Projets Avoriaz
En plus de l’hôtel quatre étoiles qui sera construit d’ici deux ans, d’autres projets s’articuleront autour de ce chantier afin de donner un nouvel élan à la station d’Avoriaz.
Un nouvel hôtel de 150 chambres va voir le jour à Avoriaz
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Aménagement de la place Jean-Vuarnet
Cœur de vie et des nombreuses arrivées sur le domaine, la place Jean Vuarnet, située directement à la sortie du téléphérique des Prodains (3S), sera agencée différemment. « On a un conflit de circulation des usagers entre les skieurs, les piétons, les cochers, les navettes de neige… Tout le monde passe par là dans des flux contraires. Il y aura donc un aménagement de fait pour mieux les gérer », rapporte Thomas Faucheur, directeur de la société de remontées mécaniques d’Avoriaz (Serma). Le boulevard des Skieurs, qui débouche sur la place, sera également reprofilé et élargi. La municipalité de Morzine-Avoriaz s’occupera quant à elle d’apporter une touche d’esthétisme à cette place qui n’a jamais été modifiée.
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Remplacement du télésiège du Plateau
En coordination avec les travaux de l’hôtel, et pour permettre sa réalisation, le télésiège du Plateau sera démonté au printemps et devrait être remplacé par une télécabine à l’automne. « Il n’était plus tout jeune », concède Thomas Faucheur. « Ça va permettre un meilleur transport urbain des piétons », ajoute le maire, Fabien Trombert.
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Création d’une aire d’accueil et restauration de l’ancienne gare du téléphérique
En face de l’arrivée du téléphérique des Prodains, les actuels bureaux de la Serma seront démontés pour y construire une aire d’accueil « digne de ce nom ». « Les touristes pourront attendre au chaud leur transport pour remonter dans la station. Il y aura certainement des expositions aussi », présente Fabien Trombert. La Serma sera elle déplacée dans l’ancienne gare du téléphérique, désaffectée depuis l’arrivée du 3S, où de nouveaux bureaux, avec une partie restauration, y seront créés.
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Continuer à investir malgré tout
Si tous ces projets ne datent pas d’hier, l’actuelle situation économique de la Serma, fortement déstabilisée par le Covid, risque-t-elle de les menacer ? « Si on veut relancer l’activité, on est obligés d’investir. On espère qu’on aura les moyens de le faire, mais on reste positif. Tout ne se fera pas en même temps, bien entendu », répond Thomas Faucheur. Rien que pour deux des projets, la télécabine et les bureaux de la Serma, la société devra être capable d’injecter 14 millions d’euros.
Ce message a été modifié par idealpes - 11 mars 2021 - 13:12 .
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