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[Actu] Sigma Site web, presse, média...
#1
Posté 22 avril 2014 - 17:47
http://www.sigmacabins.com/
#2
Posté 22 avril 2014 - 22:56
C'est une sacré refonte pour ce site.
On y gagne en lisibilité et en infographie.
Je note au passage que le logo Diamond n'existe plus tout comme le configurateur de cabine, dommage...
Quoi qu'il en soit, ce site est très sympha.
JC
#7 Invité_remontees_*
Posté 23 août 2014 - 10:59
D'après Sigma, le configurateur serait leur propriété et ils l'auraient réutilisé en interne avec des fonctionnalités supplémentaires. Néanmoins l'éditeur http://www.webondemand.fr/ semble surpris de ce virage et défend le fait qu'il est avant tout propriétaire de son travail même s'il en a laissé libre utilisation à son client. Bref, un joli conflit de droits d'auteurs, une fois de plus !
#8
Posté 19 décembre 2014 - 08:41
L'équipe de remontees-mecaniques.net a été invitée; début décembre, avec des membres du forum, dans les locaux de la société. Nous avons rencontré Francis Charamel, Directeur général, qui nous a présenté l'entreprise et ouvert les portes des ateliers de production...
Un demi-siècle de transport par câble
Sigma est créé en avril 1959 par Paul Genin à Paris. La petite SARL Sigma Plastique gère l'activité stratifiés de la société mère des Tissages des Avenières en Isère. Deux ans plus tard, Paul Genin transfère le siège social à Veyrins-Thuellin, à quelques kilomètres des Avenières. Un contrat passé pour la fabrication d'enseignes lumineuses permet au personnel d'apprendre les techniques de thermoformage. Sigma devient autonome fin 1964 avec comme objectif la fabrication d’ensembles mécaniques et plastiques. Elle décroche notamment en 1965, un important marché pour la fabrication de lanterneaux.
Premiers atelier Sigma à Veyrins-Thuellin (Francis Tauzin, coll. Laurent Berne)
C'est à cette époque qu'une rencontre va affirmer la vocation de Sigma : la visite de Jean Pomagalski. L'ingénieur commande à la société l'étude et la réalisation d'un capotage pour télésiège (jupe polyester - cockpit plexiglas ouvrant) qui sera produit à quelque 200 exemplaires.
M. Bischoff, modeleur à Fontaine, qui a réalisé les premier modèles de capote pour moulage par Sigma,
pose sur un siège équipé d'une jupe en verre et polyester et d'un cockpit en plexiglas. (F. Tauzin, coll. Laurent Berne)
De la bulle de protection pour siège à la cabine intégrale, il n'y a, pour cet ingénieur inventif, qu'un pas...
Début 1965, Jean Pomagalski décide de commercialiser un « produit télécabine ». Plutôt que de copier la concurrence et leurs lourdes cabines métalliques, Jean Pomagalski va chercher à s'inspirer des capotes en matériaux composites déjà fournies pour ses télésièges par Sigma. Il souhaite une cabine pouvant accueillir quatre personnes, originale, aérodynamique, légère mais robuste, et surtout, à prix contenu.
Francis Tauzin, Directeur de Sigma, est chargé de concevoir les plans. L'ingénieur livre ses premiers dessins d'une cabine dite « SP3 » au printemps 1965. Une cabine verte prototype est finalisée par Francis Tauzin et trois autres compagnons de Sigma en juin 1965. L'ensemble pèse seulement 125 kg ; une prouesse. La cabine repose sur un corps central fixe en métal (supportant le plancher et deux assises de deux places se faisant face) directement solidaire de la suspente. L'ensemble est emprisonné par deux demi-coques. La technique de fabrication est le "moulage au contact" sur des demi-moules eux même en composite polyester/fibres de verre.
Première cabine Sigma prototype SP3 durant l'été 1965 (F. Tauzin, coll. Laurent Berne).
Une première commande est passée pour la Daille à Val-d'Isère en 1966. Sur cette installation prototype, la fermeture des coques reste cependant manuelle. Francis Tauzin remédie au problème dès 1967 en mettant au point un mécanisme de fermeture avec un levier vertical qui agit sur un jeu de biellettes à genouillères. La cabine reçoit également des améliorations comme la modification de la chape de suspension et des aérations. Ce modèle de véhicule amélioré prend le nom de SP4. Les premières télécabines au monde entièrement automatiques sont livrées cette année 1967 pour les lignes de Pierre-sur-Haute à Chalmazel (Loire) et de La Masse aux Menuires (Savoie), tandis que le modèle de la Daille est transformé également. Un premier modèle est même livré à l'export à Queenstown en Nouvelle Zélande (qui reste, lui, à fermeture manuelle).
Premières productions de cabines SP4 pour Chalmazel, les Menuires et Queenstown
En trois ans, plus de 1250 cabines sont produites... Et le succès se poursuivra jusqu'en 1976 ! Avec le temps, ces célèbres « œufs » SP4 ont acquis le statut de véritables objets iconiques. Elles font aujourd'hui partie du parfait cliché de l'équipement touristique de montagne et s'arrachent à prix d'or chez certains brocanteurs.
Pour plus de détails sur la télécabine automatique SP4, vous pouvez consulter le sujet dédié sur le forum : http://www.remontees...showtopic=14862
Cabines SP4 à Courchevel (photo Poma)
Ce gros contrat de fourniture marque le début d’une longue collaboration entre Poma et Sigma. En 1971, est créée la cabine 6 places SP6, à portes coulissantes, qui sera employée pour la première fois en 1973 à Villard-de-Lans sur la télécabine de la Cote 2000.
Cabine SP6 en gare (photo Poma)
Cette année-là, l'architecte Roger Taillibert consulte Sigma pour la fourniture de panneaux pam-ways pour la couverture de la piscine de Deauville. La technique est reprise en 1974 pour la couverture du complexe olympique de Montréal, où Sigma décroche le marché pour les toitures du vélodrome et des piscines.
Toiture de l'ancien vélodrome olympique de Montréal aujourd'hui transformé en Biodôme (Francis Tauzin)
En 1976, les SP4 sont remplacées par les cabines SP76 offrant un espace intérieur légèrement supérieur ; ces « œufs » améliorés sont reconnaissables à leurs deux vitrages panoramiques venant en lieu et place des quatre vitrages. L'année suivante, est créée une nouvelle cabine 6 places à ouverture à entrebâillement : la SP77, qui obtient le Prix Janus de l’industrie pour son design. Elle équipera de nombreuses lignes de télécabines.
Réalisation d'une demi-coque de SP77 dans les ateliers Sigma (Francis Tauzin, coll. Laurent Berne)
Ligne d'assemblage des SP77 (Francis Tauzin, coll. Laurent Berne)
Stockage avant expédition des cabines SP77 (Francis Tauzin, coll. Laurent Berne)
Sigma est intégrée au groupe Poma en janvier 1979 et Paul Genin quitte la société. Sigma se consacre désormais essentiellement à son activité remontées mécaniques, et laisse de côté les lanterneaux. Elle produit également des couvertures de gares (les pièces de la célèbre gare Alpha sont ainsi moulées chez Sigma) et conçoit à partir de 1984 plusieurs cabines de grande capacité : des 10/12 places (télécabine de la Patinoire à La Clusaz), mais aussi 20 places, sur les DMC du Pontillas (Villeneuve - Serre-Chevalier) et du Bettex (Saint-Gervais-les-Bains).
Cabine 12 places à La Plagne (Photo Remontees)
Un incendie détruit malheureusement les ateliers stratifiés et les entrepôts en février 1988. De nouveaux bâtiments sont construits au Petit Veyrins, toujours à Veyrins-Thuellin, avec l'aide de la commune et du Conseil général. Le nouveau site est opérationnel début 1991. Entre temps, Francis Tauzin a pris sa retraite fin 1990.
Les moyens de production des ateliers du Petit Veyrins permettent de concevoir une nouvelle génération de cabines composites : la gamme Espace / Palace, produite à partir de 1992, qui propose des véhicules jusqu'à 8 places assises.
Cabine Palace8 aux Arcs (photo Remontees)
En montagne comme à la ville
La véritable révolution est entamée en 2002 avec le développement de l'atelier de tôlerie qui permet à Sigma de proposer sur le marché de nouveaux véhicules à structure métallique.
La première cabine à voir le jour est la Diamond, dessinée par Pininfarina. La modularité de la structure en métal permet à ce véhicule d'être décliné en modèles 4, 6, 8 et 10 places assises, et jusqu'à 20 places en configuration debout, avec des aménagements à la demande (options urbaines, ventilations, double-vitrages...). La cabine de distingue par ses poteaux émergeant à la suspension sans tirants : le plafond n'encaisse donc aucune force, le flux passe par le palonnier. Cela garanti en outre un bon amortissement. L'assemblage de la structure se fait par rivets et boulons, sans soudures à contrôler, tandis qu'un montage des vitres en appui positif garantit la sécurité.
Les premières lignes équipées sont celles de la Roche de Mio à La Plagne (France) et Bormio 2000 à Bormio (Italie) en 2003. La Diamond est aujourd'hui le produit phare de l'entreprise, au même titre que l'a été la cabine SP4 par le passé.
Gamme Diamond : cabines urbaines sur la télécabine de Monjuïc à Barcelone
Gamme Diamond : premières cabines 10 places assises au monde sur la ligne de la Marchner à la Kronplatz (photo Kilano18)
Avec le métal, l'entreprise n'est plus limitée par la taille des moules : elle peut dès lors diversifier sa production en proposant des véhicules de téléphériques, funiculaires, mais aussi d'attractions comme les grandes roues.
La gamme à structure aluminium s'agrandit en 2007 avec la création du modèle Ruby, de forme ronde. L'entreprise conçoit également les cabines Crystal, pour les grands téléphériques à va-et-vient. C'est ce modèle qui équipe le téléphérique de Roosevelt Island à New York. Il est également utilisé pour remplacer d'anciennes cabines, comme aux Grands Montets ou à La Flégère à Chamonix.
Gamme Crystal : cabine du téléphérique de Roosevelt Island à New York (photo Rodo_Af)
Gamme Ruby : cabine de la télécabine Isolaccia-Plan de la Motta à Valdidentro (Italie) (photo Rodo_Af)
En 2008, Sigma réalise la ligne Saphir pour équiper la ligne du premier 3S du groupe, entre Bolzano et Renon en Italie. Ce modèle se positionne entre les cabines Diamond et les grandes cabines de téléphériques Crystal. On retrouve aussi les cabines Crystal sur le 3S Prodains Express, réalisé par le groupement Poma - Leitner à Avoriaz. Elles peuvent également être utilisées sur des installations à va-et-vient.
Gamme Saphir : cabine du téléphérique 3S Prodains Express à Avoriaz (photo Sigma).
Sigma propose également des véhicules pour funiculaires et APM (Automated People Mover). L'entreprise a par exemple produit les nouvelles voitures du funiculaire de Mendola (Italie) ou encore les trains de l'APM de l'aéroport du Caire (Egypte)...
Gamme Funiculaires : voiture du funiculaire de Mendola en Italie (photo Sigma)
Gamme APM : véhicule de l'APM de l'aéroport du Caire en Egypte (photo Sigma)
En outre, Sigma a diversifié son activité dans le domaine des loisirs, en particulier avec le marché des grandes roues. Les premières réalisations de l'entreprise dans l’entertainment sont les capsules de la London Eye, la grande roue de Londres. Inaugurée en 2000, l'attraction était initialement prévue pour être démontée après les festivités, mais, quatorze ans plus tard, elle trône toujours fièrement en rive de la Tamise et est même devenue un des symboles de la ville.
Le succès de la London Eye a apporté à Sigma une belle notoriété dans le domaine du loisir. Cela lui a permis de remporter le contrat des bulles de la plus grande roue du monde : la « High Roller » de Las Vegas, haute de 167 mètres, avec un liaisonnage cabine-roue en forme de Sigma, symbole de la société. Sigma construit en outre des cabines de grandes roues plus classiques, avec des véhicules dont la conception est basée sur les cabines Diamond. L'entreprise réalise également des cabines circulaires pour tours panoramiques, notamment l'i360 de Brighton en Grande-Bretagne, la plus haute tour ascensionnelle du monde (162 mètres).
Gamme Entertainment : cabine de la grande roue de Las Vegas (photo Sigma)
Aujourd'hui, la société Sigma emploie quelque 70 salariés et intérimaires et son chiffre d'affaires annuel avoisine les 20 millions d'euros, la majorité étant réalisée à l'export. Ses différentes compétences lui permettent d'être présente, de Courchevel à Aspen, dans des centaines de stations de la planète, mais également, avec le transport urbain et l'entertainment, dans des grandes villes comme Le Caire, Medellin, Rio de Janeiro, Londres, New-York ou Las Vegas...
Découverte des ateliers
Plusieurs compétences sont exercées au sein de Sigma. On y trouve un bureau d'études (qui, pour l'anecdote, utilise la 3D depuis le milieu des années 1990 pour la modélisation des cabines), un atelier pour le composite, le thermoformage, la tôlerie, la peinture et l'assemblage. Remontees-mecaniques.net a pu découvrir, en compagnie de Francis Charamel, tout le site de production.
Quelques membres de remontees-mecaniques.net et Francis Charamel, Directeur général de Sigma (Nicobsa)
La fabrication de pièces composites est l'une des compétences originelles de l'entreprise. Après application d'un démoulant, on enduit un moule de gel-coat coloré (de la résine polyester qui constituera l'aspect extérieur), puis, en alternance, on dépose des renforts en fibre de verre (toiles tissées prédécoupées) et de la résine polyester.
Le thermoformage permet quant à lui de réaliser des pièces de grandes dimensions, jusqu'à 3 mètres par 2 mètres, en chauffant un matériaux jusqu'à le ramollir, et en lui appliquant un moule. Il permet de produire notamment des vitrages incurvés, des sièges ou des enseignes...
C'est avec ces techniques qu'étaient fabriquées les "œufs" SP4 et toutes les cabines jusqu'à la gamme Diamond. Ces procédés restent toujours utilisés, en particulier pour les pièces de couvertures de gares mais également pour la production des faces avant des camping-cars haut de gamme de la marque Notin, ou encore les faces avant des véhicules de l'APM de l'aéroport de Miami.
Fabrication d'une pièce de gare en composite
Moulage de la face avant d'un véhicule de l'APM de Miami et faces avant d'un camping-cars Notin en arrière plan
Dans le bâtiment principal, nous trouvons l'atelier de tôlerie, développé avec le modèle Diamond. Différentes pièces sont coupées sur-mesure suivant les modèles et dimensions des cabines en attente de production.
Découpe au laser et à l’emporte-pièce d’éléments en tôle d’aluminium (Sigma)
Réalisation des portes des cabines Diamond
Le hall d'assemblage accueille le montage de plusieurs projets différents. On y trouve en particulier les véhicules de Miami, dont un exemplaire a déjà reçu sa face avant et sa toiture. L'autre étant au stade de finalisation de la structure aluminium.
Assemblage d'un véhicule de l'APM de Miami (Kenzo)
Face avant d'un véhicule de l'APM de Miami (Geofrider)
Mais 80 % du hall reste bien entendu dédié à la réalisation des cabines Diamond. Sigma produit de 1000 à 1500 cabines Diamond par an et le 10.000e exemplaire est d'ailleurs sorti des ateliers cette année 2014.
Assemblage du châssis d'une cabine Diamond
Une fois le châssis monté, les cabines sont transférées dans un autre atelier pour être mises en peinture. Elles sont séchées puis retournent dans le hall d'assemblage pour la finalisation du montage.
Stockage de cabines Diamond en attente de mise en peinture
Une cabines Saphir en fabrication, pour un téléphérique à va-et-vient en Algérie
Retour des cabines Diamond après mise en peinture
Autre vue des cabines dans le hall d'assemblage
On assemble alors les vitrages, les portes et leur mécanisme. Chaque mécanisme est rodé avant son montage sur la cabine avec une machine spécifique simulant des ouvertures et fermetures. Un test est ensuite réalisé sur chaque cabine avec un appareil de mesure pour vérifier le bon fonctionnement des portes et leur résistance au serrage : la fermeture ne doit, par exemple, pas représenter un danger pour une main se trouvant coincée entre les deux ventaux.
Installation des vitrages sur cabine. Ici le client a opté pour l'option double-vitrage : le vitrage intérieur, facilement remplaçable, sert de protection contre les rayures pour le vitrage principal
Portes en attente de montage
Test du bon fonctionnement des portes (Nicobsa)
Test de résistance sur fermeture (Nicobsa)
Cabines Diamond finalisées en attente d'acheminement chez le client (Daphnis)
Cabine du 3S Stubaier Gletsher en exposition à l'entrée de Sigma
Cabine Diamond Exclusive
Fauteuils en cuir, porte-bouteilles, éclairages et système multimédia
Ecran interactif de la cabine Diamond Exclusive (Daphnis)
Les ateliers Sigma n'ont désormais (presque) plus de secret pour vous !
Nous adressons nos sincères remerciements à Francis Charamel, Directeur général et Bérénice Nicol son assistante, pour leur accueil, la visite, leurs explications... et leurs présents : après un petit débriefing, la visite de Sigma s'est en effet achevée avec la remise de plusieurs cadeaux sympathiques et d'une splendide cabine Diamond miniature !
Cabine Sigma Diamond miniature
Les membres qui ont participé à la visite (de gauche à droite) : Kenzo et son père, Daphnis, Lolo42, François05, J'ib, Collonges74, Nicobsa, Geofrider
Vous voyez une faute ? N'hésitez pas à me la signaler par MP.
www.remontees-mecaniques.net
#9
Posté 19 décembre 2014 - 15:17
très beau reportage!
L'histoire est vraimment intéraissante.
#10
Posté 19 décembre 2014 - 18:08
Un grand merci à Laurent pour cet excellent reportage très intéressant, pour une après-midi qui l'était tout autant !
Et merci aussi à tous les membres présents qui ont envoyé leurs photos, chose que je n'ai malheureusement pu pas faire par manque de temps (j'avais quand même pris 160 photos de la visite )...
Merci également à l'équipe de Sigma de nous avoir invité et à M. Charamel de nous avoir accueilli !
#11
Posté 19 décembre 2014 - 22:03
la innovación que han tenido a través de los años estas instalaciones son sorprendentes.
Ustedes son mis ojos al otro lado del continente
#12 Invité_remontees_*
Posté 19 décembre 2014 - 22:19
#13
Posté 19 décembre 2014 - 23:22
#15
Posté 21 décembre 2014 - 18:38
Merci pour ce partage!
JC
#16
Posté 21 décembre 2014 - 20:42
Ce message a été modifié par Lulu - 21 décembre 2014 - 20:44 .
Les Delta, les Alpha qu'elles soient débrayables ou non, les sièges carré, Goutte d'eau et Arceaux :D
Je peut vous paraitre encore plus bizarre de part le fait que j'aime écouter tous les bruits que produisent une RM :D
#17
Posté 23 décembre 2014 - 18:39
→ Impatient que d'autres constructeurs fassent de même
#18
Posté 04 janvier 2015 - 23:34
Sinon la date donnée pour les cabines Espace me pose questions: on retrouve en effet des Espace 8 dès 1992 (TCD8 des Verdons, Courchevel) puis l'année suivante arrivent les Espace 4 initialement crées spécifiquement pour une nouvelle génération de TCD4 qui avortera quasiment, mais qui trouveront une certaine utilité devant le potentiel de rénovation alors énorme pour remplacer les cabines SP4/SP76.
La cabine Diamond, qui leur succédera et marquera effectivement une petite révolution au sein de l'entreprise, commençera son existence commerciale en 2003.
Deux prototypes seront présentés en avant-première en 2002, respectivement pour Poma et Leitner, avec de subtiles différences entre eux:
#19
Posté 05 janvier 2015 - 00:51
Pour Palace/Espace, tu as raison, c'est bien 92. Je corrige dans le CR.
www.remontees-mecaniques.net
#20
Posté 05 janvier 2015 - 08:23
Ce message a été modifié par rodo_af - 05 janvier 2015 - 14:35 .
Raison de l'édition : Orthographe !
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