des câbles, qu'il fallait mettre en place sans toucher les toits des maisons situés sous la ligne...

En février 1964, le téléphérique était enfin mis en service. Quatre cabines permettaient d'assurer un débit de 600 personnes à l'heure (identique à celui de Saint-Lary). Cette capacité s'avéra rapidement insuffisante et, en période de pointe, le téléphérique se trouva régulièrement saturé. Une rénovation et une augmentation de la capacité s'imposaient donc. De la mi-1985 à janvier 1986, divers travaux furent ainsi réalisés pour adapter des cabines d'une capacité de 80 personnes: remplacement de la poulie motrice, augmentation des contrepoids (81 tonnes contre 64 tonnes auparavant pour les câbles porteurs, 27 tonnes contre 24 pour les câbles tracteurs). La puissance de la machinerie fut portée de 350 à 1 000 ch, et surtout, le fonctionnement du dispositif fut, non sans peine ni retard, automatisé.

«Chaque téléphérique est un appareil extrêmement personnalisé, qui ne ressemble à aucun autre», souligne Jacques Dansaut, longtemps directeur de la station de Cauterets et président du SNTF. Une conception "sur mesure", susceptible d'impliquer certains aléas lors des modifications. Ainsi, un an seulement après sa rénovation, en mars 1987, une décision administrative signifiait l'arrêt de l'exploitation du téléphérique. Une visite de routine avait révélé la rupture de certains éléments métalliques porteurs. Des études plus complètes montrèrent la nécessité de travaux supplémentaires. 53 tonnes de renforts furent réparties sur les dispositifs d'assemblage, et les ancrages s'enrichirent de 600 mètres cubes de béton.

Début 1988, moyennant ces précautions supplémentaires, le téléphérique de Cauterets put reprendre le chemin des cimes.


je suis désolé je ne retrouve pas la photo de la gare inter que j'avais vu quelque part

J' ai trouvé un lien sur une installations similaire certes de dernières generations en Italie à Sölda,
TPH Sölda provenant du site partenaire funivie.org,
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#34 L'utilisateur est hors-ligne   techous33 

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Posté 16 octobre 2008 - 12:26

Merci beaucoup pour ce magnifique reportage ! :)
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#35 L'utilisateur est hors-ligne   Papillon noctambule 

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Posté 16 octobre 2008 - 19:17

Voir le messagetechous33, le 16 10 2008, 13:26, dit :

Merci beaucoup pour ce magnifique reportage ! :)

Merci pour ces bons souvenirs de vacances, j'étais à Superbagnères en août et mon époux a pris un grand plaisir à descendre cet ancien itinéraire.
Bonne soirée
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#36 L'utilisateur est hors-ligne   Papillon noctambule 

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Posté 17 octobre 2008 - 05:31

Voir le messageraoul31, le 20 08 2006, 04:01, dit :

La même photo mais dans une coupe laissant apparaître un peu plus la Record (ces photos proviennent de la collection Alix, photographe de Luchon) :

Je voulais demander si tu avais des nouvelles de Domi (le photographe travaillant chez Alix) qui est hospitalisé depuis cet été, ma mère habite Luchon depuis 2007 et en est très heureuse.
En tout cas, merci pour ce magnifique reportage que je vais tenter d'imprimer dans son intégralité pour le montrer à une amie de ma mère qui est nostalgique de la crémaillére et mon mari lira ce reportage dès qu'il pourra car son histoire l'intéresse également.
Hier j'avais lu la dernière page mais ce matin je prends le temps de tout lire et je confirme ma première impression car les photos sont superbes et les textes sont faciles à lire et surtout très explicites.
Bonne journée et encore un grand MERCI à tous ceux qui ont enrichi ce reportage.

Ce message a été modifié par Papillon noctambule - 17 octobre 2008 - 08:34 .

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#37 L'utilisateur est hors-ligne   man85 

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Posté 17 octobre 2008 - 19:29

superbe reportage qui démontre que luchon superbagnères a été une grande station avangardiste, j'espèrequ'elle le redeviendra.
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#38 L'utilisateur est hors-ligne   Sylvaingobi 

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Posté 18 octobre 2008 - 23:19

J'ais retrouver une photo prise en haut du Télébenne du Céciré en 1993 si je me rappelle bien, (le télécabine était en construction), le dernier pylône était encore debout.
Je suis à droite avec mes supers skis violets!!!!

http://www.hiboox.fr/go/images/divers/tele...5be25c.jpg.html
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#39 L'utilisateur est hors-ligne   Sylvaingobi 

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Posté 20 octobre 2008 - 15:44

J’ai retrouvé la photo prise le mercredi 17 février 1993 ou l’on voit au loin la construction de la TC il y avait des spectateurs car ils mettaient le câble en place.
Pas beaucoup de neige cet hiver la ! On peut distinguer à droite le toit de la petite chapelle.
J’en ai profité pour re-scanner la première photo qui était trouble.
Je vais essayer de retrouver d’autres photos… :)

http://www.hiboox.fr/go/images/divers/supe...27b020.jpg.html
http://www.hiboox.fr/go/images/divers/tele...1dd03b.jpg.html
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#40 L'utilisateur est hors-ligne   walileman 

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Posté 02 mars 2010 - 18:49

Super ces photos de la gare amont de la télécabine en construction <_<

Pour répondre a Raoul 31, les photos présentes dans mon reportage son bien celle d'une vitrine Luchonaise, dans la rue qui se situe derrière la place du marché juste après la rue Laity, sur la façade il est écrit "Lou Pitchounet".

Ce message a été modifié par walileman - 02 mars 2010 - 18:51 .

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